Mais comment peut-on être intelligent
et ne pas s’être rendu-compte dès 2007 que la personnalité et le
caractère de ce petit pauv’complexé ne pouvaient que nuire au
pays ?
Mieux vaudrait se passer de son
dévouement patriotique. Deux fois ? Bonjour les plus gros
dégâts. Même si Hollande n’était que le moins pire.
Churchill a aussi dit, mais ça on ne
l’a pas retenu, quelque chose comme « Il me suffit de
discuter dix minutes avec un Britannique pour me rendre compte des
dangers de la croyance en la démocratie »
On n’apprend pas l’orthographe au FN ? Ça aurait été bien mieux de mettre
une majuscule à Français quand il est utilisé comme nom, sauf s’il
s’agit de la langue
L’attention aux Français commence par
là.
Sachant bien qu’on (se) trompe souvent
quand on dit ou écrit « Les Français » (à qui on fait
penser ce qui nous arrange), puisque dans certainement plus de 75 %
des cas au moins , il s’agit seulement DE Français. Donc il fallait
honnêtement dire « Des Français », ce que n’a pas fait
notre nouveau président en commençant son tout premier discours
présidentiel à Tulle.
Les noms (« gentilés » ou
« ethnonyme ») désignant les habitants d’un pays, d’une
province, d’une localité.... (Note de l’expéditeur : et même donc
d’un quartier de grande ville !!!) prennent la majuscule initiale :
les Français, les Anglais, les Poitevins, les Parisiens.
Les noms de langues correspondants
gardent une minuscule : parler le français, l’anglais, le
poitevin...
L’adjectif garde la minuscule : la
population française, la cuisine anglaise, le
Marais poitevin, le Bassin parisien.
L’usage est incomplètement fixé et
les codes typographiques diffèrent quant au traitement de
l’attribut : Il est anglais (adjectif) ou Il est Anglais (nom).
L’Imprimerie nationale tranche en faveur du nom, comme on le fait par
exemple en allemand (Sie ist Franzüsin).
L’Académie considère que l’on a
affaire à un adjectif, que l’on ne dira jamais Elle est Suissesse,
mais Elle est suisse, et met donc la minuscule : Ils sont albanais,
corses... Elle n’est pas parisienne.
Enfin, on distingue généralement les
noms désignant proprement des habitants de leurs emplois dérivés :
les Albigeois aiment leur ville ; la croisade contre les albigeois,
Cathares du Midi de la France, au XIIe siècle.
L’erreur
ne devient pas vérité parce qu’elle est approuvée par beaucoup”
(Gandhi)
« Ce n’est pas parce qu’ils sont
nombreux à avoir tort qu’ils ont forcément raison . » (Un très
grand philosophe français, avec au moins une bonne lecture, mort
prématurément d’un bête accident de moto).
« Ceux qui regardent le vote universel comme une garantie de
la bonté des choix se font une illusion complète. » Alexis
de Tocqueville
« Dès que nous disons le mot «
démocratie » pour nommer notre mode de gouvernement qu’il soit
américain, allemand ou français, nous mentons. La démocratie ne
peut jamais être qu’une idée régulatrice, une belle idée dont
nous baptisons promptement des pratiques très diverses. Nous en
sommes loin, mais encore faut-il le savoir et le dire . » (Feu
Alain Etchegoyen, ex-patron du Commissariat général au Plan dans «
La démocratie malade du mensonge » )
« Nous sommes victimes d’un abus de
mots. Notre système (les « démocraties » occidentales) ne peut
s’appeler « démocratique » et le qualifier ainsi est grave, car
ceci empêche la réalisation de la vraie démocratie tout en lui
volant son nom. » Serge-Christophe Kolm
« La démocratie c’est le nom volé
d’une idée violée. » Jean-Pierre Martin,.
Qui peut nous expliquer ici pourquoi il
est préférable, sinon meilleur pour l’intérêt général des
personnes concernées, de faire confiance à quelqu’un qui a obtenu –
dans le cas extrême - 50,01 % des voix consciencieusement vérifiées
de ceux qui ne se sont pas abstenus plutôt qu’à son concurrent
ayant obtenu 49,99 % des suffrages abusivement dit « exprimés »,
puisque s’abstenir c’est aussi s’exprimer ?
Pour ce qui est de la déclaration des
droit de l’homme Warshawsky se trompe selon la propre déclaration
(un peu forcée) de Stéphane Hessel
Mais quoiqu’il en soit tant qu’il ne
déclarera pas explicitement qu’il est pour la disparition de « la
seule démocratie du Moyen-Orient » Warshawski illusionnera
ceux qui viennent à ses conférences et il ne sera pas un vrai ami
des Palestiniens patriotes.
Même s’il est incontestable qu’avec sa
femme avocate courageuse ils ont été très secourables, sinon
plus, pour plusieurs d’entre eux.
Si vous en avez le temps, lisez l’historien américain Arno Mayer d’origine luxembourgeoise et toujours vivant qui a écrit « De leurs socs ils ont forgé des glaives. Histoire critique d’Israël ». Il se dit « Juif non juif », c’est à dire Juif non pratiquant
Très intéressant aussi le Juif natif de Palestine (1930) Claude Brzozowski qui a écrit « Du foyer national juif à l’état d’Israël. Analyse d’une spoliation ».
Ils nous apprennent le passé dont nous parlent mensongèrement des « Juifs » du présent à qui il faut savoir essayer démontrer solidement leur propagande. Pour aider à bâtir le seul futur juste et éthique du Jourdain à la Méditerranée pour le moins, incluant d’ex-Israéliens se croyant descendants d’Hébreuses avec réellement les mêmes droits
« Un mensonge n’est pas un mensonge tant qu’on ne connaît pas la vérité »