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Demol

   Intéressé de tout temps par la politique, jeune sortit d'un parcours élémentaire sans tache, je m'implique dans pour les peuples dans ce qu'ils ont d'individuels.
 
Je m'implique en cherchant l'avis contraire et la nuance. Je m'implique en écoutant tout le monde. Et si mes opinions et propositions peuvent sembler parfois un peu extraime, elles ne le sont qu'à l'image de la pauvreté que j'exècre encore plus que laNV'A et que je combats, toutes choses égales par ailleurs, plus qu'elle non pas en chassant notre main-d'oeuvre mais en changeant son statut (Ce qui est plus efficace car en collaborationavec les démunis) !
 
Étudiant Bachelier à l'université Saint-Louis (Bruxelles) en sciences politiques et en droit (possibilité de suivi de double orientation), possédant des compétences en sciences (avec préférences pour la physique), en mathématiques (après des études secondaires préparatrices à poli-tech), en théologie (2eplacent ex éco au concours interécole du consistoire central israélite de Belgique avec une mention spéciale de l'inspecteur Benizri pour l’intérêt poussé d'un athée pour les autres cultures et les critiques constructives amené lors de questions en développement), en informatique (notamment en programmationgrâce au cours OpenClassRooms), je suis disposé à vous aider !

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  • Demol 15 juin 2015 17:01

    La situation belge et française est différente quant à la voie laïque de l’État. Sans rentrer dans les détails, la Belgique n’a pas placé la « sainte » valeur de la laïcité au centre de son fonctionnement. C’est pourquoi, par exemple, on enseigne la région dans les écoles publiques ainsi qu’un cours de moral laïque non convictionnel.


    La laïcité-athéisme s’est institutionnalisée à coté de l’état comme les religions. Jusque-là, rien à dire ! Ce n’est pas parce que le groupe s’organise comme les groupes religieux qu’il fonctionne de la même manière et peut-être considéré comme religion

    Mais au fil des années, on a vu se multiplier les rites de passage et modèles de pensés standardisés signes que les institutions laïques cherchent à se munir des instruments des institutions religieuses au risque d’en répéter les erreurs.

    Cette « sectarisation » des institutions laïques a poussé notre conseil d’État à considérer l’inexistence d’un cours neutre de manière religieuse (renommé par les médias, le cours de rien) alors que c’était le principe même du cours de morale laïque.

    Et je crains que la laïcité soit dans le même état en France

    @gros macho

    désolé pour la différence entre laïcité et athéisme. C’est vrai que dans la théorie ce ne sont pas les mêmes types d’objet mais dans le cadre de cette problématique-ci et dans tous les cadres légaux que je connais où il est fait mention du mot laïque et de ses dérivés, les 2 éléments sont fusionnés.


  • Demol 13 juin 2015 20:01

    @l’auteur


    En théorie, une libéralisation proche de cette description donne en effet le pouvoir au peuple de manière plus directe et plus marquée qu’aujourd’hui. Néanmoins, ce contrôle est aussi imaginaire que la main invisible (qui serait aussi libérée) ce qui en fait deux concepts théoriques donc on ne peut que très peu quantifier l’action réelle d’autant plus qu’ils risqueraient de rentrer parfois en concurrence (Je pense notamment à la possibilité d’une offre excédentaire sur le marché des prêts qui, par la main invisible devrait réduire le taux directeur et donc augmenter les publics risqués alors que l’équilibre social voudrait peut-être une diminution des risques)

    De plus sur le marché financier, l’importance des individus est pondérée par leur capacité à prêter (du coté de l’offre : si je peux prêter 100$ je pourrai prêter à plus de monde donc en influant plus que si je ne pouvais prêter que 1 $). Il y a donc un risque de répétition du système actuel dans un système pseudo plus ouvert (Comme google est quasi-monopole dans une série de secteurs internet).

    De plus, il me semble (mais je ne suis pas économiste), que l’inflation ;
    - premièrement, a un effet réducteur des quantités d’argent « dormant » dans de grandes fortunes qui, parfois, ne participent pas ou par suffisamment, à la société tout en n’affectant que moins les plus démunis à condition de respecter l’indexation des salaires.
    - Secondement, est un mouvement continu (trame de longs termes) et naturel dû à l’augmentation des richesses par tête jusqu’à un point d’équilibre (modèle de Solow) et l’inélasticité de l’offre de monnaie (un système de type « troc » généralisé transformant tout en monnaie du type M1 (liquidité) me semblant trop complexe)

    Face à ces 2 constatations (difficulté d’un équilibre par la conscience du peuple et marché en évolution continue), ne serait-il pas plus favorable de motiver une réduction des écarts de richesse (par exemple, en taxant moins les chefs d’entreprise qui payent mieux leurs employés ce qui déplacerait l’intervention de l’État d’une intervention indirecte, typiquement je prends aux riches, je donne aux pauvres, à une intervention par procuration, je donne envie aux riches de donner de l’argent aux pauvres) et cela en régulant encore plus les marchés ?


    @soi même

    Je ne connais le droit romain que par le droit des biens, mais il me semble que le droit romain est tellement formaliste qu’il règle les procès exclusivement Aes et libram soit en français, exclusivement sur base du versement de valeurs toujours explicitement nommé comme des lingots de bronze même après l’invention de la monnaie (même si dans les faits, cela était juste une valeur pouvant être payée de diverses façons)


  • Demol 12 juin 2015 15:04

    @Dwaabala

    Je critique justement l’inaction de la plupart et je soutiens l’action même si elle a été lancée pour de mauvaise raisons car il ne serait pas logique de critiquer les seuls qui ont réagi pleinement comme je crois personnellement qu’il le fallait.

    Mais je suis entièrement d’accord avec le fait que l’origine de l’action française relève plus d’un calcul coût-bénéfice que du respect de valeur pseudo-universelle.

    Mais malgré cela, je ne suis pas certain que l’impérialisme soit le bon terme. En effet, je crois que la population notamment du mali ou de la première révolution syrienne souhaite un système plus proche du système français. Dans ces conditions, je crois qu’il faut les aider (et jusqu’à stabilisation politique durable ou rejet massif de l’assistance) et cela dans un climat de coopération pour l’indépendance à l’image du plan Marshall américain à la sortie de la Seconde Guerre mondiale mais avec l’avantage pour nous et contre un impérialisme subi par les nations soutenu d’un monde que n’est pas encore découpé en blocs.


  • Demol 11 juin 2015 18:27
    Dans la religion Judaïque, comme dans la religion catholique, l’euthanasie est proscrite.
    Les raisons évoquées sont, à mon sens, dépassées mais je conçois que ce ne soit qu’une opinion personnelle alors je ne reviendrai pas dessus.

    Là où j’aimerais attirer votre attention, c’est sur le comportement à avoir en une situation pouvant amener à l’euthanasie : il est conseillé de prier pour que le souffrant retrouve la paix.
    Dans une vision de croyant, cela signifie agir par procuration via Dieu.

    Dans une société où la morale a pour gardienne la religion et donc Dieu, l’acte d’euthanasie est confié à l’autorité morale suprême.

    Aujourd’hui, la morale a été personnalisé et laïcisée pour être confiée au « conseil des hommes », rassemblement fictif de tous fixant les règles de coexistence. Ce conseil, c’est lui qui vote et ses conclusions se retrouvent incarnées dans le chef des dirigeants. Ceux-ci deviennent donc le pouvoir moral suprême et leur accorder le pouvoir de l’euthanasie n’est donc pas dénué de sens.

    Outre cela, et pour reciter la valeur de subsidiarité, le plus petit échelon local est l’individu et à ma connaissance, aucune loi autorisant l’euthanasie ne le rend obligatoire. C’est donc aux familles (ou au souffrant si possible) de prendre la décision ! Le poids est trop lourd ? C’est à cela que sert le principe : confier votre choix au gouvernement


  • Demol 11 juin 2015 17:56
    Je n’aime pas les publicités de l’armée
    Je n’apprécie pas plus les stands de recrutement

    Mais je ne tolérerai pas de ne pas aider non seulement mon prochain, mais surtout, mon semblable. Quand le gouvernement officiel d’un État relativement démocratique comme le mali, appelle à l’aide les gouvernements internationaux, avec, a priori, le soutient de la majorité de la population, y répondre est-il de l’ingérence ?

    Quand en des régions dirigées par un gouvernement a démocratique, des révoltes éclatées et sont suivies par la majorité de la population sans qu’elles puissent être écoutées (faute d’élection), est-ce de l’ingérence de protégé ceux qui soutiennent nos valeurs ?

    Les puissances européennes vont dans le mur si elles perdent leur valeur et une d’elles, centrale : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »

    Je n’impose à personne ces idées mais si un part majoritaire de la population les a, je dois les écouter au mieux et les soutenir, dans les États démocratiques, en soutenant le gouvernement jusqu’aux élections, dans les dictatures par le moyen le moins dur possible mais sans être lâche.
    La situation actuelle avec l’« État » islamique est un peu complexe mais la déduction tient toujours en faveur d’une action.

    Quant aux aux statistiques de ressources, il n’est évident que chaque territoire rallié à la démocratie et aux droits fondamentaux nous enrichit. Certain plus que d’autres. Mais il sera toujours possible de répondre à toute guerre une réponse économique.

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