Enfin, l’invention doit impliquer une activité inventive, c’est-à-dire qu’elle ne doit pas découler de manière évidente de la technique connue par “l’homme du métier”.
Ce texte provient de la page de garde du site de l’INPI, c’est l’une des clauses de brevetabilité d’un procédé. Bien que son application ne soit pas évidente, l’esprit n’en est pas moins très clair. Pourtant parmis les nombreux brevets enregistrés par cet institut beaucoup ne satisfont pas à cette condition. J’ai entendu récement son directeur dire à ce sujet que si institut ne faisait pas ainsi, il ne pourrait pas vivre.
Donc pour en revenir à l’article et à l’inventeur du bouchon de limonade, il aurait, dans ces conditions, surement pu faire breveter la chose. Pourtant elle n’était pas brevetable au sens de cette condition, car si on avait demandé à un expert en embouteillege, il aurait très bien trouver la même chose, car le joint en caoutchou était connu depuis longtemps, ce genre de verrou n’était pas une nouveauté, quand au bouchon en porcelaine en métal etc... Tout cela pour dire que des gens qui inventent des choses de ce genre, il y en a des foules dans les entreprises c’est leur métier, ils appliquent leur art. Il est remarquable que les gens qui brevetent ou qui attisent la curiosilté sont les plus souvent des ignorants de l’art par opposision à l’homme de l’art, ils croient avoir inventé quelque chose alors que pour le connaisseur, cela coule de source.
Un petit mot sur le moteur à eau, dans le même registre, n’inporte quel thermodynamicien pourra vous dire qu’une machine qui consomme de l’eau et rejete de l’eau est infoutue de fournir de l’énergie. Sinon ils s’agirait d’un mouvement perpetuel. C’est bien sur la science et la logique qui font dire ceci. Et devant une telle invention, le scientifique curiieux essai de comprendre, il se rend compte de l’herésie de la chose, et bien jette l’éponge devant l’inventeur « fou » faute de pouvoir se faire comprendre.
La semaine dernière, je déhambulais en ville à la recherche d’une paire de chaussure. Je me fais aborder pour ne pas dire agresser par un boutiquier cherchant à fourguer sa marchandise. Las, je lui ai dit, Monsieur c’est moi qui achète, pas vous qui vendez. De plus en plus, il est devenu impossible d’obtenir ce que l’on souhaite, les commerciaux n’ont qu’une idée : placer ce qu’ils ont dans leur attache-case coute que coute.
Oui bien sur comme vous le dite, la diffusion des savoirs est essentielle pour le progres ; pas seulement scientifique mais aussi littéraire ou artistique. A ce sujet, puisque il est abondament parlé ces derniers temps de la loi HADOPI, il ne faut pas oublier que tous les droits sur la propriétés industrielle et intellectuelle constitue par essence une rétention des connaissances à des fins lucratives qui ne devrait pas exister. Car de plus, la competition entre les chercheurs les poussent à n pas diffuser l’avancement de leur recherche, voire de semer de fausses pistes de peur de voir d’autre retirer les fruits de ce qui en fait en un bien univerrsel. Je ne parlerai pas de peur de me facher des laboratoires phrmaceutique qui refusent de donner leurs droits a des pays du SUD et ceci au prix de milliers de vie humaines. J’arrete la je sens que je vais devenir méchant.
La découverte de nouveaux savoirs ne peut se faire sans s’appuyer sur les savoirs existants. On ne peut pas inventer la voiture avant la roue ou le télégraphe avant l’électricité. Cette réflexion triviale laisse penser que la progression des savoirs est exponentielle. Ceci est vrai sous certaines conditions. D’abord il faut que les savoirs existants soient diffusés, une découverte qui resterait secrète ne pourrait bien entendu ne pas servir le progrès. Ensuite il faut une motivation, sans elle, personne n’essaierai de chercher quoi que ce soit. Et puis il faut que les acteurs aient la faculté d’intégrer les connaissances existantes faute de quoi la progression aura du mal à se faire.
Si on regarde l’histoire de l’humanité on voit bien qu’il y a des périodes fastes et d’autres beaucoup moins. La progression est de toute évidence non exponentielle ni même continument croissante. Ce phénomène est explicable d’abord par les événements tels que guerres ou épidémies, l’absence de support de diffusion de l’information. Puis, la culture populaire et la religion, peuvent ne pas favoriser voir réprimer la science.
Ces derniers siècles, on constate que la progression des savoirs est très importante et même si c’est impossible à quantifier le caractère exponentiel semble acquis. Tous les facteurs étaient là, à par quelque guerres très courtes et qui ont été motrice en matière d’innovation. Le livre était la à point nommé pour véhiculer le savoir appuyé depuis peu par l’informatique. Le poids de la religion étant moindre, la science est devenue culture populaire.
Donc toutes les conditions sont là pour que les savoirs progressent .Toutes sauf un et c’est ce qui ramène ç l’article. Et si la masse de connaissance était devenue telle que l’homme n’est plus capable de l’assimiler. Donc plus capable de l’enseigner, plus capable de la comprendre plus capable de la décrire. Dans ce contexte, il ne serait pas surprenant que le nombre de grands savants diminue.
Rien à dire sur le plan de l’idée, récupérer l’énergie des toitures est tout à fait séduisant. Par contre comme le font remarquer certains commentateurs le retour sur investissement n’est pas gagné même en tenant compte des dispositions fiscales. De plus il demeure des incertitudes de taille, frais d’entretien, diminution des performances dans le temps et durée de vie de chacun des élément etc....
Force est de constater que les vendeurs de ce genre d’installation en racontent beaucoup mais ne sont pas prêt à se mouiller. Essayer de leur dire que vous leur louer la surface de votre toit, charge à eux de faire l’installation et de l’entretenir, ils repartent à toute vitesse.
Le concept de particulier producteur d’électricité est bien beau mais actuellement ce qui prime c’est le concept de particulier financeur.