Ils semblent attendre. Quoi ? Je pense des
instructions des pouvoirs publiques. Macron a obligatoirement un plan de grande envergure pour 2019. Pour lui, c’est
la victoire ou la Mort (politique). Beaucoup des choses qui se passent s’inscrivent,
obligatoirement déjà, dans la mise
en place des éléments du « plan ».
...vous êtes d’accord avec eux... : Ca saute aux yeux et ce n’est pas surprenant. Oligarchie et gauchisme – je
simplifie, comment s’y retrouver dans leur capharnaüm de courants, factions
et chapelles ? – poursuivent le même objectif : la destruction des
nations et, dans cette course à l’échalote que les gauches vont gagner -, c’est
marqué dans Marx, ch. XVII, versets 55 à 96 -, ils mettent l’oligarchie à leur
service pour exécuter une part du boulot qui ne leur incombera plus.
Il ne fait pas de doute que la connaissance d’une langue est une
extraordinaire ouverture sur le monde et sur ses cultures. Apprendre une
nouvelle langue est un enrichissement sans pareil pour les rapports entre les
hommes, les sociétés et les civilisations.
N’exagérons
rien. J’ai appris l’italien, ça m’a ouvert sur le « monde » italien,
sur quelques bouts de cultures italiennes comprises entre le Piémont et Rome. L’enrichissement
n’est pas allé au-delà des limites que je viens d’indiquer ( je ne suis même pas
allé à Venise) et je n’ai pas vu d’autres hommes que des immigrés lombards ou romagnols que j’aurais pu rencontrer dans une honnête osteria parisienne. J’ajoute que tout couramment que je parle, je peine à comprendre le toscan originel de la Divine comédie. Vous idéalisez trop.
Pas tout à fait encore, mais
on brûle... Je vous parle des années 1960-70 en Afrique, vous me répondez 2018
en France. Il restait donc à liquider cet anachronique décalage. C’est fait.
« Plus de 30% de
conduite d´eau en France sont vieux, le saviez vous ? »
Non, je ne le savais pas,
mais c’est un problème assez secondaire par rapport à d’autres. Par exemple, après la
catastrophe de Gênes il a été dit – je me souviens de ce chiffre , sans pouvoir en garantir la réalité– que 260
ponts étaient à risques dans l’hexagone.
S’agissant des vieilles canalisations,
le principal inconvénient ressortit aux pertes de transport, cela signifie que les
conduites fuient et que l’eau « perdue » retourne à une nappe phréatique,
j’imagine n’étant pas un spécialiste.
Maintenant, si un service
compétent faisait une étude nationale sur l’adaptation des infrastructures au
nombre d’habitants dans des zones données, les Français seraient sans doute stupéfiés par le laxisme
des pouvoirs publics, « laxisme » qui, ici aussi, trouverait son
explication dans le manque de ressources financières