Etudiant de 25 ans en MIAGE à Paris, je m’intéresse à de nombreux sujets de société tels que la politique ou la science. J’aime apporter un regard critique et je me plaît à essayer de trouver d’autres solutions.
J’ai eu l’occasion de tester Vista Ultimate (tant qu’à tester un Windows, autant mieux le faire avec une version non bridée) sur mon ordinateur portable, modeste IBM T42 1.7Ghz avec 1Go de RAM.
A commencer par l’installation de Vista : plus d’une heure, ce qui est quand même vachement long quand on se rappelle le temps que ça prenait sur les autres Windows.
Ensuite je l’ai testé et la seule chose d’intéressante dans ce nouveau Windows, c’est son interface graphique (disponible pour les versions chères). C’est beau. Oui, mais l’estétique ne fait pas tout.
Alors je l’ai testé durant une journée, après avoir installé la suite Office 2007.
Déjà, c’est lent. Joli mais lent, car il faut bien charger tout le foutoire (Vista + Office + l’interface graphique) dans la mémoire. Ensuite j’ai activé la petite barre transparente à droite. Et, grand curieux que je suis, j’ai observé la consommation mémoire et l’activité processeur.
Et c’est là que j’ai compris pourquoi mon ventilateur tournait à fond ! CPU : activité moyenne de 60/70% (10/15% en moyenne sur XP pour une utilisation bureautique). Et mémoire vive : minimum 450Mo, 600 en consommation moyenne.
Alors avec Word qui ramait (oui oui !) et Power Point qui mettait 1/2 seconde pour changer de slide (quand on fait défiler une 20 aines de slides ça devient long), ça commençait à faire beaucoup !
Alors à la fin de la journée j’ai reprise mon p’tit CD de XP Pro et hop, bye bye Vista !
Sauf qu’à la différence des animaux, l’être humain possède un cerveau qui lui permet, outre d’utiliser des outils pour faciliter sa vie, de se poser des questions et d’influencer sur l’évolution de son espèce.
Je vais éviter de rentrer dans le discours ultra-féministe, mais il faut reconnaître certains faits.
Nous sommes effectivement dans une société dominée par les hommes (pour ne pas dire les mâles), et dont l’inconscient social prépare les filles à être de parfaites consommatrices soucieuses de plaire aux hommes. En atteste les magazines pour adolescentes (« comment lui plaire », « comment se faire belle », « qu’est-ce qu’il ne faut pas lui dire »... -> ils prennent un discours qui place la fille en soumise).
Alors oui, pour qu’une femme se fasse entendre elle doit se faire « mec ». Oui, si une femme veut se mettre en avant, elle doit mettre de côté toute son éducation de petite fille et devenir dure, brute... « homme ».
Je vous laisse vous renseigner sur ce livre, ce qu’il dit est vraiment très vrai.
Analyse très intéressante. Un bon point pour l’auteur
Ce qui est indéniable, c’est que contrairement à ce que disent les médias et au comportement des autres hommes politiques, il y a une véritable côte de sympathie qui a émergée depuis la campagne. Plus de 70 000 pré-inscriptions ont été enregistrées, soit 2 fois plus que lors du (vieux) temps de l’UDF.
En fait ça me fait penser au stéréotype (mais avéré) du conflit entre le peuple et les hommes de pouvoir, les uns tentant de persuader les autres avec les moyens en leur possession.
Demain on verra l’affluence au Zénith. Demain on verra si ce mouvement est véritablement suivi par les citoyens.
Demain, on verra si les élus UDF qui ont rejoins l’UMP ont eu tort ou raison.