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@Olivier Perriet
Je ne comprends pas votre allusion aux « tiers-mondistes », et encore moins celle de la remontée jusqu’aux croisades. L’esclavage évoqué par le président Assad est on ne peut plus contemporain. C’est celui de la France (nouveau tiers monde peut-être ?) aux USA (néo-colonisateur de l’Europe ?).Si c’est ce que vous entendez, croyez bien que j’abonde tout à fait dans votre sens.Si vous avez plutôt endossé vos oripeaux d’ex-colonisateur nostalgique qui a conservé le vocabulaire d’autrefois, vous avez droit à toute ma sympathie. -
L’auteur écrit : « ...la Syrie vient de signifier avec raison à la France le dédain dans lequel elle considère désormais notre pays... ».
Or, le communiqué syrien cité dans l’article évoque l’esclavage. Ce n’est plus du dédain. C’est clairement du MÉPRIS. -
@Massada
Ce sont des détails ? Comme les 500.000 Iraquiens tués étaient des détails pour Madeleine Albright, votre compatriote ? -
« ... futur musée de l’impérialisme à Damas ». Quel bel article, Monsieur Guigue ! Et surtout quelle excellente idée, que celle d’un musée de l’impérialisme à Damas ! Comme il y existe des musée des horreurs !
Il faut que les générations à venir sachent que si l’Occident a enfanté Raphael, Da Vinci ou Michelange, il a aussi produit ce monstre nommé l’impérialisme. Il faut aussi que les futures générations syriennes sachent qu’en ce premier quart du XXIème siècle, l’héroïque peuple syrien, avec l’appui de ses alliés, a terrassé le dragon.Comment la faire parvenir à Damas ? -
@Parlez moi d’amour
C’est qu’il n’y a plus de journalistes. Rien que des « communicants ».
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