vous ne comprenez rien. Lorsque l’on ouvre un dossier, pour pouvoir passer la première écriture comptable, nous ouvrons un compte à l’étude, l’argent sur ce compte appartient aux clients. Si vos intérêts se trouvent toujours sur ce compte, il n’y a rien de grave car on finira par s’apercevoir que ledit compte n’a pas été soldé. En revanche si cette somme a été empochée par le notaire, en perte et profit par exemple, là c’est très grave cela s’appelle piquer dans la caisse.
@barrere : et ils sont passés ou les intérêts ? laissés sur le compte de l’étude suite à la négligence d’un clerc, ou dans la poche du notaire ? car ça fait plus qu’une grande différence !
ça m’est déjà arrivé de me faire taxer de voleur alors même que l’on ne pouvait même pas me reprocher une quelconque négligence, et ce par des gens qui avaient l’air de bonne foi, mais bêtes comme c’est pas permis.
Il m’est arrivé d’avoir un pb avec un garagiste, j’en ai changé, je ne bave pas pour autant sur l’ensemble de la profession... vraiment des arguments dignes du café du commerce.
Je commence à mieux vous cerner, libéral frustré ?
On collecte les droits de mutation comme les commerçants collectent la TVA, ou est le conflit d’intérêt ???
L’UE ne voit pas notre statut d’un bon oeil, non en raison d’un quelconque conflit d’intérêt, mais bien parce que cela contrevient au sacro-saint principe de l’ultra-libéralisme. Au sein de l’UE les termes « monopole » ou « domaine réservé » sont des grossièretés. La France s’est déjà fourvoyée en libéralisant le secteur de l’énergie, espérons qu’elle ne fasse pas la même bourde avec le notariat.