F-H-R

@Pere Plexe

Il se trouve que j’ai connu des énarques... je confirme : des crétins. Insouciants, à mille lieux des préoccupation du commun des français. Une certaine culture générale mais surtout rompu à la rhétorique. Pour le reste, à part l’obsession d’un Etat tout puissant contrôlé par eux, il faut vraiment chercher...

N’importe quel universitaire est dix fois plus compétent qu’un énarque.

D’ailleurs Bernard Zimmern, énarque certes mais avant tout polytechnicien (c’est tout de même un autre niveau), a déclaré : « A l’ENA, il y a deux concours, le premier à l’entré, le second à la sortie. Entre les deux, rien »

Toutes les âneries qu’ils font en politique par incompétence, sans compter les entreprises qu’ils ont mis sur la paille par bêtise.

Quant au concours d’entré, des exemples de sujets (au choix) sont disponibles sur le net. Dans l’énoncé de certains sujets, on met l’élève tout de suite en situation de dirigeant (pour une âme bien née, la valeur n’attend pas le nombre des années). En revanche je vous met au défi de trouver sur internet le programme de l’ENA.

Alors démagogue ?! Non,... plutôt averti.

Ah, Jack Lang ! L’archétype du ministre socialiste des années 80.
Fumiste, incapable et profiteur. Il ne pense qu’à remplir ses poches des deniers publics et à faire la fête.

La réforme du collège : encore un sabotage de l’école perpétré par les socialistes, fossoyeurs de l’enseignement.
Depuis Mitterrand, le parti socialiste n’a de cesse que de pourrir l’éducation nationale. Son but : le nivellement par le bas pour favoriser les classes sociales les plus élevées qui peuvent offrir à leurs enfants une éducation digne de ce nom. Ceux qui ont un potentiel et qui ne s’intéressent pas à la politique font des études qui leur permettront d’aller faire carrière à l’étranger ; les autres, crétins et incapables, vont à science po ou à l’ENA.
C’est ainsi que la France est dirigée par des incapables qui noyautent, de plein droit, les postes qui leurs sont réservés dans la haute administration (exécutif, législatif et judiciaire).
Les hauts fonctionnaires imposteurs et corrompus de l’Etat oligarque ont encore de belles années devant eux.

Les socialistes, depuis l’abject Mitterrand, ont largement contribués au développement des problèmes liés aux crises identitaires.

@ Fifi Brind_acier

J’ai bien compris que vous adhérez à la philosophie politique de F. Asselineau et que si j’ai une opinion défavorable concernant votre mentor, à cause de son diplôme de l’ENA et de ses fonctions, c’est probablement parce que je ne suis pas très au courant du fonctionnement de la fonction publique et que je confonds les mots « obéissance » et « soumission ».

C’est votre sentiment. Après tous, je ne suis pas un expert de la fonction publique ni un spécialiste de la sémantique mais j’ai tout de même fait quelques études et ai côtoyé la fonction publique, notamment dans le cadre de mon travail.

Aussi, vos réponses me semblent plutôt de l’ordre de la rhétorique car mon propos n’est pas d’accuser les fonctionnaires de complicité délibérée ou assumée avec les politiques voulues par leur haute hiérarchie mais de faire valoir que, quelque soit la politique et les procédures mises en place, beaucoup cherchent avant tout à faire avancer leur carrière au mépris des dégâts qu’ils peuvent causer ici et là au sein de la population, en allant au-delà du simple respect de ce qu’on leur demande. En cela, ces personnes me semble plus individualistes et carriéristes qu’en osmose avec l’intérêt général. C’est aussi une des raisons pour lesquelles je crois que le chemin vers la démocratie, l’adhésion à des valeurs humanistes, la collaboration, l’entraide… est encore très, très long.

Et pour revenir à mon sujet principal, je dis simplement que, pour moi, les beaux programmes politiques ne sont crédibles que si leur porteur est exempt de tout défaut qui puisse faire douter de leur compétence, de leur sincérité ou de leur intégrité morale.

Combien de beaux discours avons nous entendu de la part de nombre de politiciens, qui se sont avéré, in fine, de la pure démagogie ?

C’est pourquoi je n’irai pas chercher le prochain président parmi tous les politiciens et politiciennes bien connus aujourd’hui et ce, quelque soit leur repentir ou leur nouvelles résolutions. Je crois que c’est assez pragmatique, en tout cas de bon sens.

Le « background » d’Asselineau ne m’inspire pas confiance en dépit de son discours (je m’y suis un peu intéressé), qui lui, ne me semble pas être particulièrement en opposition avec ma vision de l’avenir.