Votre article dénonce avec justesse la duplicité des pays sous
bannière américaine dont la France dirigé par un « young
leader » qui a immédiatement fait part de son soutien
inconditionnel au gouvernement ultra-nationaliste en roue libre
d’Israël. Celui que vous qualifiez alors de « jeune,
de beau, de cultivé, de brillant, de diplômé des meilleures écoles
... et de surcroît Mozart de la finance » est aussi celui,
pour qui a de la mémoire, a essayé de faire assimiler
l’antisionisme a l’antisémitisme (Le 16 juillet 2017,
Emmanuel Macron s’apprête à terminer son discours lors de la
commémoration du 75e anniversaire de la rafle du Vél’ d’hiv’.
Et soudain, se tournant vers Benyamin Netanyahou, qu’il a appelé
« cher Bibi », il lance : « Nous ne céderons
rien à l’antisionisme, car il est la forme réinventée de
l’antisémitisme. »).
Contrairement a ce que vous continuez malgré tout d’affirmer,
l’extrémisme et les restrictions de liberté sont moins le fait en
Europe de l’expression des groupes politiques d’opposition que de
l’exercice du pouvoir monopolisé par une classe dominante
défendant âprement ses privilèges !
Il y a quelque temps (« La démocratie chez les
populistes … ») vous portiez aux nues Macron et sa vision
dénaturée de la démocratie dans une vision énamourée de la
mondialisation à l’occidentale. Celle-ci incluait la politique
israélienne que vous dénoncez aujourd’hui ! Un peu de
cohérence de nuirait pas...
Si la réaction d’horreur provoquée par le massacre perpétré par
le Hamas est unanimement partagée, il en va pas de même de la
riposte et de l’analyse historique. La position occidentale visant
par principe à exempter le gouvernement ultra-nationaliste israélien
de tous les torts et de s’engager sans barguigner à ses côtés,
quitte à couvrir par avance des exactions à venir, a des relents
sinistres des croisades passées. Le « tuez les tous ,
dieu reconnaîtra les siens » a encore de beaux
jours devant lui !
Passée l’émotion, l’appel au pogrom inversé est indigne !
Tout comme profiter de l’occasion pour régler des comptes dans le
marigot politique français est purement indécent.
Stipulons
qu’en gros il existe 3 grands types de pompes à chaleur :
-
le système air-air, peu efficace sauf en milieu méditerranéen ;
-
le système air-eau, sensible à la température extérieure,
supposant un système d’appoint pendant les températures négatives
de la période hivernale et surtout performant lorsque le logement
est bien isolé (passoires thermiques à éviter impérativement) ;
-
le système à chaleur géothermique efficace quand on dispose de la
surface de terrain pour les capteurs, mais plus onéreux de
réalisation,
ou encore dans le même registre, le système eau-eau lorsque l’on
a la possibilité d’utiliser
l’eau souterraine d’une
nappe
phréatique pour capter de la chaleur, et la transférer au logement
via un plancher chauffant ou des radiateurs.
Soit
une grande diversité, avec des investissements et des résultats
fort
différents,
mais
il serait illusoire de demander à un bateleur en perte de
crédibilité ou à l’ingénieur des mines qui travaille depuis un
an sur cette planification, de potasser véritablement le sujet. Il
suffit d’adjoindre les qualificatifs « scientifique »
et « à la française » pour berner l’auditoire.
Première
réponse à venir sur le
nerf de la guerre, la
sortie du tarif européen de l’électricité promis cet automne !
Bien vu ! J’ai
longtemps cru que sur les grosses cylindrées qui s’estiment en
toute situation prioritaires, les clignotants étaient tout bonnement
proposés en option.