J’ai toujours gardé le concept de gouvernance sous le feu de critique fondamentale. Je ne sais pas d’où vient ce concept. Ce que je sais c’est qu’il est né malade au début des année 90 avec l’école de Chicago, mais je suis encore incertain. Bien que l’article soit tributaire d’une analyse interne sur la configuration de la France actuelle, il n’en demeure pas moins que l’analyse externe portant sur la France est aussi d’une grande qualité que l’on peut repérer dans des contributions publiées dans la sphère anglophone et dans un effort remarquable dans la sphère arabophone. Je suis trilingue (arabe, français et anglais) et je navigue sur ces trois registres dans mes approches modestes.
Il n’y a aucun doute que « l’épidémie du covid 19 » a été une très belle opportunité pour transformer la santé en tant qu’enjeu mondial qui concerne le bien-être de l’humanité en un instrument complexe et redoutable configuré en plusieurs langages pour accélérer son contrôle total. La peur d’un objet non identifié ou moins identifié contre lequel une soi-disant guerre est déclarée est aussi une autre épidémie aux tendances exponentielles. Le couple de guerre et peur se marie parfaitement dans le système de représentations collectives et sociales pour enfanter une autre pathologie qui se répond sans encombre dans le terrain des opinions naïves.
"La culture permet d’ériger un mépris mondain comme ossature à une caste
apte à capter les efforts d’autrui pour les transformer en jouissances
personnelles. Elle n’a donc pour fonction que de justifier une bonne
éducation où tout est permis sauf celui d’être honnête, sérieux,
travailleur, attentif aux siens, aux autres, ce qui ne nécessite ni
savoir, ni connaissance, ni culture.
" Excellent.
Merci Jacques de cet effort dans la construction du lien entre savoir, connaissance et culture.
"Si jusqu’à présent Joe Biden pensait que la Russie et la Chine seraient
ses cibles principales en politique étrangère, maintenant, après
l’accord sino-iranien qui change les règles du jeu, le Moyen-Orient
pourrait devenir tout aussi difficile pour les Américains, conclut The Strategist.
Il a toujours été difficile pour les usa de comprendre le Moyen-Orient et reste toujours plus difficile pour une « superpuissance » d’être puissante dans son paradigme en faillite.