Parisien. Diplômé de Sciences économiques.
Incorrigible voyageur. Passionné de géopolitique particulièrement celle de l'Europe slave. En contact permanent avec des observateurs locaux d'Europe de L'Est.
@Fergus . Vous semblez très attaché à la notion de civilisation, ou plutôt, à celle d’êtres civilisés... Peut-on tout appréhender au travers du prisme de cette seule considération ? Dans le cas de la maltraitance animale, il s’agit d’être vivants innocents, capables de douleurs et de souffrance... mais incapable de comprendre le jeu, la mise au défi... Dans le cas des nains, il s’agit d’être doué d’un libre arbitre, et par là même, capables d’adhérer ou de refuser mais au moins capables de comprendre leur sort... Les nains peuvent comprendre et adhérer au jeu... Et aucun nain n’est contraint malgré lui de se porter au jeu... Avant, bien avant la civilisation, il y a l’humanité, cette capacité à faire preuve d’empathie et à se montrer sensible à la souffrance de l’autre... La civilisation, laquelle se rapporte davantage à la collectivité qu’à l’individu, est une notion organisationnelle, un ensemble de règles sociétales ou la souffrance de l’autre n’est identifiée et admise que par convention...
bonjour et merci... Merci ? Non, en fait, pas tant que ça...
Il est des spectacles qu’on préférerait ne pas voir...
Récemment, une video sur tik tok a montré en Espagne une joute collective, dans l’arène, avec un taureau aux cornes enflammées... Moins sanglant, la bête ne semblent pas souffrir mais c’est tout aussi choquant (Taureau en flammes)... Et on rit moins... ou plus, c’est selon, lorsque l’animal a le dernier mot comme dans cette video...
Les « Hostia » de ces abrutis d’Espagnols ne nous émeuvent pas outre mesure...
. Tiens donc ! On nous explique depuis 2014, le Maïdan et la sécession du Donbass qu’il n’y a pas d’Ukrainiens, que ça n’est qu’une invention post-soviétique et qu’il n’y a en réalité, en Ukraine, que des Russes... et voilà que ces foutus Ukrainiens sont 40 millions !
La défaite de la Russie doit être une défaite relative. C’est en tout cas le voeu des Etats-unis qui craignent une Russie instable ou disloquée.
C’est ce qui contraint les Américains à calibrer la résistance armée à la Russie de Poutine. Et c’est ce qui explique la parcimonie de l’aide militaire américaine à l’Ukraine, en vue d’une guerre de position stabilisatrice, de la pérennité du régime de Poutine et de la Russie en son état actuel.
Washington dit craindre une dislocation de la Russie depuis le début de l’offensive russe. Ce qui n’empêche pas les Américains, comme les Européens, de souhaiter un Poutine affaibli.
Poutine cherche une porte de sortie et les Occidentaux s’emploient à lui en ouvrir une...