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Dominique Larchey-Wendling

Chercheur au CNRS, outils logiques pour la vérification de programmes informatiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 09/11/2006
  • Modérateur depuis le 01/06/2007
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Derniers commentaires



  • Dominique Larchey-Wendling 26 février 2011 09:24

    Autre remarque, accuser leap2020 de néoconnerie, c’est à peu près l’équivalent de la réduction ad Hitlerum. Ce n’est pas un argument. L’Europe est bien la dernière des préoccupations des néocons qui ne la voient que comme un supplétif de l’Empire.



  • Dominique Larchey-Wendling 26 février 2011 09:20

    @ l’auteur

    Cette génération des babyboomers a travaillé dur, a eu la chance de vivre son travail à un moment où le chômage était au minimum, où le curseur de la répartition des richesses acquises par le travail était à peu près équilibré entre le capital et le travail.

    Vous semblez ne pas faire le lien, pourtant relativement évident, entre l’arrivée de la génération du baby boom à la retraite et le changement du rapport de force en capital et travail. Il est pourtant évident. Il faut que la rente augmente pour financer les retraites et les placements financiers des retraités.

    C’est fascinant à quel point cette génération est incapable de voir autre chose que ses propres intérêts et de tout analyser au regard de ce qu’elle considère être sa propre réussite, alors que « la jeune génération (tous des fainéants) ne cherche qu’à les priver d’un repos bien mérité ».

    Il n’y a pas de reproche particuliers à faire aux baby-boomers d’avoir su profiter d’un moment historique favorable (ie. pétrole pas cher et immenses opportunités due à la reconstruction des sociétés ravagées par la guerre). Mais maintenant, cette génération « chanceuse » doit se montrer solidaire des jeunes générations qui elles, n’ont pas cette chance. Sinon, les jeunes finiront par comprendre que leur vrai problème, ce sont les exigences d’une population de retraités trop nombreuse par rapport aux actifs et ça sera inévitablement la guerre des générations.

    Dans le systèmes des retraites à la française, la répartition est le fondement de la solidarité entre les générations. La solidarité ne doit pas s’exprimer du plus précaire vers le plus riche. Aussi, les retraités étant globalement plus riches que les jeunes, les retraites doivent baisser. Ce n’est pas plus compliqué que ça.

    Ceci ne veut pas dire qu’il n’y a pas de retraités qui se trouvent dans des situations difficiles. Bien-sûr qu’il ne faut pas mettre à la rue des gens qui ont travaillés toute leur vie. Mais de trop nombreux retraités vivent une deuxième vie dorée sur le dos de quantités de jeunes qui rament pour s’en sortir. Le coût d’une pension en maison de retraite dépasse souvent le salaire d’un jeune actif. Tout cela n’est pas soutenable. Il est impératif de réduire les coûts de la retraire, ce qui ne veut pas dire que les retraités doivent vivre moins bien. Juste moins cher. Que ces nouveaux retraités se souviennent seulement de la manière dont leur propre parents vivaient leur retraite.

    PS : et je suis allé manifester contre l’augmentation de l’âge de départ à la retraite. E. Woerth avait bien expliqué qu’il n’était pas envisageable de toucher au montant des pensions de retraite. Normal, Sarkozy doit protéger ceux qui l’ont élu ...



  • Dominique Larchey-Wendling 11 février 2010 14:37

    Superbe traduction, superbe synthèse. Rien à dire.



  • Dominique Larchey-Wendling 7 février 2010 00:50

    Plein de signaux positifs, non ?

    Le problème de la preuve est qu’elle nécessite des discussions techniques et des investissements plus que technicolore sur le « vert » de la chose. Et surtout d’y mettre un peu de bonne volonté, ce que la virulence de vos réactions semblent démentir : vous ne voulez pas y croire, si l’on vous écoute, rien ne sert d’essayer.

    Ben non, il se trouve que l’idée de signer encore et encore des chèques en blanc à l’industrie nucléaire ... évidement aux dépends d’autres pans de la recherche ... ne me parait pas une bonne idée. Que le lobby nous parle des problèmes d’approvisionnements en combustible, de concurrence nucléaire et de pollution et arrête d’agiter les épouvantails de la prolifération et du terrorisme nucléaire, et on pourra alors sérieusement discuter de la place que peut prendre le nucléaire dans la définition de la stratégie énergétique de la France.

    Des promesses et des fantasmes sur les fantastiques progrès du nucléaire ... on peut avoir envie d’y croire mais c’est donner encore plus de pouvoir à un lobby qui semble ne plus s’intéresser qu’au maintien de son pouvoir. Parfois l’industrie nucléaire donne l’impression de promettre qu’elle est à la veille de la découverte du mouvement perpétuel ... l’énergie « gratuite et illimitée », un vieux fantasme de l’humanité ...

    Maintenant, vos arguments sur la rentabilité énergétique des renouvelables sont recevables. Bien-sûr, il ne faut pas imaginer que les renouvelables vont pouvoir se substituer aux fossiles et au nucléaire ... c’est absurde.

    Mais je ne crois pas non plus que le nucléaire soit la solution au problème de pénurie énergétique global qui apparait avec Peak Oil. La France refusera tout simplement de partager le nucléaire civil avec les nouveaux arrivants ... parce que le gâteau nucléaire n’est pas assez grand pour tout le monde.



  • Dominique Larchey-Wendling 1er février 2010 22:51

    Et voilà ... il suffit de payer plus et hop, on a de l’énergie comme par magie ...

    Il n’y a rien à faire, cet argument idiot fini toujours par ressortir ...

    Oui il y plein d’uranium dans l’océan .... et de l’or aussi, il y en a peut-être même sur la Lune ... mais tout ça ne sert à rien si le rendement énergétique est négatif, c’est à dire, s’il faut plus d’énergie pour récolter cet uranium qu’il n’en rapporte en combustion dans une centrale.

    Je parle d’énergie, pas d’argent ...

    L’argent ne règle pas tous les problèmes, contrairement à ce que pensent les économistes de la Terre plate.

    Quand aux autres technologies ... surgénérateurs, thorium, fusion ... il reste à faire la preuve de leur faisabilité à grande échelle ... pour l’instant c’est de la science-fiction.
     

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