@popov Euh... pas exactement. Sans la PMA, il n’y aurait pas eu de « petit Jésus » (pour ceux qui croient vraiment à cela). Avec la GPA, une autre femme aurait mis Jésus au monde, puis Marie et Joseph auraient acheté le bébé, ce n’est pas exactement la même chose.
Il ne faut pas faire la confusion : PMA et GPA ce n’est pas la même chose (confusion d’ailleurs entretenue, probablement à dessein, par les marcheurs...). Pour cette raison note moyenne seulement (mais pas mauvaise non plus, il faut évidemment dénoncer et combattre les trafics horribles qui sont cités). Mais comme l’auteur le souligne, ce sont les femmes qui sont défavorisée par les marcheurs, puisque l’identité du père biologique sera désormais connue, mais pas sauf erreur de ma part, celle de la mère biologique (donneuse d’ovocytes et/ou porteuse).
Les marcheurs veulent, comme vouls le soulignez, restreindre les dons de sperme et donc la possibilité pour des couples infertiles, couples de femmes ou femmes seules de procréer, tout en paraissant élargir. Mais je ne vois pas en quoi il y aurait perversion, il ne faut pas confondre PMA et GPA, en effet il n’y a dans la PMA aucune utilisation abusive d’autrui, ni traite d’êtres humains (alors que la GPA le fait allègrement...)
Bonjour Monsieur Dugué, Merci pour cet article éclairant. Je souhaiterais formuler une requête en toute humilité et sans aucune obligation de votre part : serait-il possible de remplacer un terme ou deux parmi ceux qui sont souvent interprétés comme purement masculins par un grand nombre de personnes, par des termes plus généraux. Par exemple « celui » -> « celui (ou celle) » après votre référence à Schopenhauer ferait d’emblée comprendre au lecteur qu’il s’agit de l’un ou l’autre sexe, sans alourdir pour autant le texte. Je tiens à demander cela car en tant que femme un peu loin des stéréotypes habituels (plus de goût pour les sciences que pour les chiffons...), j’ai constaté encore et encore un aveuglement voire un déni des collègues (hommes ou femmes d’ailleurs) que j’ai pu cotoyer, sans parler des conséquences plus ou moins graves sur mon parcours. Or un texte sur les surdoués, les plus talentueux, les génies, fait à mon avis partie des textes qui peuvent renforcer cet aveuglement, ou au contraire ouvrir un peu l’esprit du lecteur à ce sujet, selon la façon dont les choses sont formulées. Merci de m’avoir lue et merci au cas où vous prendriez en compte cette demande, ou pour votre réponse. C
Article sur un sujet important mais pollué par des préjugés : que vient faire un prétendu « néoféminisme » ravalé au rang des « lubies » post-moderne ? Si l’auteur veut parler des gens qui sous couvert de féminisme, sont en fait plus sexistes et discriminants qu’autre chose, soit. Encore faudrait-il le préciser, car le féminisme, le vrai, celui qui recherche une équité et qui n’est pas haineux, mais cherche au contraire à rassembler, est plus que jamais indispensable.