Raciste décomplexé depuis que j'ai pu comparer l'évolution des purs Aryens, par rapport à celle des Untermenschen de l'Est européen, méprisés, eux, par le Führer Adolf Hitler et les siens...
La ferveur d'un peuple
Je savais que vous seriez incapable de me réfuter, mais je n’aurais
jamais pensé que vous seriez aussi facile à convaincre, à convertir.
Malheureusement, vous êtes pire en partisan de la peine de
mort qu’en abolitionniste. C’est une question d’(in)intelligence globale.
« Je
corrige pour vous : « Celui ou celle qui aura tué quelqu’un(e) après lui avoir infligé d’autres sévices, subira ces mêmes
sévices et sera puni(e) de mort. » Na ! »
Le « Na » suffit à souligner la puérilité du propos « Ah ! j’oubliais : pour être juste, il faudra
qu’on tue également ses enfants s’il a tué ceux des autres ; ou leur
conjoint(e) ; et peut être aussi bruler sa maison s’il a brulé celle de sa
(ses) victimes. »
Laisser vivre un criminel, et lui infliger le mal peine qu’il
a infligé à d’autres, n’a rien à voir avec la justice mais tout avec la
vengeance dans ce qu’elle a de plus abject « Bon j’arrête là… »
Vous avez raison, vous avez proféré assez de conneries pour
aujourd’hui
« ... il y a toujours l’espoir que de nouveaux éléments permettront de casser la condamnation. »
C’est très vrai, mais quand, après 15 ans, l’innocent se réveille pour la 5478e fois au chtar — 5478 fois innocent ! -, vous croyez qu’il en reste quoi de l’espoir ? Moi, je n’en sais rien et, de toute manière, c’est du cas par cas, mais quelle proportion d’entre eux souhaiteraient être morts au moment d’entamer une nouvelle « tranche » de 5478 jours ?
Pour
répondre aux aficionados de la peine de mort, je crois que les sociétés
criminelles produisent davantage de criminels que les sociétés non criminelles.
Moi, je crois pas.
De sorte que je soutiens que la peine de mort est
contre-productive.
Donc, ça, je ne crois pas non plus « un criminel
en cavale est plus dangereux s’il sait que quoi qu’il advienne, il sera
condamné à mort »
Le mieux est donc de le tuer au moment de sa capture. Même si
la date d’exécution n’a pas été fixée, même si de nombreux recours visent à lui
éviter le pire, même si, en dernier recours, il y a la grâce présidentielle… C’est
du grand n’importe quoi votre « argumentation ». Et à ceux qui
disent qu’il vaudrait mieux leur faire un procès avant de les assassiner…
Pas avant de les assassiner, avant d’appliquer la Loi. J’explique
pour ceux qui sont capables de comprendre la différence : dans un pays
quelconque, un article quelconque dira :
Celui
ou celle qui aura tué quelqu’un après lui infligé d’autres sévices, sera puni(e)
de mort.
Aucun code pénal, nulle part, ne préconise son assassinat
« …allez
donc discuter avecun terroriste barricadé qui sait que la condamnation à mort a
déjà été prononcée… »
Nous avons, affaire, ici, à un terroriste en fuite, et en
instance d’exécution. C’est rare, mais ça peut arriver. En revanche, s’il est
condamné contumax, le procès devra avoir lieu normalement