Faisant partie des « autres », puis-je esquisser une réponse. Sur la carte proposée ci-haut, on peut aisément voir l’importance de la Libye dans l’afflux d’immigrés sur le sol européen. Outre les traités signés avec l’ancienne jamahirya libyenne, il y a son simple emplacement géographique. Or nous avons détruit cet état, qui honorait ces traités et limitait les flux migratoires.
De plus, une agence autrichienne a étudié le cas des migrants traversant la méditerranée sur des radeaux de fortune et bateaux de pêche (on a rediffusé l’analyse en allemand, avec sous-titres français sur TV Libertés). Il s’avérait qu’un « passeur » réclame en moyenne 10,000 Euros pour vous faire passer des côtes africaines en Europe. Mais quel migrant africain a 10,000 Euros ?!?
Des ONG américaines ont été vues sur place. Elles payaient les passeurs pour acheminer ces gens en Europe (selon les journalistes autrichiens).
En ce qui concerne le patronat anglais, il ne fait que reprendre le modèle allemand, en favorisant l’arrivée des sans-papiers qui accepteront de travailler pour des salaires modiques. Et le faible taux de natalité (qui justifie l’ouverture des frontières à ces étrangers) va génélement de pair avec l’enracinement de l’idéologie féministe, bien ancrée dans les pays protestants. L’ironie, c’est qu’elle fait le jeu des étrangères arabes et africaines, meilleures « pondeuses », dont les enfants remplaceront les européens de demain, et qui n’ont strictement rien à cirer des valeurs gôchistes / féministes / « progressistes ».
Petite correction aussi pour l’auteur du billet ; l’Europe millénaire est Helléno-Chrétienne ; le concept « Judéo-Chrétien » est une chimère relativement moderne. Si vous l’acceptez, serez vous en mesure d’accepter l’appellation Islamo-Chrétienne de demain ?
Cette fuite en avant se terminera de façon catastrophique. Libre à nous d’en être ou de ne pas en être. Afin de librement pratiquer la realpolitik si nécessaire à la survie de notre nation, il est impératif de quitter le bloc anglo-américain sous toutes ses formes (Otan, FMI, UE) avant de se faire avancer comme un vulgaire pion face aux derniers récalcitrants, qui savent pertinemment ce qu’ils ont à pedre en se soumettant à l’empire. Reprenons notre grande et belle politique étrangère nationale souveraine.
Où est la France de jadis, si fière et orgueilleuse face aux gesticulations incessantes de la perfide albion ? Cette France qui ne s’agenouillait que face au Transcendant et qui est maintenant aux abois des matérialistes les plus superficiels et obtus qui ne soient. Nous aurons bien mérité ce qui nous attend si nous ne changeons pas de cap !