Peu importe que l’on se rende compte de leur duplicité ou non, nous serons contraints de subir la vision du monde colportée par ces médiocres. Il est important de comprendre d’où ils parlent et de toujours être conscients que nous sommes dans une mise-en-contexte quasi permanente. Rien qui vienne remettre en cause ne serait-ce qu’un détail du récit officiel peut être admis dans les médias-corporations.
Lisez afin de vous armer des clés de compréhension nécessaires pour replacer les faits insolites dans leur suite de mensonges partiels ou complets. Il vous suffit d’en comprendre un seul pour que la fragile maison de cartes s’écroule.
Je vous devine déjà intelligent. Et je crois que vous soupçonnez déjà quelques-unes des nombreuses incongruités...
Pardon mais pour ma part, je crois qu’on ne devrait plus s’attendre à rien de ces torchons depuis belle lurette. À l’époque de la deuxième vague de révélations majeures de wikileaks au sujet du duo Obama-Clinton ainsi que des récentes guerres ayant obtenu la bénédiction de ces deux socles de la vérité et de la justice, on leur fournit les morceaux de choix, afin qu’ils puissent en fournir les explications qui leur seraient les moins nuisibles, alors même que ces révélations sont bien la preuve que ces escrocs nous mentent sciemment depuis maintenant plus 30 ans.
Article lucide et courageux. Si on fait fi de toutes les déclarations, des allusions à la morale, des prétentions philosophiques, voire à la limite de la logique même, on peut s’approcher de la vérité ; à savoir que nous avons affaire à des gens qui sont tout bonnement en guerre, et qui emploient toutes les méthodes nécessaires pour arriver à leurs fins. Ce qu’ils invoquent n’a aucune importance pour eux, ce ne sont que prétextes issus de calculs et de stratégie. Ils sont froids, cyniques et de mauvaise foi. Face à eux, on oppose une franchise spontanée, désormais impuissante et de surcroît, criminalisée.
Les paysans kabyles, lorsque confrontés à la montre pour la toute première fois, ayant parfaitement compris tous ses tenants et aboutissants, la baptisèrent... « moulin du diable ».
Ils n’étaient, pour ainsi dire, pas encore « domestiqués ».