Pas facile à faire dans le domaine de l’alimentation. Pourtant, on en discutait il y a peu sur ce site, c’est ce qui s’est produit « naturellement » avec la chute vertigineuse des ventes de la musique « industrielle », de trop mauvaise qualité pour trouver suffisamment d’acheteurs.
Votre article commence sur une explication sur la mort. Mais Decourtray étant prêtre, quel était sa conviction ? Celle de J.Hamburgueur, ou celle de la croyance en une vie après la mort, comme on pourrait s’y attendre pour un prêtre ? Pourquoi commencer votre article ainsi ?
Bonjour, Le bonheur me semble être l’état naturel de l’être, une fois que celui ci s’est libéré de la souffrance. Donc la souffrance a une utilité, encore faut-il le reconnaitre, car on fait tout pour la fuir. S’il y a souffrance, c’est qu’il y a un problème à résoudre, c’est un signal, un outil de travail. Le bonheur ne dépend pas de circonstances extérieures, mais d’un apaisement intérieur. Beaucoup de gens me l’ont dit, quand j’étais plus jeune, et je n’arrivais pas à le croire. C’est lorsque je suis enfin parvenu à commencer à l’expérimenter sincèrement que j’ai découvert cette vérité. Se libérer de la souffrance ne mène pas à une situation neutre (simple absence de souffrance), au contraire, quelque chose jaillit de l’être, une source de joie et d’empathie.
Bonjour, je me suis intéressé un peu à ce programme monarch. J’ai vu quelques vidéos d’analyse des clips et de leur symbolique, et à première vue, cela se tient en matière de décodage psychologique. Je suis tombé également sur une interview étonnante de M.Jackson, et son discours était celui de quelqu’un cherchant désespérément à se libérer d’une secte.