Les bouquins sont bien meilleurs que le film, se focalisant surtout sur les pensées de l’héroïne. Attention toutefois pour votre enfant de 10 ans, les livres sont assez violents (physiquement comme moralement).
Désolé, mais vous êtes dans votre analyse assez à côté de la plaque. Déjà critiquer un film en en voyant que la moitié est plutôt malvenu. Ce film n’est en plus que la première partie d’une tri ou quadrilogie. Le propos ne peut donc éventuellement se comprendre que sur l’ensemble des films qui forment une œuvre complète. Mais ce n’est pas le pire.
Ce film est l’adaptation d’une série de romans, et même si cette version cinéma n’est pas d’une grande qualité, il faudrait pour étayer votre analyse se pencher sur le contenu de l’œuvre littéraire. Vous y auriez compris certaines choses, invisibles dans le film, grâce aux pensée de l’héroïne qui apportent un éclaircissement sur ses actes.
Et là vous auriez justement découvert que cette œuvre va justement dans le sens de votre discours. Car Hunger games est en plein une critique de la domination, de l’oppression, de l’injustice et de l’endoctrinement. Jusqu’à la fin d’ailleurs (un autre contributeur évoquait un Happy End obligatoire pour ce genre de bouquin américain, ce qui n’est pas exactement ce qui se passe, rendant cette saga encore plus étonnante).
Lisez les livres, bien meilleurs que l’adaptation tiède (mais fidèle dans le déroulement).
"Sauf que l’Islam c’est la première religion de France. Voila la
différence.Il va falloir que ça te rentre dans ta petite tete... "
Le concours de celui qui a la plus grosse pour justifier du bienfondé d’une politique ? Original. Certes moralement (et spirituellement) douteux, mais c’est dans l’air du temps on dirait.
Par contre pour vos bons mots sur la laicité en tant que religion, vous vous méprenez. J’ai par exemple mes convictions spirituelles personnelles, mais je soutiens également la laïcité (dans son esprit originel et non dans les débats boueux imposés par la classe pouritique actuelle) et suis loin d’être le seul. Parlez de principe d’organisation du pouvoir, éventuellement de philosophie, mais pas de religion.
Merci de ne pas me tutoyer. Votre condescendance est déplacée. Quant à vos exemples, je pourrais aussi en citer allant dans le sens inverse des vôtres. Mais n’accordant aucune importance aux interprétations personnelles, bien trop subjectives pour refléter une quelconque forme de vérité (mais idéales pour exciter les fantasmes), je m’abstiendrais d’en faire étalage.
« mais certains fonds de commerce seraient détruits. alors.. » C’est bien les problème/ Les proprios de ces fonds de commerce manient avec ravissement l’art de la diverssion pour conserver leurs titres de noblesse.