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Corinne Colas

Corinne Colas

 
Sans désirs coûteux,sans envie, vivre tout simplement sa vie,
mais la garder inasservie... (E.Guillaumin)
Ne vivons plus comme des esclaves !

Tableau de bord

  • Premier article le 13/04/2012
  • Modérateur depuis le 09/03/2013
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Derniers commentaires



  • Corinne Colas Corinne Colas 15 novembre 2012 17:03

    Précision ! Réponse à @ sous plancher... bien sûr et non à l’auteure qui a eu le mérite d’évoquer certaines situations inconfortables banales mais si gênantes... 





  • Corinne Colas Corinne Colas 15 novembre 2012 16:55
    Pour comprendre mon petit bout de phrase : « c’est tout simplement qu’ils adorent nous reluquer »,  un joli smiley humoristique à la suite, vous aurait sans doute permis de conclure à une boutade... Mais bon, je ne savais pas que c’était nécessaire. Mille pardons... si de bonne foi, vous l’avez pris au premier degré.

    Cependant quand vous laissez entendre que je pense que « tous les médecins sont des pervers », là je vous propose d’acheter des lunettes si vous n’avez pas lu le mot « certains ». 

    Tous les médecins ne sont pas des pervers comme tous les prêtres ou tous les enseignants ne sont pas des pédophiles non plus, fort heureusement. 

    Quant à moi, j’ai bien fait attention à employer plutôt le terme « voyeurisme » pour qualifier certaines situations très précises (l’une mériterait pourtant un superlatif qui vous choquerait) et en effet, je ne pense pas être la seule à les avoir subi. Cela ne doit pas empêcher les femmes de se faire soigner (merci pour les majuscules, vous savez que cela veut dire que vous hurlez !). Nous ne sommes pas assez idiotes pour conclure à des généralités pour cause d’expériences isolées difficiles... 

    Toutefois à vous lire, la perversité serait impossible dans certaines professions sous prétexte qu’on se déshabille en toute confiance à l’hôpital ou dans un cabinet. 

    Faut croire que c’est un sujet tabou ! 
     
    « la tenue en vigueur est encore celle qui véhicule le moins de microbes »... Non seulement, je ne parlais pas d’opération mais en plus je soulignais un autre problème : quand on est patiente, comment évaluer par exemple la légitimité d’une demande ? Nous n’avons aucun outil pour douter... et nous ne voulons surtout pas douter.

    Nous avons bien souvent l’occasion de nous mettre à poil et c’est toujours sans arrière-pensée de notre part puisque « le médical » l’exige, c’est pour notre bien. L’on pense d’ailleurs aux centaines de corps qui défilent et l’on imagine l’overdose, l’indifférence. Le contexte est rassurant, déconnecté de tout danger. 

    Il est donc inscrit dans le marbre que notre corps n’est qu’un corps à soigner et non à désirer mais il nous arrive de découvrir le contraire parfois. Et je ne parle pas de la drague par les toubibs durant l’exercice de leur profession. Elle peut être pressante mais a le mérite d’être claire, dans un contexte dénué de « perversité » justement. Cela peut être flatteur ou agaçant mais pas plus que d’habitude. 

    Le grand méchant loup déguisé en blouse blanche, c’est tout autre chose. Cela entraîne le même sentiment, le même dégoût que lorsque vous découvrez qu’il y avait un type proche de l’apoplexie, derrière le rideau de la cabine d’essayage d’un magasin tandis que vous pensiez essayer des fringues en toute tranquilité.

    Ne venez donc pas nous baratiner avec la « honte du corps »... Ce que j’évoque n’a strictement rien à voir et là pas besoin d’un dessin, les femmes comprendront... (et sans doute aussi quelques hommes).


  • Corinne Colas Corinne Colas 15 novembre 2012 12:35

    Chère Caroline,


    ... c’est tout simplement qu’ils adorent nous reluquer. Ils nous font même enlever la casaque quand ce n’est pas nécessaire en réalité (ou ... tous nos vêtements si cabinet privé). Je n’en dirai pas plus mais la médecine pour certains mâles semble être un métier qui permet le voyeurisme sans condamnation. Quand le même examen fait par une femme, nous permet de garder notre culotte, on se pose des questions après coup et cela n’arrive pas qu’une fois ce genre de désagrément dans notre vie mais chut, c’est tabou !


  • Corinne Colas Corinne Colas 14 novembre 2012 17:29
    @ Soi-même
    Gardez-vous des orthophonistes si vous n’avez pas eu des résultats au bout de deux ans et faites un bilan neuropsy plus un bilan neurovisuel (la vue n’est pas en cause). Vous saurez comment vous fonctionnez. Vive la diversité ! Il n’y a pas une seule façon d’apprendre, il vous faut connaître la vôtre... 

    @ Agafia
    j’avais très apprécié votre article sur Stalingrad. Bonne continuation.

    @ Romain
    « l’aristocratie de la langue »

    La langue, c’est ce qui nous gouverne. Nous avons tout intérêt à la maîtriser, ne serait-ce que pour mieux en déjouer certains effets très efficaces. 

    La Rochefoucauld disait : « l’homme c’est comme le lapin, il se prend par les oreilles ». 

    Si l’on fait le nécessaire pour que l’apprentissage de la langue devienne difficile à l’école, le lapin est plus facile à saisir...

    C’est donc une situation à combattre et certains s’y emploient avec ardeur notamment sur les forums... sauf que a) ce n’est vraiment pas le lieu b) la méthode est humiliante pour les jeunes ou moins jeunes qui osent dépasser cet obstacle pour venir s’exprimer d) c’est très superficiel comme attitude et dénote fort justement le bon endoctrinement. Ex : ce que votre ami a perçu par rapport à vous lors de la lecture de la carte...

    Quant à la dysorthographie vraie, celle qui a tant inquiété nounours ici puisqu’il s’est transformé en correcteur vengeur... c’est vraiment un problème hors les murs de l’école et le premier à en souffrir, c’est celui qui écrit donc faisons l’effort de le lire sans commentaires acerbes sur quelque chose qu’il ne peut gommer. Le « dys » fait partie de lui comme sa couleur des yeux ! L’égalité, c’est accepter les différences. Nous ne sommes pas tous pareils... 

    Ne s’attacher qu’à la forme (pourtant moins importante que le fond) dans un échange sur un forum, cela fait partie des artifices de déstabilisation de la parole d’autrui. C’est donc plutôt cela que je dénonçais et non « l’aristocratie de la langue »... sinon à souhaiter que nous devenions tous des aristocrates...

    Allez...histoire de remettre de l’huile sur le feu en faisant un commentaire plutôt sur l’article : on ne peut nier que cela va causer bien des problèmes d’identité. Proposons le retour du latin avec un masculin, un féminin, un neutre. 

    Et pour nous réconcilier tous pendant juste une heure, regardons plutôt le magnifique film : « Priscilia, folle du désert ». On y rit et on y pleure... 



  • Corinne Colas Corinne Colas 14 novembre 2012 15:44

    Ma préférée : « ni des lèvres ni des dents » ! 

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