À mon avis, la composante essentielle à ce genre de situation qui tourmentent l’esprit des gens, au point d’en écrire des articles aussi confus est l’attachement au sexe.
Ça se retrouve chez une très laarge majorité de la population, pas seulement les gays, et il n’y a qu’à allumer une télévision, ou écouter la radio pour comprendre à quel point notre culture le reflète.
Si l’on enlève le côté sexe, un « couple » d’hommes qui s’aiment, ça s’appelle des amis (de même pour une couple de femme), et c’est une chose on ne peut plus saine et conseillable.
Rajouter le changement de statut social des femmes, des morceaux d’œdipe bien frais (en quelque sorte, attachement démesuré à l’amour maternel), filtrer pour retirer progressivement l’amour du prochain. Servez au vingt-et-unième siècle.
Trop de sexe c’est comme manger trop de chocolat. Sauf que c’est pas les mêmes niveaux d’énergies.
Auquel cas, si les balles chutent sur une longue distance, tant qu’il n’y a pas de corps à proximité, la trajectoire ne devient pas parabolique, et donc ce défaut du principe d’Einstein n’en est pas un.
Pouvez-vous éventuellement expliciter une formulation du principe d’équivalence qui permette de mieux comprendre la contradiction expérimentale apparente ?
(En me basant sur la définiton de Wikipédia, je n’arrive pas à faire un lien évident…)