A BC voir le fil sur idées inexacts sur l’esperanto dans le forum kotava. A l’evocation, c’est la capacité d’à partir d’un contexte d’un environement a donner un sens à mot pour que la phrase soit plus courte , l’anglais l’utilise beaucoup, l’esperanto peut l’utilisé, le kotava lui non car il reste sur l’analyse pure, comme le francais
peut etre un dinner pour chien l’eo, mais alors l’anglais pour vous ca doit etre le dinné des porcs, vu que l ’eo s’apprend dix fois mieux que l’anglais et comme d’une certaine maniere vous nous traités de chien car nous connaissons l’esperanto et donc pour les personnes qui connaissent l’anglais ce sont des porcs. Ca va ravir ASP et ses clones de se faire traité de porc par vos propos et donc aussi vous devenez anglophobe, houaaaaaaa pire qu’un esperantiste anti-americain.
et ben je vais vous dire je suis bien content d’etre esperantiste et esperanthophone et esperantophile, car moi au moins je respecte les anglophones et bien plus que les espetantophobes
A BC, j’ai discuté pas mal avec des kotavistes sous un autre pseudo, honetement dans la facon d’avancer des arguments dans le kotava par rapport à l’esperanto est un eut comarable à l’idisme, le kotava veut être une langue neutre par rapport à l’aspect occidental de l’eo, mais par la discution il s’avere que le kotava garde quand me^me pas mal de reflexes occidentaaux et un grand manque évocatif
« 1. La terminaison -i est la marque de l’infinitif. C’est aussi la terminaison des pronoms personnels, comme si les pronoms personnels étaient des verbes. Logiquement, les pronoms étant proches des noms par le sens et la fonction on aurait quelque chose comme : ego, tuo, elo (fém. elino), etc. »
oui et donc, mais vi, ni, ili, si, ect sont des monemes comme « sci », leur dérivation peut donner via, lia, ilia, vio, lio, lie, ect donc le premier point est une petite meconnaissance de la base de l’eo
« 2. La terminaison -a est la marque des adjectifs. Ceux-ci, comme les noms, sont infléchis au pluriel (-j) et à l’accusatif (-n), par exemple : granda domo (grande maison), pluriel : grandaj domoj, accusatif singulier : grandan domon, pluriel : grandajn domojn. Mais l’article, lui, est invariable, bien que se terminant en -a, marque des adjectifs, et étant proche des adjectifs par le sens. »
« la » pourrait il est vrai devenir pluriel et accusatif, c’est une chose que je n’avais jamais remarqué, c’est vrai que l’on peut sedire aussi pourquoi « ilian » et non « lan »
"Pour en revenir à l’espéranto il est très inutilement compliqué. Sa grammaire contient des absurdités.
J’en ai donné deux plus haut. En voici une autre : l’accusatif de direction. "
precisez s’il vous plait et donnez nous d’autres exemples, c’est toujours interressant de faire une autocritique
« Et son vocabulaire est un méli-mélo de racines tantôt germaniques (la hundo) tantôt latines (la domo) au petit bonheur la chance. Les racines latines sont tirées tantôt du latin classique (scii), tantôt de l’italien (mangxi, lui-même du latin vulgaire manducare) et de je ne sais quoi encore, toujours au petit bonheur la chance. En d’autres termes : a dog’s dinner »
le vocabulaire evolue avec le temps donc l’histoire de son origine n’a aucune importante