CATAPULTE

@Lynwec

« Ceux qui ne peuvent pas l’admettre », eux, au moins ont de bonnes raisons pour ça... puisque aucune victoire finale et définitive de la Russie n’est visible à ce jour... 
Comme d’hab, on prétend qu’elle est cachée et qu’il faut le vouloir pour la voir... Pratique ! Qu’attend donc Poutine pour rapatrier ses soldats épuisés si sa victoire est consommée ?

Le « camp du bien » est une invention des anti-occidentaux pour s’ériger de facto en « camp du mal », et ce faisant, pour se victimiser, pour se prétendre injustement montrés du doigt et condamnés à tort...
Très habile mais les plus perspicaces que vous ne s’y sont pas laissés prendre...

M. Dugois dispose d’une banque d’image où il conserve jalousement l’unique cliché en sa possession...

Qu’importe l’objet du papier, quand il y en a un, c’est toujours le même rivage de Bretagne à marée basse qui vient illustrer le propos...

Il n’y a pas grand chose à dire sur l’essai philosophico-alambiqué de l’auteur... on s’attardera donc sur l’image d’entame 

« Nous ne vous le dirons pas ! » nous promet-on d’entrée... et v’là qu’on nous le dit quand même !

Ca alors !

Une cascade journalo-citoyenne qui excite notre fascination pour les choses cachées... Si on nous le dit pas, c’est bien qu’il y a une raison à ça et, bien sûr, la bonne raison à ça, c’est que c’est caché ; c’est secret ; seuls les initiés savent ! Et Chapouteau est un initié... CQFC...

Nous voilà donc invités à entrer dans le cercle des initiés ! Sauf que notre gourou ne sait rien de ce qu’il écrit... il fantasme. Dans sa précipitation, il a simplement confondu une Russie encore debout avec une victoire finale et définitive. Victoire finale cachée, bien sûr... que seuls les initiés savent voir...

Soyons bref...

Il n’y a de désordre qu’au regard d’un ordre préexistent ou prétendu tel... c’est à dire en comparaison du connu. Un phénomène perturbant avec perte de repères, bouleversements intérieurs, angoisses, peur du lendemain, nostalgie paralysante, égarements, effondrement des modèles et parfois même... sueurs froides !

Il eût été mieux avisé de parler de nouvel ordre que de désordre car, après tout, puissances et alliances se font et se défont toujours en vertu du bon sens...

Comme vous y allez !

L’OTAN a-t-elle réellement les moyens de se désintégrer ?

L’Occident peut-il s’offrir le luxe suicidaire de rompre son alliance au profit d’amitiés spéculatives ?

Qu’importent les signes avant-coureurs, tout sera affaire de conviction, de nécessité et de volonté politique.