Ces fiottes de critiques dégénérés voudraient imposer leur vision morale à deux balles, à leurs veaux suiveurs.
Ils veulent tuer, stigmatiser, isoler, diaboliser le gêneur, l’artiste, le visionnaire qui a le don de nous forcer à regarder la réalité et le fond des choses en face quand partout ailleurs règnent mensonges, tabous, refoulements, lâcheté névrotique, raccourcisions conformistes, trucage des apparences et valeurs artificielles.
Ce n’est que du cinéma, de la tricherie et du vent comme eux, alors si d’aucuns ne peuvent même pas voir et empêche même de voir, c’est grave.
Ils n’ont qu’à faire médecine pour se rendre plus utiles au progrès, mais ils n’en ont certes pas les moyens.
L’humanité va bientôt se scinder entre ces pleutres enfermés dans leurs illusions dues à leurs pulsions primitives et leur conditionnement de sociétaires soumis d’une part, et les nouveaux êtres évolués d’autre part, qui auront su franchir le seuil de tous ces interdits masquant et leurrant.
Le hic c’est que les premiers qui se targuent d’être les apôtres et chantres de l’« humanisme », vont se sentir obligés de censurer, tuer et exterminer les seconds, en tant qu’hérétiques et subversifs néfastes à leurs business et leurs situations de rente...
L’aménagement des berges de Seine dans la Capitale, est une vraie honte et hypocrisie politique, un cloaque immonde sous le ciel et les ponts de Paris, l’exception qui confirme la règle (réaménagements valorisant) partout ailleurs.
Le Port Autonome est une société à but lucratif qui jouit d’une concession privilège sans partage.
Son lobby s’emploie à chasser soigneusement toute concurrence - projets d’espaces verts continus - ou parasitisme - pour contrer et dégoûter promeneurs, cyclistes et joggeurs : gros pavés, ornières, barrières, rétrécissements, grillages... - à ses lucratives activités.
A l’instar de l’espace démesurément occupé et pollué par les cimentiers et bétonneurs de type Lafarge, par ailleurs grands pourvoyeurs de fonds des opérations de communication éphémères de la Mairie pour faire croire aux électeurs parisiens qu’ils sont propriétaires de leur plage, et aux media suiveurs qu’il fait bon vivre dans cette géniale cité carte postale.
Il suffit d’aller se promener sur les bucoliques et sémillants bords de Marne à partir de Saint Maur, pour réaliser le gâchis minéral rédhibitoire (c’est simple : pas une seule bande herbeuse de Bercy à Garigliano) d’une Capitale qui a tourné le dos à son fleuve-égoût, pour des intérêts particuliers de bas étage, au détriment du bon sens écologique, de l’émancipation et de la qualité de vie de ses citadins parqués comme de la volaille en batterie.
En raison de ces enjeux économiques souterrains qui prévalent dans un dessein de profit facile et de soumission insidieuse, ce n’est pas demain la veille qu’on verra fleurir un parcours détente-loisir-santé cohérent et exemplaire, sur ces rives no man’s land, morcelées, inhospitalières, abandonnées aux voitures et sdf troglodytes d’une part, à des guildes d’affairistes de tout poil et leurs valises remplies de billets d’autre part.
Entrepreneurs, architectes et commissionnaires, s’en mettent plein les poches sous ce régime, tandis que les contribuables cobayes suffoquent, dépérissent et se serrent de plus en plus dans leurs cages clapiers.
et si l’on exigeait le même niveau de contrôle et de transparence chez ceux qui bénéficient d’un mandat électif ou d’un pouvoir public ? hum !?
Ah oui, un élu ou un haut fonctionnaire sont par définition des gens biens, respectables et vertueux, des saints dévoués à aduler car au-dessus de tout soupçon, au-dessus de tout tout court...
choix 1 : la solution finale
les rmistes sont des fénéants et des tricheurs qui plombent les comptes de la nation et le porte monnaie des classes moyennes ; il faut faire la chasse et crever ces parasites corrompus qui sont la source de tous les maux.
du travail et des salaires, il y en a pour tout diplômé, la vie est belle, la crise est une invention des gauchos (pas ceux de la pampa).
choix 2 : le contre-feu bouc-émissaire
le travail est devenu une denrée rare donc un privilège : népotisme, combines refuges d’un côté, galères et précarisation en spirale de l’autre.
multiplier les cdd en dessous des quotas d’heures, ou démissionner pour conserver son intégrité, ne donnent pas droit aux assedics quand bien même on y a cotisé.
le rmi reste le dernier revenu tampon avant faillite et ruine totale de l’individu condamné à perdre ce qu’il a gagné pour avoir le droit de demander l’aumône et recommencer de moins que zéro.
il serait intéressant de comptabiliser les milliards détournés par les politiques et les politiciens véreux (comptes au Japon, Luxembourg, Taiwan, etc.) + en regard des sommes provenant de la fraude sociale avérée.
l’on passera sur l’honnêté et le dévouement exemplaire car super contrôlé des petits, moyens et gros contribuables...
de même que sur le train de vie des services publics.
le quantitatif et les idées recues mon cher ami : on n’a rien inventé de mieux en matière de communication que la politique "kouée !? c’est pas nous, c est eux les responsables", pour assommer ou se faire étriper entre eux les boeufs en rogne, et/ou rassurer les systèmes et marchés en perdition.