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Christian Laurut

Christian Laurut

De formation ESSEC, j'ai été chef d'entreprise pendant toute la durée de ma vie active. Parallèlement à la conduite de mes activités professionelles, j'ai commencé progressivement à m' interroger sur les fondements (et le sens) du système économique capitaliste croissanciste dans lesquel nous vivons tous, mais également sur la validité de son mode de gestion politique. C'est ainsi qu'en cessant mes activités professionnelles, je suis, dans le même temps, passé de l'action à la réflexion en publiant des ouvrages de réflexion et de critique d'économie politique, en réalisant des vidéos et en donnant des conférences. Je me qualifierais aujourd'hui de chercheur indépendant (indépendant, j'insiste) en organisation sociétale. Je suis notamment auteur des essais : L’Impasse de la croissance (2021), Vers la démocratie directe (2017), Anthropologie de la décroissance (2014) , Individu, Etat et Liberté (2014), A quoi sert l'Etat ? (2013), Vivement la décroissance (2012), L'imposture écologiste (2011).
 

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  • Premier article le 30/07/2010
  • Modérateur depuis le 14/10/2010
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Derniers commentaires



  • Christian Laurut Christian Laurut 23 septembre 2016 17:55

    Je suis totalement d’accord avec vous jusqu’au point 12 inclus. A partir de là, il me semble que vous décrivez plutôt une démocratie mixte représentativo-directe. En effet, le référendum n’est que la troisième et dernière phase de l’élaboration de la loi, la première étant l’initiative et la seconde le débat contradictoire.

    En démocratie directe totale, les trois phases sont le domaine réservé du peuple, à l’exclusion de tout représentant.

    C’est ainsi que l’Etat est délesté de la fonction législative dans son intégralité et que le président de l’exécutif, ni aucun autre fonctionnaire de l’Etat ne saurait proposer quelque mesure législative que ce soit.

    Le sujet est complexe, mais vous trouverez de la matière ici : http://www.democratie-directe.com et ici : https://www.youtube.com/user/demainladecroissance

     



  • Christian Laurut Christian Laurut 6 juin 2013 09:19

    Je maintiens que, dans l’esprit du NPA, l’appropriation par le peuple, est synonyme d’appropriation par l’Etat. Le NPA est d’« inspiration »trotskiste« , mais bien peu de ses militants ont lu ce bon Léon, et raisonnent plutôt comme des néo-staliniens, se définissant politiquement comme plus à gauche que le PC (lire maintenant FG) mais sans savoir précisément ce que cela veut dire. Pour ce qui concerne la destruction de l’Etat, cet objectif n’apparaît dans aucune plateforme du NPA. Et quant à la limitation des nationalisations au Cac 40, il est vrai que le programme indique »en priorité« , mais je n’ai jamais entendu dire de la bouche d’un vrai trotskiste que les PME devraient être nationalisées ou placées en autogestion »de force", mais plutôt à la suite d’un processus volontaire et avec des incitations fiscales de l’Etat (toujours lui !). Re-travaillez un peu votre propre doctrine avant de prétendre que je dis des absurdités.



  • Christian Laurut Christian Laurut 6 juin 2013 09:08

    Non ! La libre entreprise, et seulement la libre entreprise, c’est le LIBERALISME. Le Grand Capitalisme, par la création de monopole, et grâce aux faveurs de l’Etat « écrase » la liberté d’entreprise. Dans un système purement libéral, le développement du grand capitalisme n’est pas possible. C’est précisément l’objet de cet article et de son argumentation. Mais je conviens qu’il s’agit d’un débat très fouillé, qui ne peut se résumer en deux phrases.



  • Christian Laurut Christian Laurut 5 juin 2013 17:22

    Même en complétant votre définition, elle reste dans le domaine subjectif, et non objectif. Ce n’est pas parce que vous dites que c’est « parfaitement mesurable » que çà l’est. Il ne suffit pas d’affirmer quelque chose pour que cela soit vrai, il faut le prouver. Et ce n’est pas parce que vous affirmez qu’un critère est objectif, qu’il l’est. Ou alors il faut redéfinir le mot « objectif » et le mot « subjectif ». Une autre erreur de raisonnement que vous faites s’appelle le syllogisme : 1. vous constatez objectivement qu’un individu est en mauvaise santé physique. 2. vous constatez objectivement qu’il travaille dans une entreprise capitaliste. 3. Vous en déduisez qu’objectivement le capitalisme détériore la santé physique des individus.



  • Christian Laurut Christian Laurut 5 juin 2013 08:17

    Le capitalisme se définit comme un « système économique basé sur la propriété privée des moyens de production ». Il n’y a pas à revenir là dessus, sinon pourquoi ne pas rédéfinir aussi tous les autres termes ? Le fait que l’Etat possède des actions dans les sociétés capitalistes n’est pas contradictoire avec cette définition, il agit comme toute personne morale intervenant dans le marché boursier. Cette définition se base sur un critère objectif (la propriété privée des moyens de production) qui peuvent être facilement démontrés, alors que celle sur vous proposez s’appuie sur des critères subjectifs (recherche du profit) qui ne peuvent pas être spécifiquement démontrés. Pensez vous qu’une entreprise en autogestion ne va rechercher le profit, ni la productivité ? Quant à la « recherche du bonheur humain », en faire la définition d’une idéologie me paraît relever plus de la poésie que de l’analyse sérieuse.

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