Dantès

Le vieil appareil de désinformation est recyclé une fois de plus - sortez le cadavre du placard ! On fait l’amalgame de tout ce qui semble faire obstacle aux objectifs géostratégiques de l’impérialisme du moment. C’est le bon vieux « totalitarisme » de Mlle Madeleine Albright (maître à penser de Mlle Clinton) qui ressurgit ; cette expression bidon qui prétend regrouper dans un seul et même panier les mouvements révolutionnaires d’amérique latine, l’islamisme sunnite, la révolution iranienne et les bolchéviques. On est donc (une fois de plus) face à l’affrontement biblique du bien contre le mal, avec un camp du bien regroupant les sionistes frénétiques et parano, les anglo-saxons cupides et perfides, et leur lacquais obnubilé, le bisounours-mondialiste bruxellois (qui ne montre les dents qu’à leur demande). Dans le camp du mal nous avons, essentiellement, les peuples du monde entier. Vous me permettrez toutefois une objection, les « oeuvres » de Samuel Huntington et de Malthus ne figurant pas exactement parmi mes coups de coeur, et la réalité me semblant davantage d’actualité que le dogmatisme opportuniste anglo-judaïque.

Voyons ! Il ne faut pas leur en tenir rigueur ; ils ne font qu’obéir au maître !

Les intérêts du maître pourraient être marginalisés par l’arrivée de la Russie, sans parler des « stories » qu’ils pourraient avoir à expliquer devant un contradicteur averti qui fait le poids (pas comme nous, simples petits membres de la fachosphère complotiste, écartés à force d’anathèmes rébarbatifs ;)

@lsga

Je croyais que la stratégie militaire des anglo-saxons était, spécifiquement, d’empêcher la formation de blocs dans ce qu’ils nomment le « heartland » (plus précisément l’Eurasie).

Officiellement, la diplomatie russe appelle depuis 2008 à la formation d’un bloc économique s’étendant de Lisbonne à Vladivostok, et c’est, semble-t-il depuis ce moment là que s’intensifie drastiquement sa mise au ban, et le Maïdan de M. Soros.

Les sanctions soit-disant « anti-russes » mises en place à la demande de Washington et Londres, semblent n’avoit pénaliser que les pays exportateurs européens, les russes ayant profité de ce délai pour mousser le patriotisme chez eux, et accélérer la concertation de leurs effectifs économiques et militaires. Il est dur de distinguer les vraies manoeuvres du conte de fées.

@Alpo47

« ...de faire ou de provoquer à la guerre. »

5 chars Leclerc !!! De quoi les faire chier dans leur froc, vraiment !!!

Si elles daignaient entrer en Europe de l’Est en général ou l’Estonie en particulier, les forces armées russes les remarqueraient-elles seulement ?

Et voir si les armées européennes pourraient tenir le coup (même avec le soutien du beau-frère ’zunien mal intentionné) pour plus de 12 heures... Ils contre- attaqueraient à force d’injonctions et d’indignation merdiatique. Au moins le ridicule ne tue pas...

@Fifi Brind_acier

Mes conseils de lecture ne sont pas tombés sur de sourdes oreilles. L’aviez-vous déjà lu ou puis-je me flatter d’exercer une certaine influence oecuménique sur ce blogue ;) Pas mal non ?

Avant-hier, je me posais la question à savoir si nous pourrions établir des liens entre l’ancienne infrastructure otanienne des « stay-behind » (documentés par les soins de M. Ganser) et certains attentats plus récents qui nous ont frappés. Il y a effectivement un lien incontournable : Le Général Philippe Boutinaud. Le soir d’avant les attentats du Bataclan, c’est lui qui organisait une simulation qui, rétrospectivement, est un copier-coller des véritables attentats, survenus le lendemain. Ce Général Boutinaud nous vient directement du commandemant intégré de l’Otan en Europe !