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eugene

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.Je vis à la campagne, dans l'argoat, .. Je viens peut être d'un autre temps, bien que je regarde toujours avec plaisir par la fenêtre ce monde qui bouge. L'âge donne un certain confort un détachement, et une ironie, envers le monde des courtisans et des futiles. L'essentiel est ailleurs ! 
 

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  • eugene eugene 21 janvier 2016 12:06

    @M de Sourcessure
    Ne parlons pas des emprunts suisse, basé sur la convertibilité euro franc-suisse, qui explosent...J’ai du mal à croire que nos spécialistes locaux des services économiques, n’ont pas été plus ou moins corrompus, pour signer de tels documents, qui ont fait explosé la dette parfois par 2 ou 3, sachant qu’il ne fallait pas être grand clair pour sentir la supercherie. En tout cas accepter de jouer à la roulette russe, ou plutot suisse, le sort des gens s’amalgame à du mépris, de la bêtise, et à la pire irresponsabilité, doublée d’une incompétence crasse. 



  • eugene eugene 21 janvier 2016 00:23

    Les ronds points n’ayant aucune utilité autre que de vous faire tourner en bourrique en enrichissant l’entreprise de BTP locale n’est qu’une illustration de la tartuferie actuelle. N’oublions pas non plus l’immense « oeuvre d’art » qui se trouve au centre, et subventionnant là un artiste du cru...Cru ou cuit, on vous bouffera jusqu’à l’os, et surtout en toute injustice, étant entendu le transfert d’imposition, traduit souvent par les médias comme une bonne nouvelle, alors qu’elle se solde par une hausse vertigineuse de l’imposition au niveau local 

    Reconnaissons que pour le coup, les élus locaux n’y sont pour rien, et que l’état les oblige à se substituer à ses missions. Inutile de rappeler que l’impôt locaux n’est pas basé lui sur le revenu, et qu’il s’exerce de façon particulièrement injuste, dans ce relais qui s’apparente à un bottage en touche.. 
    Tout cela rappelle la « Pol taxe » de Margaret Thatcher, qui était l’expression du libéralisme le plus odieux. 
    L’argent devient de plus en plus obscène, flagorneur, n’ayant plus aucune pudeur, au sein d’un gouvernement qui pousse l’obscénité à se prétendre socialiste. Mais tranquillement se démaillote l’intéret collectif d’être ensemble, au sein d’un état qui continue à se prétendre jacobin, mais refuse les conséquences de la gestion. Soyons sûrs que nous verrons bientôt resurgir ça et là des volontés d’autonomie, comme en Espagne, ou en Angleterre. 


  • eugene eugene 20 janvier 2016 11:11

    Non, le barbare n’est pas celui qui croit en la barbarie.... Le barbare, c’est celui, selon les romains qui venait d’ailleurs, et le mot, comme connotation, du danger venant de l’extérieur, imposant ces coutumes, n’a finalement pas trop changé, si ce n’est qu’il a un sens plus général, et signifie l’horrible, le sauvage, le non éduqué et dangereux, une sorte toujours de repoussoir. Nous redécouvrons la barbarie, ou faisons plutôt semblant de la redécouvrir. Mais elle a toujours été là. .

     En système, l’idée est la justification du pire par l’évidence qu’on fait partie des élus, de la nouvelle race, de la vraie foi : C’est le kit de base. Voilà pour moi ce qui est compréhensif. Le projet va plaire à toute la racaille de psychopathes et de paranoïaques n’attendant que l’occase, l’ouverture pour passer à l’action, l’affaiblissement d’un état, de nouvelles perspectives liées à une débâcle. 
    C’est donc la rencontre de plusieurs éléments dans la cornue qui va créer le barbare, si on veut l’appeler ainsi, un mot un peu dangereux à utiliser tout de même !, il ne faut tout de même pas trop se perdre dans des tergiversations douteuses, faisant le jeu du pire. Car tout ne se vaut pas. La lutte du bien et du mal est un éternel débat, mais les possibilités offertes aux extrêmes est inédit. Beaucoup de choses sont compréhensives quand on les prend une par une, mais leur potentialisation l’est beaucoup moins, et échappe à notre analyse logique, et à la science de ce que vous nommez les révolutionnaires ???...Mais par contre l’histoire et la philosophie peuvent nous aider, (et sans doute aussi les sciences cognitives). Sans même avoir besoin de regarder dans les rétros, depuis l’antiquité, où Hérodote déjà parlait de ces choses. Les nazis et leur nihilisme de bruts et les staliniens n’en étant que deux des dernières expressions. Le mot comprendre est un peu fâcheux. Nous en constatons l’existence, tout comme nous savons celle du mal absolu. Et cela existe depuis bien avant Anna Arendt, l’analyse du mal. Si nous avions des difficultés à le nommer voilà qu’ils nous proposent une piqure de rappel. 


  • eugene eugene 18 janvier 2016 14:17

    @Philippe Stefan
    Je garde un souvenir d’outre tombe, de ces années soleils, où l’on se savait pas trop ce qu’on cherchait, et dont on s’est rendu compte, bien plus tard qu’on l’avait trouvé. Mais le temps était déjà derrière nous. Un an aux indes par la route, Turquie Afghanistan nepal en levant le pouce, s’en remettant à la chance et au karma bricolé sur deux cordes de guitare..Le sourire nous ouvrait toutes les portes, personne n’était méchant, mec, il n’y a que toi qui projette de mauvaises vibrations. L’époque était cool, et assurément, même les gros cons faisaient des efforts pour se mettre au niveau des temps nouveaux, jetant tous les oripeaux du sexe, du sacré, de toutes les dictatures de l’esprit. 

    Ginsberg avait hurlé son poème « Howl », dans le village. Eleonor Rugby, avec ses gestes d’ange et d’Ophélie, envoyait des pétales de roses à tout ceux qui lui souriaient. Et jamais le monde pensions nous ne serait comme avant. 
    Certains diront maintenant en ricanant qu’on était bien con !
    J’avais deux livres dans mon sac. Arthur, et « on the road » de Jack ! Ca me faisait une sorte d’équilibre pour user mes santiags. Le seul portable, c’était le sac à dos, une sorte de réacteur de la pensée, à une époque où le bus remplaçait encore avantageusement l’avion.
    « Hey mister tambourine man, play a song for me, I’m not sleepy and there is no place..... » Comment se fait il que tant de textes flamboyants, et de musiques sidérantes et extatiques aient été écrits en ces quelques années qui allèrent du début des années 60 au milieu des années 70. Il semble que certaines époques, dites de grâce, aient ce privilège, de vous donner un peu de leur génie, ou ne serait ce que des miettes, ou une pluie d’étoiles, en nombre suffisant pour continuer à apporter un peu de lumière en ces jours sombres.
    Plus tard, pensions nous, nous irions nous bien plus loin. 
    « Stairway to Heaven ! » Le temps était encore un peu de notre coté. 
    Puis tout s’est emmêlé insidieusement un peu déjà avant les années 80. Tout n’était pas rose évidemment, mais il y avait l’espoir d’un monde bien meilleur. « La jeunesse du monde »..Entendions nous encore. Mais le sous marin jaune perdait de la vitesse, et octopuss garden était un nid de vipères.
    Le rock and roll avait encore une odeur de souffre, bien qu’il prenait des rides ! Il fallait bien avouer que la récupération travaillait au bulldozer. Il était déjà de bon temps pour certains de se moquer de ces années qu’on gardait tout de même en soi.. 
    Harvest ! I want to live, I want to give.....
    Mais il fallait que le monde devienne adulte nous a t’on dit, en rapport aux vieilles valeurs du capital, qui faisait tranquillement son coup d’état, avec quelques barbouzes en costard. Reagan et Tatcher se tenaient par l’épaule. L’époque prenait un gout de cendres. Puis les guitares ont laissé la place aux kalachnikovs, et la poésie aux versets du coran, les happenings aux prêches. Est et ouest, nord et sud.. . Le temps lui même changé à l’horloge des montres. 
    It’s a hard rain, gonna fall ! Dylan nous avait pourtant prévenu, il y a si longtemps, avant même que ça commence !
    Ils ont eut la peau des géants de Bamyan et de John Lennon. Qui aurait pu imaginer ces choses.
     « oh Wish, wish you were here, ! » 



  • eugene eugene 18 janvier 2016 11:12

    En 66, un parfait inconnu passait dans une petite salle à Evreux, en normandie, « Le novelty » en première partie de Johnny, avant de commencer une large tournée en europe intitulé« The jimmy Hendrix experience ». http://bit.ly/1RZLTGf

    Beaucoup avaient hâte qu’il finisse d’accorder sa guitare, et le sifflait, ayant hâte que Johnny chante les portes de pénitencier. 
    Au sujet du Pink Floyd, un excellent reportage passe encore quelques jours sur arte plus 7 ; c’est "l’histoire de wish you were here. C’est par derrière le disque, l’hommage du groupe fait à Syd Barett, le guitariste heroe du groupe qui ne redescendit jamais sur terre, après avoir pris un mauvais speed. http://bit.ly/1ZGtfsS
    Les années 60 ne furent pas bonnes pour tous, et Sharon Tate sera d’accord avec moi
    A voir, bien calé dans son fauteuil. 
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