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Cécile G.

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Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2014
  • Modérateur depuis le 22/04/2014
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Derniers commentaires



  • @oncle archibald, ne perdez pas votre énergie à répondre à des avis navrants qui n’approchent jamais, même de très très loin le sujet d’origine qui est je le rappelle, le déséquilibre contractuel entre le bailleur et le locataire à travers le loyer médian et la GUL.
    Expliquer que je fais changer des chaudières chaque mois en une semaine doit relever également de la plus pure substance hallucinogène... Vous verrez qu’il y en aura pour dire que je me la raconte !
    Quant aux logements sociaux, je suis d’accord pour dire qu’il en faudrait davantage mais c’est un autre problème qui mériterait débat (et pas ici) et le gars avec sa chaudière aura les mêmes emmerdes s’il tombe sur les mêmes nuls... Dont acte !

    Ce qui compte, c’est d’espérer que cette loi soit aménagée pour un renouvellement du parc locatif privé et dans l’intérêt des bisounours remplis d’expérience constructive, pour qu’ils puissent encore trouver un toit dans quelques années ou quelques mois et pour que leurs salaires ne servent pas à payer ce nouvel impôt que l’on créera pour financer la GUL.

    En attendant, je les invite vivement à louer via le PAP qui ne peut que répondre à leurs qualités de locataires à obligations unilatérales.

    Bonne soirée cher ami



  • Bonjour,


    « Votre article est quand même très limité sur le fond du droit »... Donc j’en conclus que j’ai à faire à un juriste avéré ?
    Je vais donc vous expliquer très rapidement d’affreuses banalités que vous êtes censé savoir concernant votre « mésaventure » lilloise :
    - l’agence perçoit les loyers, le dépôt de garantie, etc... car elle a un mandat de location ;
    - elle a refusé de vous mettre en rapport avec le proprio car elle a un mandat de gestion de l’appart qui le lui interdit ;
    - changez de conseil juridique en urgence ! Il aurait du comme l’agence d’ailleurs, demander l’origine de la fuite, commune ou privative. L’agence aurait du faire effectuer une recherche de fuite ou envoyer un plombier, selon la nature du sinistre. Il ne se passe rien pendant des mois : envoyer un reco avec copie du bail (obligations du bailleur) + mise en demeure sous quinzaine...
    - Ils vous ont rendu 20% du DG ? j’espère qu’ils l’ont justifié sur facture et charges provisionnelles...

    Bref, je ne me moque pas de vous mais ne vous faîtes pas une idée générale de votre propre histoire.
    Si vous avez d’autres problèmes locatifs, je suis « votre homme » !!

    Enfin, « l’exemple 1 » bla bla bla n’est pas dans l’article...

    Bon après-midi



  • C’est pas gagné...
    Je précise tout de même qu’il ne s’agit pas d’un article déprimant (je vais plutôt pas mal) mais au contraire, d’une bafouille plutôt optimiste sur le droit d’opposer sa conscience au système actuel. Certains la situent dans un isoloir, d’autres au fond du jardin et d’aucuns dans le système en position horizontale. Chacun choisira « librement » l’homme qu’il est...ou ne sera jamais.
    De plus, sachant que 5% des suffrages exprimés permettent au parti politique le remboursement des frais d’impression et d’affichage des documents de propagande (bulletins de vote, affiches et circulaires - source Ministère de l’Intérieur), il est raisonnable de réfléchir un minimum à ce qui justifie par essence l’appartenance citoyenne.
    Se référer au bouquin « Être citoyen pour les Nuls », mais ça n’est pas encore sorti...
    Bonne soirée à tous



  • Cécile BENHAMOU 21 mars 2014 20:03

    Je lis vos commentaires qui ont pour la majorité d’entre eux un point commun : votre expérience de la relation à l’agent immobilier est exclusivement personnelle, ce qui abouti au jugement général et définitif que cette profession est un amalgame de branquignoles avides d’honoraires...

    Votre propre expérience est respectable mais ne fait pas loi.
    Je connais de très mauvais professionnels (c’est même un miracle qu’ils trouvent encore à travailler) et d’autres que je respecte vraiment. Pourquoi ? parce qu’ils aiment la communication et ont de réelles compétences (fiscalité, construction, urbanisme, consommation...). Je ne cherche aucunement à réhabiliter cette profession (parce qu’on en est là apparemment), je dis simplement qu’il existe de bons professionnels qui savent conseiller autrement qu’une estimation en ligne (sujet d’origine je le rappelle !).

    Mais à l’heure du social media confortable et débilitant où la communication est réduite à celle d’une tanche devant un pot de nutella, il est effectivement plus rassurant de penser que l’on se fera sa propre estimation puisque les données - forcément sures - sont renseignées par soi-même, sans risque de contradiction.

    Si vous êtes honnêtes, pensez-vous que donner une valeur juste du bien contente le vendeur ? Combien de vendeurs accepteront la valeur donnée par un site en ligne sans l’augmenter, histoire de négocier ?

    Il y a 2 écoles chez les agents :
    - ceux qui vont augmenter la valeur du bien. Ils savent qu’ils ne vendront pas mais le vendeur sera content et ils auront le mandat. Quelques semaines vont se passer, voire davantage, sans offre, voire sans visite. Le vendeur perd alors de l’argent et s’inquiète. On est à ce moment-là sur ce que j’appelle la « rupture psychologique » car le vendeur commence à penser que s’il avait mis une valeur juste sur son bien, il l’aurait déjà vendu. Il baisse le prix et Ô Miracle, il vend !
    - ceux qui sous estiment consciemment le bien (et risquent de ne pas avoir le mandat), sachant que le vendeur va rajouter de 20 à 50 KE, histoire de pouvoir négocier et de ne pas perdre d’argent pense t-il. Le résultat est le même que dans le 1er cas, il perd du temps et de l’argent. Il baisse alors le prix à celui indiqué au départ et Ô Miracle, il vend !
    La règle est identique et ne souffre aucune exception : si un bien ne se vend pas, c’est parce qu’il est trop cher.
    Point barre.

    Rincevent ou Stéphane Plaza a raison sur un point : on ne fixe jamais une valeur par rapport à celle d’un bien que l’on souhaite acquérir.
    On ne fixe jamais le bon prix si l’on ne connait pas le marché, que l’on soit particulier ou professionnel.
    J’ai vécu 28 ans en Auvergne, je vis depuis 16 ans à Paris, ce n’est pas pour autant que je fixerais une valeur à Clermont-Ferrand, le coût des travaux y est différend, les charges, la pierre en elle-même...

    Je ne cherche aucunement à vous faire changer d’avis sur les agents immobiliers, je vous dis simplement que certains (minoritaires) sont excellents et que leurs conseils sont précieux.

    Amicalement,

    Cécile B.



  • Cécile BENHAMOU 20 mars 2014 19:08

    Vous avez raison sur un point, le juste prix est celui versé par l’acquéreur et le loyer, celui réglé par le locataire. J’en conviens sans discussion.

    La valeur n’est pas définie par des textes légaux mais se base sur des statistiques publiées annuellement par la Chambre des Notaires. Un appartement situé dans le 5ème à Paris en parfait état d’une surface par exemple de 50 m² ne sera pas estimé au même prix qu’un appartement de critères identiques, mais dans un état vétuste. Là joue l’estimation en ce sens la connaissance du secteur, des charges, des travaux à venir dans la copropriété, etc... Tout cela, vous le savez.

    D’où l’intérêt de recourir à un professionnel, j’entends à une personne de qualité, compétente, honnête et sérieuse. Et ça existe ! Je sais parfaitement que beaucoup ne pensent qu’à « enlever » un mandat dans l’espoir de vendre le bien et seront plutôt généreux dans l’estimation. Mais je sais également que le juste prix est celui qui ne cache pas de commercialité exacerbée...
    Enfin et je connais très bien le domaine, à votre avis, combien de propriétaires acceptent le fait que leur appartement ne soit pas le plus merveilleux de la Terre ? Combien de propriétaires sont lucides sur les défauts de leur bien ? J’ai tendance à fixer systématiquement une fourchette très basse car je sais de facto, qu’ils augmenteront de prix d’au moins 20 KE... histoire de négocier comme ils disent.

    Ces 20KE seront la marge qui freinera les visites et l’absence peut-être d’offre.
    Alors, que faut-il faire ? Surestimer ou dire la vérité ?

    Quant aux honoraires d’agence, ils sont fixés dans une fourchette moyenne en rapport avec la profession sur un même secteur. On peut se passer d’un agent immobilier pour vendre et pour acheter mais le Notaire répondra t-il à toutes vos questions ? Le vendeur vous fournira t-il les derniers PV d’assemblées générales ? le dossier technique ? Assurera t-il un devoir de conseil ?

    Se soustraire au paiement des honoraires est rassurant mais à double tranchant.
    Chacun trouvera de toute façon ce qu’il pense lui convenir.

    Excellente soirée.

    Cécile Benhamou


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