Je crois que nous vivons une (é)volution informatique majeure.
Comme vous le soulignez, Rosemar, ces tablettes sont équipées de clavier tactiles. Cela permet d’assurer la portabilité de l’engin, et aussi à augmenter les marges des constructeurs informatiques (il n’y a pas de petits profits) puisque cela leur évite de faire manufacturer des claviers différents pour chaque pays (les claviers tactiles étant alors simplement paramétrables par logiciel).
Mais, pour ma part, Ce n’est pas tant le clavier « tactile » qui me semble caractériser les tablettes (d’autant plus que l’on peut moyennant finances y remédier en ajoutant à ladite tablette un clavier (le leader de sa tablette en propose à son catalogue).
1°) Nous revenons depuis déjà quelques années à la structure des premiers temps de l’informatique (ce que l’on appelait dans les années 60-70 les mainframes (gros systèmes) auxquels se connectaient des terminaux passifs) est désigné désormais le cloud (en réalité ce terme de nuage n’est qu’un nom plus « sexy » et plus vendeur pour signifier que vos données sont hébergées dans des centres de données (data centers),qui sont de véritables usines particulièrement (http://www.journaldufreenaute.fr/15/04/2009/visite-du-datacenter-de-free.html ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_de_traitement_de_données)). Donc un réseau très « centralisé ». Auquel se relie votre tablette, qui devient alors un terminal « passif », capable de lire votre musique, d’afficher vos fichiers de données... ceci où que vous soyez.
énergivores
2°) Il va de soi que ce fonctionnement va continuer à poser la problématique de la confidentialité des données des utilisateurs. Enjeu majeur pour les sociétés de demain.
3°) Tout comme les téléphones portables, les tablettes sont connectées par l’intermédiaire de réseaux sans fils, dont on ignore les conséquences à long terme sur la santé.
J’espère, Rosemar, que vos élèves sont plus pondérées et moins grossiers que certains commentateurs qui se sont illustrés ici par leur morgue, leur suffisance, et leur haine.
Des cas associaux (je n’ose même plus dire sociaux).
« Napoléon a crée le Code Civil en 1 mois. ( tout en s’occupant de ses guerres et de ses maîtresses) ..avec les moyens de l’époque...ce Code Civil qui sert encore aujourd’hui »
Quel miracle !
Quand Dieu créée la terre en 7 jours, Napoléon peut bien créer ex cathedra le code civil en un mois...
Les premiers projets de code civil datent de 1793. Ils sont l’oeuvre de Cambacérès.
Le projet lui même fut initiée en 1800. Il fallut donc 4 ans pour donner à la France son droit commun unifié, qui, comme vous le soulignez existe encore.
Je vous suggère d’arrêter ces approximations puériles et éhontées qui ne servent à rien. Ou de retourner à l’école, car privée ou publique, vous en auriez bien besoin.
La première est que ce monsieur, cramponné à ses privilèges comme une arapède à son rocher (http://fr.wikipedia.org/wiki/Patelle) me semble plus Indigne qu’indigné.
Il est contre un état interventionniste, soit. Mais qu’il n’oublie pas qu’une partie de ses clients sont des collectivités locales et/ou des établissements publics. Avant de cracher dans la soupe, je pense qu’il aurait intérêt (et la société qu’il représente), à faire montre d’un devoir de réserve, à tout le moins d’une forme de pondération.
La seconde est que dans un monde où les vieux sont de plus en plus jeunes, comment voulez-vous, Noodles, que les jeunes trouvent leur place... C’est le « jeunisme » des vieux (pardonnez le néologisme) qui anéantit les jeunes.
En même temps pauvres enfants ! On les comprend : ils ont la vie pour « supporter » le travail sur un écran. Quel instrument de torture tout de même...