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décurion

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  • décurion 15 septembre 2008 13:00

    Ainsi l’Auteur,

    Ce texte serait , selon vous, toujours d’actualité, au bout de trois ans de sommeil ?
    Rien, aucun évènement, n’a été de nature a remettre en question votre opinion ?
    C’est peut être cela, le réel problême de la France : Des personnes comme vous.
    Doués de reflexion, à l’image du miroir, vous réflétez une opinion, mais il serait vain d’attendre des idées personnelles.
    22 ans, et déjà zombie !
    Notez, que je ne vous plains pas.
    Comme vous faites le lit des autres, vous n’y coucherez pas.





  • décurion 11 septembre 2008 00:36

    La taverne s’embrouille un peu les pédales. Les 25 % de réussites sur le commentaire plus haut, deviennent sur son article "le RSA sans détour" 30 % de réussites dans les zones test par rapport aux zones témoins. Ce n’est pas tout à fait la même chose, et si 3 rmistes sur 100 trouvent un emploi dans les zones témoins, 4 rsa sur 100 en font autant dans les zones test.
    En tout cas, c’est la lecture que j’en fais.



  • décurion 10 septembre 2008 18:33

    J’ai en vain cherché l’oeil averti du citoyen critique, je n’ai dans ce premier N° trouvé que le porte voix d’un projet gouvernemental.
    Ni critique, ni bon vendeur, qui vante un taux de réussite majeur et clos sur un aveu :
    " Il conviendra aussi de ne pas s’en tenir au seul RSA comme remède unique à la lutte contre la pauvreté "
    Ce qu’oublie le poete, c’est que le rsa, n’est pas la partie d’un plan d’ensemble, il est le plan à lui tout seul.
    Une merde à trois thunes.
    L’occasion peut être d’écrire : la ballade des vendus.



  • décurion 10 septembre 2008 14:48

    Le RSA est une belle saloperie.
    Comme il est, comme il sera, ou comme il devrait être, ne change rien à l’affaire. Une saloperie, édulcorée, amoindrie, tempérée, ça reste ce que c’est : une saloperie.
    Mais n’étant ni dieu, ni prophète, il ne suffit pas de dire qu’une chose est, pour que l’on y croit !
    En des temps antédiluvien , pour certains, lorsque le chômage "accidentel" apparut, il y eut unanimité, pour penser que la France se révolterait avant d’atteindre 500 000 chômeurs, et l’on mit donc en place des "protège-société" : ANPE et ASSEDIC, plus efficace et moins couteux que des crs.
    Ce qui n’a pas empêché le contrat de paix sociale d’évoluer, les indemnités de fondre dans un premier temps, puis de disparaître, dans l’appellation d’abord et dans les faits, ensuite.
    Insidieusement, de salarié-assuré à chômeur-indemnisé, enfin allocataire-assisté, la boucle n’est pas tout à fait bouclée.
    Astucieusement, l’argent public en complément de l’argent privé.
    Nos dirigeants tatonnent, ils poussent le bouchon autant qu’ils peuvent, des fois, ça ne passe pas (CPE), des fois ça marche (lundi de Pentecôte),et des fois ça casse.Les suivants repoussent le bouchon, à nouveau un peu plus loin, et ainsi de suite.
    Et Martin Hirch, arrive , et tenant pour acquis l’emplacement du bouchon, concocte le RSA.
    A partir de là, le rsa, ne peut qu’être inadapté si on veut l’utiliser pour combattre la pauvreté, dans le cas contraire, s’il s’agit de maintenir l’emplacement du bouchon, jusqu’à la prochaine "avancée" le rsa, se justifie pleinement.
    Si cela est possible,( poursuivre un but, et faire le contraire), c’est tout simplement parce que notre capacité à juger les évènements n’est pas aussi libre que nous aimons à le croire.
    C’est une erreur de croire que la pauvreté est une maladie que l’on peut isoler et éradiquer, car elle n’est que le résultat d’un ensemble d’actions et réactions, dont plusieurs contrôlées.
    En peu de mots, pour supprimer la pauvreté, il faudrait cesser de créer des "riches". A tout prendre, ce serait plus simple à réaliser que d’attendre après des emplois issus d’un chapeau.
    Pour finir, il me semble opportun, de répéter que l’éducation à pour but de former des personnes instruites. Elle n’a pas pour but de formater des citoyens ou de former de la chair à patrons, et il serait bon de réfléchir à deux fois, avant de parler de formations et d’inadéquation entre l’offre et la demande.



  • décurion 9 septembre 2008 10:22

    La dernière phrase est assez révélatrice.
    Que l’on place sur le même niveau les trés pauvres et les trés riches, il faut le faire.
    Il est facile de savoir contre qui et quoi on se bat, un peu moins, avec qui .

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