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Daniel Roux

Daniel Roux

La direction d’Agoravox m’interdit de commenter les articles de "Christelle Néant" :
« En raison de signalements pour non respect de la charte, vous ne pouvez plus réagir sur cet article. »
La direction d’Agoravox n’a pas répondu à ma demande d’explication.
Je réfléchis sur l’intérêt de participer à un média « citoyen » pratiquant une censure sélective, en donnant de plus en plus de visibilité à la propagande.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/08/2007
  • Modérateur depuis le 15/05/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Daniel Roux Daniel R 23 août 2008 13:29

    Voulez vous suggérer que nos élus sont des guignols qui ne connaissent rien à rien ?

    N’est-ce pas les parlementaires qui ont voté cette loi ? Bigre ! De l’anti-parlementarisme de votre part, voilà ce qui me surprend beaucoup.

    Blague à part, vous avez raison. La décentralisation est un échec. Les gouvernements successifs s’en servent pour transférer de plus en plus de charges, notamment les plus impopulaires, en prenant bien soin de ne pas les compenser. Du coup les impôts locaux augmentent et le gouvernement hurle à la mauvaise gestion des régions par les socialistes. Infantile !

    Remarquons qu’il s’agit de la même technique que celle utilisée pour saborder la Sécurité Sociale. On pique dans la caisse puis on dénonce le déficit.








  • Daniel Roux Daniel R 22 août 2008 17:01

    Je ne peux pas m’y faire. Que tous les pouvoirs exécutifs, législatif et judiciaire soient concentrés dans les mains d’un seul homme.

    Je ne peux pas m’y faire qu’un tel homme soit parvenu si haut à coup de manipulations et de mensonges.

    Je ne peux pas m’y faire, qu’un seul homme puisse en plus, nommer qui lui plaît et virer qui lui déplaît sans aucun contrôle.

    Non vraiment, je ne peux pas m’y faire qu’un seul homme puisse décider d’envoyer hors d’Europe des soldats français dont l’unique raison d’être devrait être la défense du territoire.

    Non vraiment.. je ne supporte plus ce colonialisme hypocrite qui sous couvert de lutter contre le terrorisme, tous les étrangers seront bientôt des terroristes, continue à exploiter les autres peuples et à leur imposer notre triste modèle basé sur l’exploitation et l’angoisse.

    1984 est un livre qu’il faut lire si l’on veut comprendre pourquoi nos gouvernants ont toujours besoin d’ennemis, de guerres et de terrorisme en affirmant qu’il s’agit de défendre la démocratie (où ça ?) et la liberté (de s’enrichir ?).

    Je ne peux pas m’y faire de me réveiller chaque matin en 1984 !




  • Daniel Roux Daniel R 22 août 2008 16:42

    Un seul mot d’ordre pour 2012 : 5 ans avec Sarko, c’est déjà trop et ça suffit !

    60% des électeurs semblent être d’accord sur ce point.

    En partant de ce constat, quoiqu’on en pense, un seul candidat à la présidence sera élu et ce candidat viendra soit de l’UMP, soit du PS. Je ne vois pas actuellement de personnalité, non pas capables mais juste crédibles, en dehors des ces partis.

    La réussite de ces partis, chacun de leur côté, est d’avoir marginalié leurs concurents. Je le déplore, le constate et prend acte de l’état des forces en présence.

    A droite, il est probable que Sarko, même impopulaire, tente de s’accrocher et possible que Villepin ou Borloo, avec l’appui d’un Devedjan rancunier, arrivent à l’évincer.

    A gauche, les militants doivent choisir dès maintenant leur Secrétaire-Candidat en tenant compte uniquement de ce que chacun des postulants a réellement accompli. Le candidat idéal devra avoir gouverner avec succès une région. Il faut être fin politique et persévérant pour accéder à cette fonction dans notre pays. Cela aura l’avantage d’éliminer tous les beaux parleurs schizo qui sont à gauche devant les militants et à droite lorsqu’ils sont ministres ou au FMI

    Le nouveau secrétaire devra être clairement le prochain candidat à l’Elysée. Il devra sélectionner et présenter son équipe aux citoyens. Tenir une conférence de presse hebdomadaire afin de créer un contre pouvoir virtuel mais crédibles. Il devra dire clairement ce qu’il garde ou réformera de la politique du gouvernement. En clair lui et son gouvernement fantôme devront exister et pousser les troublions qui ne respectent pas les règles démocratiques vers la sortie.

    Les citoyens en ont assez de n’avoir le choix qu’entre des gugusses gonflés et poussés par les "instituts" de sondages et les médias aux ordres de leurs riches patrons.

    Une équipe, un bilan, un programme.

    Julien Dray, quelle blague ! Ce n’est pas lui qui tutoie les journalistes et s’est mélé avec le succès que l’on sait des affaires de coeur de Ségolène et François ? Et à part ça, quel est son bilan ?




  • Daniel Roux Daniel R 21 août 2008 23:19

    Titi y lit mais y comprend pas ou y veut pas comprendre.

    Le salarié prend des risques lorsqu’il s’engage dans une entreprise. Il y consacre beaucoup de temps et fournit un travail pour lequel il est rémunérés. Il est placé sous l’autorité de l’entrepreneur et dépend entièrement de son talent. Il produit des richesses. Il doit donc recevoir une part des bénéfices.

    L’entrepreneur prend un risque lorsqu’il crée son entreprise. Il fait ses choix. Il prend les décisions. Il participe à la création de richesses. Il est rémunéré pour cela. Et comme il est aussi actionnaire. En cas de bénéfice, il touchera des dividendes.

    L’actionnaire qui investit prend un risque uniquement financier. Il ne travaille pas, ne touche pas de salaire, ne produit rien par lui même. Il apporte un capital et touchera des dividendes en cas de bénéfices. S’il n’est pas satisfait de son choix, il vend ses actions à d’autres investisseurs au prix du marché et va voir ailleurs. C’est son métier et il ne dépend que de son talent à choisir ses investissements.

    La faillite d’une entreprise est un drame pour le salarié. Il n’est pas responsable des erreurs de l’entrepreneur mais en subit les conséquences. Il perd son emploi et son salaire. Il perd aussi son investissement personnel dans l’entreprise. Il subit une forte baisse de revenu et sa famille en souffre, jusqu’à ce qu’il retrouve un emploi. Il arrive aussi qu’il tombe dans la précarité, le divorce, la rue, la misère.

    En réalité, c’est bien le salarié qui prend le plus de risques.

    La solution pour rompre cette dépendance indigne serait que les citoyens actifs aient un unique employeur, la Sté Nationale de l’Emploi des Actifs. Il recevrait un revenu constant en fonction de critères objectifs. Les citoyens actifs pourraient trouver eux même leur entreprise et réciproquement. L’entrepreneur utilisateur verserait un salaire de complément à l’actif employé et une cotisation d’emploi à la SNEA. Plus de misère, plus d’exploitation arbitraire, une incitation à travailler. Qu’est t’en dit Titi ?

    Cordialement.



  • Daniel Roux Daniel R 21 août 2008 19:13

    Il y a une différence entre gagner 2000 euros en Province et 2000 euros en Ile de France.

    Dans le premier cas, vous vous logez et vivez décemment.

    Dans le deuxième cas, vous aurez du mal à vous logez et à vivre décemment.

    Ce qui est décent, c’est de disposer d’un logement salubre avec une salle de bain et dans un environnement ne nuisant pas à la santé. De pouvoir faire des repas équilibrés, s’habiller chaudement pour l’hiver, et d’envoyer ses enfants quelques jours en vacances. 

    Ce qui est indécent, c’est de ne pas disposer de logement salubre, de ne pas manger à sa faim, de crever de froid l’hiver et de voir sa famille condamnée à la misère.

    Le smic que certains essaie de supprimer est à un niveau indécent pour la province, et plus qu’indécent en région parisienne.

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