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Boileau419

Boileau419

Traducteur chinois/anglais, Belge francophone, né au Congo-Kinshasa, expatrié en Chine depuis 17 ans, passionné de langues anciennes et modernes, de théologie et de littérature. Jacques Ellul et Hermann Hesse sont parmi mes auteurs préférés. En politique mes idoles sont Hugo Chavez, Pim Fortuyn, Thomas Sankara et...Marine Le Pen ! De vrais rebelles, quoi.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/08/2007
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Derniers commentaires



  • Boileau419 Boileau419 16 mai 2007 08:28

    Ces braves citoyens qui se ruent dans la cabine téléphonique du Modem me font penser aux gens qui se ruent dans les supermarchés pour acheter un produit parce qu’on leur a dit que c’était quelque chose de « NOUVEAU ».

    L’attrait du neuf est ir-ré-sis-tible.

    Personne ne s’interroge sur le contenu. C’est neuf, ça suffit.



  • Boileau419 Boileau419 16 mai 2007 08:25

    « Il est surprenant que les médias n’aient d’ailleurs jusqu’ici pas commenté ce fait remarquable. »

    Phrase qui me porte à penser que l’auteur

    1)Ne comprend pas grand-chose au fonctionnement (et surtout au financement)des médias 2)Dépend de ces médias mercenaires pour s’assurer qu’un fait est bien réel : « Le Monde l’a dit, donc c’est du sérieux ! »

    On dit beaucoup de mal des médias sur Agoravox mais je remarque que (presque) tous les commentaires suivent les médias dans la mesure où, comme eux, ils ne s’intéressent qu’aux marionnettes du spectacle politique.

    Le Modem ne fera rien et ne servira à rien, si ce n’est à donner l’illusion d’une espèce de troisième voie. Un choix illusoire.

    On nous dit :« Attendons de voir ce qu’ils feront. »

    Inutile d’attendre.

    Supposons que vous ayez un notaire qui a dilapidé votre patrimoine, vous a menti et trompé, allez-vous lui donner une nouvelle chance ? Voir s’il se repent ou s’améliore ?

    Pardi, bien sûr que non ! Votre argent est trop précieux pour jouer avec de cette manière !

    Et pourtant, jouer avec leur avenir et celui du pays, c’est ce que font tous ceux qui s’obstinent à voter pour les partis du système et les rebelles autoproclamés à la Bayrou : ils votent pour des gens qui les ont trompés et volés et qui promettent de faire mieux demain.

    Ils ne seront pas déçus, hehe.

    Gageons que Sarkozy ne fera rien, que l’immigration, l’insécurité et le chômage s’aggraveront, que les électeurs, déçus, se tourneront vers le PS, qui ne fera rien non plus, que les électeurs reprendront alors confiance dans la droite, incarnée par une nouvelle personnalité vociférante mais impuissante, qui ne fera rien, etc., etc., etc.

    Mon Dieu, que c’est bête, un électeur !



  • Boileau419 Boileau419 16 mai 2007 04:34

    Quand on voit que le seul programme de Bayrou est de dire « oui » au gouvernement quand il est d’accord et « non » dans le cas contraire, on peut se demander comment se fera le grand renouveau politique que Voltaire croit discerner dans la naissance du Modem.

    Où est le programme ?

    L’UDF et Bayrou n’ont-ils pas partcipé au gouvernement de la France par le passé ? Quel est le bilan ?

    Leur donner une nouvelle chance ?



  • Boileau419 Boileau419 16 mai 2007 04:18

    Cet article a du sens dans le schéma de la pensée actuelle, qui est essentiellement une pensée du manque et de la compétition, une pensée qui met le travail au centre de tout.

    Mais à mon sens, il est tout à fait rétrograde et dépourvu de poésie. C’est une pensée sans espérance, message d’esclave à d’autres esclaves :

    "Here where men sit and hear each other groan [...] Where but to think is to be full of sorrow And leaden-eyed despairs"

    Keats : « Ode to a Nightingale »



  • Boileau419 Boileau419 16 mai 2007 04:13

    Réclamer un emploi, c’est vouloir des maîtres.

    Quand on pense qu’au XIXe siècle les patrons n’arrivaient pas à embaucher des ouvriers mâles parce que les hommes estimaient infamante la privation de liberté qu’impliquait le travail salarié, on mesure à quel point nous, avec nos cris de « des emplois !des emplois par pitié ! » sommes prisonniers d’une mentalité servile indigne de véritables citoyens et êtres humains.

    Je dis bien « citoyens », car comment peut-on rêver de liberté politique et d’exercice de la démocratie quand la plus grande partie de la vie se passe sous le joug du patron, dans le carcan d’horaires rigides « from nine to five » ? Quelle illusion d’espérer la liberté quand on y renonce dans le travail !

    Et dire que la plupart travaillent uniquement pour l’argent. Que le travail nous ennuie et nous abêtit dans l’immense majorité des cas. Que la plus grande partie du travail réalisé est inutile, voire destructeur (à cause du gaspillage de ressources et d’énergie qu’il implique).

    Pour moi, dans une société d’abondance comme la nôtre où produire tout le nécessaire (et même le luxe et le superflu) ne soulève plus de difficultés, le problème, ce n’est pas de trouver des emplois et de créer plus de travail, mais de trouver le moyen de s’en passer complètement. De mettre fin au travail forcé (tout travail est forcé dès lors que l’absence d’emploi signifie la pauvreté et la marginalisation).

    Alors on verra la vraie démocratie. Et le bonheur.

    Voilà la vraie utopie socialiste.

    La Bible en parlait déjà il y a des millénaires...

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