Article et commentaires intéressants. Manque toutefois, à la lumière de l’actualité récente et des prises de position de l’UMP et de notre bon Président en faveur du cinéaste Roman Polanski et du touriste Mitterrand, un définition :
« ** Des analyses réalisées sur des vins d’Europe et du monde entier démontrent un niveau de contamination généralisée 5800 fois plus élevée que pour l’eau potable, ceci par des pesticides potentiellement carcinogènes, perturbateurs endocriniens ou neurotoxiques. 20% des pesticides utilisés en agriculture le sont dans l’industrie viticole et ce, sur seulement 3% des surfaces cultivées. »
Nouvelle d’importance et peu relayée dans notre Pays par les journaux et télés...
Espérons que dans le cadre du plan cancer cher à notre bin aimé ¨Président, nous les consommateurs aurons un accès plus facile à ce genre d’informations, décisives pour le choix de notre alimentation...
néanmoins quelques uns des mots empruntés dans ce texte à des auteurs classiques peuvent éclairer le débat : « immaturité physique et affective », « âge du choix et de la connaissance », « les duper avant de les abandonner »...
Et à chaque fois que des adultes, anciennes victimes de pédophilie s’expriment en public, c’est cette vision des faits, qu’elles (les victimes) ont.
Il faut aussi ne pas se laisser fourvoyer par des arguments fallacieux utilisés par ces adultes qui voudraient bien que soit rendu légal le fait de se faire un ado ou un enfant : l’âge de la majorité sexuelle n’interdit nullement à des enfants ou des ados d’avoir entre eux des relations amoureuses consenties, qui peuvent être un apprentissage.
L’âge de la majorité sexuelle protège seulement ces enfants et ces adolescents contre l’intrusion de l’adulte dans leur monde. Pourquoi ? Tout simplement, la relation sexuelle entre un adulte et un ado ou enfant serait trop dissymétrique et inégale sur les plans physiques, de maturité affective, et de capacité à donner un consentement libre et éclairé dans ce type de situation.
S’il apparaît facile pour un adulte de séduire certains enfants, du fait même de l’admiration de ces enfants pour le monde adulte, ce sont ces séducteurs qui renversent la situation en prétendant vouloir « accéder aux désirs de l’enfant » et « libérer sa sexualité » alors qu’en fait ils ne font qu’exercer un abus du fort sur le faible.
Certains signalent avec nostalgie la Grèce Antique et ses éphèbes : ces éphèbes étaient pour beaucoup des esclaves, n’ayant aucun droit.
Il restera toujours, Dieu merci, quelles que soient les lois abusives qui pourraient être votées sous la pression de ces individus, la possibilité pour les autres adultes et proches de l’enfant, d’exercer à titre personnel des représailles à la chevrotine sur les abuseurs, pour peu qu’on se moque d’être ensuite emprisonné.