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Emmanuel

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  • Emmanuel 29 décembre 2008 13:36

    En cette période de bilan des crimes occasionnés par le capitalisme envers l’humanité et la nature, merci de noter cette absurdité qui a fait du mode de vie des ultra-riches la norme du bonheur et de la quête de la richesse matérielle et financière le graal de tout un chacun.

    La redistribution radicale des richesses ne serait-elle pas du coup le graal de l’anticapitalisme ?.

    Cela se traduirait simplement par le resserrement drastique des écarts de revenus et la mise en place d’un revenu inconditionnel d’existence mais il en découlerait beaucoup de choses : fin de fait du capitalisme puisque plus de capital pour s’approprier les moyens de production, fin de la centralité du travail qui de subit devient choisi et donc de la tyrannie du salariat, fin du retour à la domesticité qu’incarnent les « services à la personne » puisque personne n’a les moyens de se payer le travail des autres, fin de la ségrégation propriétaire / locataire et de la spéculation foncière puisque aucun bénéfice n’est à attendre d’un investissement immobilier pas plus que de tout autre investissement, fin de la réussite professionnelle comme seul marqueur social, libération de temps libre permettant aux individus de s’investir dans de nouveaux domaines, fin de l’exemplarité du mode de vie des riches ouvrant de nouveaux imaginaires, atténuation de la concurrence puisque peu de bénéfices financiers à en attendre et expérimentation de nouveaux modes de coopération, diminution des tensions sociales, nouveaux rapports nord-sud, …

     

    Imaginons un seul instant qu’un programme politique mette au cœur de son projet les mesures suivantes  :


    • Plafonnement des écarts de salaires dans la limite de 1 à 5 comme prévu dans l’ex programme commun de la gauche (1 à 300 actuellement en France dans le privé, 1 à 500 aux Etats-Unis).
    • Rétablissement d’un taux marginal supérieur de l’impôt sur le revenu au delà de 90% (40% actuellement en France) comme le fit Roosevelt lors du new deal en y incluant l’ensemble des revenus y compris les successions. Suppression des niches fiscales.
    • Mise en place d’un revenu inconditionnel d’existence correspondant à un bon à tirer sur la richesse collective indépendamment de la rémunération du travail et de la mise à disposition de services publics.

     



  • Emmanuel 12 novembre 2008 14:00

    Non seulement il est probable que, vu comme c’est barré, les préoccupations de l’humanité en 2020 ne fasse pas grand cas des "interfaces haptiques qui procurent des plaisirs indéniables" ou des "tailleurs-pantalon qui clignotent dans les placards" mais je ne suis même pas sûr qu’aujourd’hui même et malgré le poison consumériste auquel nous avons été biberonnés depuis plus d’une génération cela fasse rêver quiconque d’avoir des "plantes qui envoient des signaux de détresse" ou de se voir "refuser une pizza parce qu’on n’a pas fait son exercice quotidien"

    Une vision de l’avenir purement délirante donc en plus d’être cauchemardesque (ce à quoi nous n’échapperons sans doute pas de toute façon !)
    En attendant, si comme vous le dite sur votre site, "Si on ne peut prédire le futur, on peut l’inventer" prions pour que l’humanité soit préservée des gens qui pensent comme vous. Moi votre vision me rappelle le film "soleil vert" : des atrefacts technologiques masquant un monde en décomposition.



  • Emmanuel 29 septembre 2008 13:58

    Le principe qui consiste à créer une bulle financière basée sur une course permanente entre la collecte de nouveaux fonds et des paiements visant à donner confiance s’appelle Cavalerie et n’est ni plus ni moins qu’un escroquerie.

    Seulement là où un escroc standard finit en tôle et rembourse au civil les sommes spoliées, les stars de la finance qui s’en sont mis plein les poches ne sont ni responsables (la responsabilité est collective parait-il) ni coupables (elles n’iront pas en tôle) ni redevables (elles ne rembourseront rien).

    Les Frenchies exilés à Wall-street ou à Londres et qui ont perdu leur emploi s’apprêtent même à revenir au bercail histoire de toucher de grasses indemnités de chômage (voir l’excellentissime billet de Sébastien Fontenelle à ce sujet).

    Foin des relations accumulées par ces rapaces, de la mystique du petit génie nourri au sein de nos grandes écoles, ce qu’il faut pour solder ce triste moment de l’histoire de l’humanité que fût l’hyper-capitalisme financier c’est un Numremberg de la finance qui analyse la responsabilité de chacun, détermine sa culpabilité éventuelle et l’attaque au portefeuille pour les sommes injustement perçues.



  • Emmanuel 26 septembre 2008 14:07

    Olivier Besancenot surfant sur les craintes et la haine de l’autre, me rappelle Jean-Marie Le pen

    Le fait de proférer des conneries pareilles est sans dout du, et le reste de votre article le prouve, au fait que vous n’ayez aucune culture politique ni connaissance de l’histoire du mouvement, ni des luttes qu’il porte, ni des personnes qui le constituent ni de son programme ni de ses idéaux.

    Quelles sont les alternatives que proposent Olivier Besancenot ?

    On aurait pu être méchant et renvoyer au "quelles alternatives propose le PS ?" mais bon face à une position frustre faisont sobre et ne citont qu’une seule mesure : la limitation des écarts de revenus, que la LCR partage avec les Décroissants et Utopia. Il suffit de voir ce qui se passe aujourd’hui pour s’apercevoir que cette seule mesure qui faisait partie de feu le programme commun de la gauche (et Oui !!!) pourrait à elle seule modifier considérablement notre paysage sociétal.

    Rien non plus à propos d’un plan de relance de l’économie pour doper la croissance

    Aaaacccchhhh So, la croissance comme solution !!! c’est très difficile à soigner ça ! mais le mieux pour commencer c’est beaucoup de repos. Alors vite au dodo et fini Internet !

    PS il y a quand même un point où on est d’accord c’est qu’Olivier Besancenot n’avait rien à faire chez Drucker.



  • Emmanuel 17 juin 2008 13:42

    Un principe : la possession d’un bien immobilier doit avoir à finalité utilitaire et non financière

    et quelques mesures radicales :

    Interdire le portage de biens immobiliers. Des banques et des fonds d’investissement sont actuellement détenteurs de centaines de millier de logements qu’elle laissent bien souvent vides puisque ce n’est pas leur boulot de les louer et que cela diminue la valeur de revente sur le marché. De plus ces organismes sont tentés d’en organiser artificiellement la rareté notamment dans les centres villes pour faire monter artificiellement les prix et créer des bulles spéculatives (un peu comme Enron qui a diminué la production d’électricité en Californie pour en augmenter le prix).

    Interdire la multipropriété Personne n’a besoin de posséder plusieurs logements. Le fait d’avoir un logement est une sécurité non nécessaire mais suffisante. Dans une société de plus en plus inégalitaire, cette possibilité d’accumuler un partimoine immobilier est un accélérateur d’inégalité puisqu’elle provoque des transferts d’argent supplémentaires de ceux qui ont toujours moins vers ceux qui ont toujours plus. Cette limitation permettrait par ailleurs une resocialisation de la propriété foncière et des politiques d’attribution de logements équitables et pour tous.

    Réquisitionner les logements vides. l’ordonnance de 1945 permet déjà cela mais n’est jamais appliquée.

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