Parisien. Diplômé de Sciences économiques.
Incorrigible voyageur. Passionné de géopolitique particulièrement celle de l'Europe slave. En contact permanent avec des observateurs locaux d'Europe de L'Est.
On en connaît quelques uns parmi vous qui aiment se payer une bonne tranche de rigolade... C’est bon de rire parfois... Et pour ce faire, voici ceci : « l’heure de trop » A déguster jusqu’à la dernière cuillerée... Plaisir coupable ou détente salutaire, quoiqu’il en soit, on se marre ! Certains d’ici, et d’ailleurs, y verront sans doute la fourberie rampante de communicants islamo-gauchistes mais qu’est-ce qu’on se marre ! Avec une pensée émue pour le philosophe de la Côte d’Azur dont l’intégrale de l’oeuvre est issue de cette hilarante poubelle...
« La lutte contre l’extrême droite dans les médias est une responsabilité de tous »... et en voilà quelques-uns qui s’en occupent très bien !
Au bout de ce lien, « l’heure de trop », une bonne tranche de rigolade qui relègue les polémistes prétendument « courageux de dire les choses » au rang de propagandistes poujadistes outranciers... et encore...
On ne peut pas évoquer cet épisode de la Guerre de Yougoslavie sans regretter d’avoir à prendre partie.
Les Serbes étaient les agresseurs, certes, mais pas n’importe quels Serbes...
Il s’agissait spécifiquement, des troupes para-militaires, non gouvernemental, recrutées, entraînées, armées et finalement, commandées par Mladic et Arkan, avec la bénédiction de Milosevic qui « n’y voyait pas d’inconvénients »...
L’Armée régulière de Yougoslavie, dont Milosevic s’était arrogé la force exclusive, attendait dans les casernes ou aux arrière-postes.
Elle est là la honte de la Serbie, avoir livré aux mafieux et aux mercenaires la défense de la « cause serbe », plus connue aujourd’hui sous le nom du « rêve Grand-serbe ».
On s’étonnera de l’absence totale des commémorations de ce jeune héros franco-croate dans l’hexagone
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On s’étonnera plus généralement de l’absence de toute commémo 30 ans après cette guerre qui dura quatre années.
Le Siège de Sarajevo a débuté en Avril 1992 et toujours rien...
Dans le même temps, là-bas, on ne souhaite pas davantage se souvenir... Les silences sont lourds. Le poids de la honte et de la culpabilité. Tous ces slaves du Sud ont au moins à se partager...