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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 11 mars 2012 20:18

    @Guerra
    Il y a des paralysés qui survivent et qui n’ont absolument pas envie de mourir. Faut-il les juger négativement, leur représenter que leur état est « indigne » et qu’ils feraient mieux de demander qu’on les tue le plus vite possible ? Si certains nous lisent, ils doivent s’inquiéter. Mais il faut tout de même qu’ils se rassurent : il se trouvera toujours des gens sensés pour faire barrage à des idéologies abjectes héritées du IIIe Reich.
    Et les crétins, les débiles mentaux ? Et les malades atteints de la maladie d’Alzheimer ? Faudra-t-il leur demander s’ils préfèrent survivre ? Beaucoup ne seront même pas en état de répondre. Faudra-t-il donc les assassiner froidement, au nom d’une certaine conception de ce que serait la vie dans son maximum de dignité, pour que le spectacles de « LEURS souffrances » cesse d’irriter NOTRE pauvre petite sensibilité désireuse d’un maximum de confort ?



  • Christian Labrune Christian Labrune 11 mars 2012 20:04

    @rosemar
    "je ne fais aucune propagande,ce n’est pas dans mes habitudes : je comprends le souci que vous avez de l’exclusion des vieux mais ce n’est pas ce que je dis : c’est une évidence de dire que la mort concerne les vieux,forcément !!! je refuse pour ma part le procès que vous faites ici:encore une fois,je parle de l’agonie:la fin de vie ,on sait à un moment que la personne va mourir :inutile de prolonger cette AGONIE !!!« 

    Ce n’est peut-être pas dans vos habitudes de faire de la propagance, mais là, vous êtes en plein dedans : l’euthanasie n’existe pas en France et vous essayer de nous persuader que cette monstruosité serait nécessaire. C’est quoi, si ce n’est pas de la propagande ?
    Et je fais bien, effectivement, le procès de votre propagande. Que vous le refusiez, c’est votre affaire, mais pas la mienne, et si vous ne vouliez pas qu’on vous conteste sur un site voué à la discussion, il ne fallait pas faire de la pub et essayer de manipuler l’opinion.
    Un dernier point : vous dites qu’il est INUTILE de prolonger une agonie. Pourquoi inutile ? Inutile pour qui ? Parce que le patient va mourir ? Mais à ce compte-là, il est également »inutile" de vieillir, surtout après l’heure de la retraite, et quand les forces commencent à décliner. A-t-il même jamais été UTILE de vivre ? Je ne vois vraiment pas ce que cette notion viendrait faire dans un pareil débat. Pourquoi n’envisagerait-on pas, dans ces conditions, de remplacer la retraite par l’euthanasie ? Ca, c’est vraiment une mesure qui permettrait rapidement de combler la dette. Couplée à la proposition que faisait ironiquement Swift au XVIIIe siècle, d’utiliser comme viande de boucherie les enfants du peuple âgés de deux ans, sur le plan économique, ce serait une réussite parfaite.



  • Christian Labrune Christian Labrune 11 mars 2012 19:44

    @rosemar
    "on ne dit pas justement que l’euthanasie doit être banale mais strictement encadrée !! parler de seringue infectée pour faire des économies est une ineptie:il ne s’agit pas de prolonger l’agonie avec un point sur le i mais de soulager qqu’un qui souffre !!« 


    Je ne suis pas le seul à vous avoir dit que cela n’avait aucun sens : le malade n’est pas en état de prendre une décision »éclairée", comme on dit en médecine, et l’entourage non plus, qui souffre aussi par empathie, dans le meilleur des cas, et dont je jugement se trouve ipso facto altéré. Dans le pire des cas, il préfère qu’on en finisse rapidement pour pouvoir retourner à ses affaires.
    Il n’y aurait que le personnel médical qui puisse prendre froidement ces sortes de décisions, mais déontologiquement, ça n’est pas de son ressort. Qui serait assez sot pour accepter d’être soigné par des médecins-exécuteurs qui pourraient décider souverainement de la vie et de la mort des citoyens, comme dans les camps d’extermination ?


  • Christian Labrune Christian Labrune 11 mars 2012 19:31

    @rosemar
    "heureusement qu’on n’a pas tué les tuberculeux:c’étaient des malades non des agonisants:en plus vous faites encore des amalgames qui prouvent bien que vous n’avez pas compris ni lu mon article:le choix doit venir du malade !!!!"

     Avant la streptomycine, il est rare qu’on échappe à la mort avec une tuberculose. On meurt même souvent assez jeune, et la mort est régulièrement précédée d’une LONGUE ET PENIBLE AGONIE. Relisez la littérature du XIXe siècle ! Qu’aurait-il fallu faire ? Les tuer ? Et quand c’était la variole, qui s’était déclarée ? C’était une question de jours, une semaine tout au plus, et les symptômes étaient dépourvus d’ambiguïté. On s’en tirait très rarement. Alors, que fallait-il faire ? Les étrangler pour leur éviter des souffrances ? Avant qu’on trouve une thérapie, le sida était toujours mortel, au terme d’une maladie douloureuse et même atroce. Fallait-il encourager les malades au suicide ou les enthanasier ? Certains ont quand même eu la chance de voir arriver à point des traitements efficaces. Heureusement qu’on ne les a pas poussés au suicide, ceux-là. Vous écrivez vraiment n’importe quoi.



  • Christian Labrune Christian Labrune 11 mars 2012 13:18

    @rosemar

    "vous ne voulez pas comprendre:je ne parle pas des vieux mais des gens qui agonisent !!Vous faites quand même la différence !
    Je condamne tout exclusion des personnes âgées:ce qui se passe dans les maisons de retraite est parfois scandaleux:en avez vous visité ?"

    Statistiquement, la question de la fin de vie concerne davantage les vieux que les accidentés de la route. Nos interlocuteurs ne s’y trompent pas puisqu’aussi bien ils évoquent le plus souvent la disparition de parents âgés.
    Cette propagande dont vous vous faites complaisamment le relais ne se serait jamais développée si des questions économiques importantes n’étaient pas en jeu : les vieux coûtent cher et ne produisent pas. C’est ça, le fond du débat et c’est ça qui pourrait décider des politiques sans grand scrupule à légiférer sur l’horreur. Quand les masses sont dupes et applaudissent des deux mains aux traitements ignominieux qu’on entend leur infliger, pourquoi se gêner ?

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