Je vois que sur le fond, vous n’avez pas grand-chose à dire, à part me traiter constamment.... d’inculte incohérent et obtus, ne sachant pas écrire Cela me fait absolument le même effet qu’à un type de 2,20 m à qui l’on dit qu’il est trop petit, c’est-à-dire...rien. Comme je ne suis heureusement pas contraint de tenter de « raisonner » avec vous, tout va pour le mieux.
Souvenez-vous au moins de la différence entre « quand » et « quant ». Bien sûr, cela ne vous rendra pas plus curieux, ni plus perspicace...
En tout cas, veinard que vous êtes, vous au moins ne risquez absolument RIEN de la police de la pensée et des lois liberticides renforcées par l’état de pseudo-urgence . Vous êtes à l’aise dans le moule comme un poisson dans son bocal. Tournez manège....
« »@Garibaldi2 **Vous êtes bien inculte** Humm... Quand (avec un d) on écrit comme vous ***Quand à votre tirade*** au lieu de « Quant à votre tirade » (les 2 mots n’ont vraiment aucun rapport !) on évite de critiquer ainsi.
J’ignore, c’est vrai, les moeurs des Babouins ou des cannibales de Nouvelle-Guinée... Quant (avec un t !) aux Peuplades européennes antiques il ne s’agissait pas, pour ce qu’en connais, de votre singulière « homosexualité entre 2 adultes laids, barbus, vieux et consentants » mais d’un homme adulte qui s’offrait du plaisir avec un bel ado dans une relation asymétrique beaucoup plus compréhensible (chose alors évidente, que vous appelleriez aujourd’hui pédophilie, concept inventé récemment pour casser du mâle et du curé - où sont les rabbins pédos ?)
Le crime de sodomie a traversé les âges en Europe (atteinte à l’ordre naturel des choses pour l’Eglise). Naguère encore en France, l’homosexualité était circonstance aggravante de l’exhibition sexuelle. Quand j’étais gamin police et justice n’emmerdaient pas les curés qui caressaient en privé (sans conséquence sociale) les têtes blondes, mais faisaient en sorte que l’ordre public ne soit pas troublé par 2 pédés en train de se bisouter au vu et su de la population (en privé, une société normale n’en avait rien à faire, tout comme, a fortiori, d’un père qui rendait un hommage vespéral à sa (ses) fille(s). A l’époque, charbonnier était encore maître chez lui et la justice s’attachait à la conservation de la structure hiérarchique de la société (mobile fonctionnel) et non à la traque des anciens dominants (mobile idéologique).
***dois-je vous rappeler que celle de con fait référence au sexe de la femme.*** De l’eau à mon moulin, puisque traiter un homme de femme (d’homme raté, avec un vagin) est du même ordre que le traiter d’hommelette (de pédé, inverse, caricature d’un homme normal). Dans les 2 cas, c’est la virilité qui est sérieusement mise en doute, d’où l’insulte pour un homme...normal
Bonjour, ***On attend le verdict en appel : il sera instructif sur l’état de notre société et sur sa conception de la liberté d’expression*****
Pourquoi ? Vous avez encore des doutes ou des illusions sur cette ignoble merde égalitariste (et son élite transnationale avide de déstructuration et de mondialisation, laquelle élite il n’est pas permis de la nommer, puisqu’elle a « pondu » des lois spéciales pour ça)
Pour imposer ce qui est contre-nature, il faut beaucoup de lois et beaucoup de « tribunaux ». Sur le cas d’espèce, dans toute société normale (basée sur des valeurs saines = hiérarchiques), la pédérastie (masculine) a toujours été considérée comme un crime (parce qu’une atteinte à l’ordre social où le masculin est dominant, une insulte à l’image du masculin) et ses adeptes été l’objet du mépris le plus abyssal (d’où l’usage de l’insulte ultime « pédé » et du majeur dressé)
Au fil des décennies j’ai eu la chance (douteuse) de voir, sans surprise, se dérouler le processus habituel : - dépénalisation partielle, puis totale - tolérance officielle - promotion médiatique - protection légale - pénalisation des actes « anti » (ici anti-homos) : les circonstances « aggravantes » - pénalisation des opinions « anti » : délit d’opinion qui touche ici, c’est vrai, à l’ubuesque (un peu comme lorsque la carpette Pujadas se voit « accusé » d’antisémitisme !)
« Démocratiser » les relations éducatives La participation des enfants et des parents aux décisions familiales collectives
C’est juste la fin de l’éducation (famille) et de l’instruction (école). Vous êtes décidément un « progressiste » égalitariste forcené, bien sous tous rapports. Quant à l’ouvrage monumental, je vous le laisse...
*********Il fut l’une des premières victimes de la Première Guerre mondiale, le 5 septembre 1914***
!!!! pas vraiment (traduire, pas du tout malheureusement), car le mois d’août fut le plus meurtrier de toute la guerre
*******Joseph Joffre était le généralissime commandant en chef des opérations
du 2 août 1914 au 26 décembre 1916, avait beaucoup d’influence auprès
des politiques*****
Votre formulation ne rend pas compte de la situation de Joffre. Il ignorait totalement le pouvoir politique (le méprisait, s’en méfiait), ne lui rendait aucun compte et le laissait - volontairement ! - (d’où son courroux dans l’affaire Driant) dans la plus complète ignorance quant à ses intentions. C’était ainsi depuis le début de la guerre. Son renvoi (tardif) correspond à une tentative réussie du politique pour remettre la main sur les choses militaires. Mais déboulonner le petit Père Joffre n’était pas chose facile (vainqueur « officiel » de la Marne !)