On nous a dit : "Il n’y a pas de lutte des classes, la preuve : l’URSS a perdu". Certains l’ont cru.
Dans le monde des bisounours. Les banquiers lui veulent du bien. Le monde est parfait, il n’y a pas de lutte d’intérêts, le patron t’augmente tous les mois par gentillesse...
Ce sont des faits : JP-Morgan a demandé et fait exécuter la destruction de la tour construite par Tesla.
Dans l’actualité récente :
L’inventeur des titres "pourris", dérivés, qui a mené à la bérésina de la finance, ce fut la société JP-Morgan (aujourd’hui controllé par les Rockfeller - dont tu pourras constater l’humanité des confidences que Nick Rockfeller aura fait à Aaron Russo sur n’importe quel site de vidéo en ligne : Aux yeux de ses gens, tu n’es certainement qu’une racaille). JP-Morgan, qui a embauché Tony Blair à la fin de son mandat de premier ministre, a racheté un certain nombre de boites touchées-coulées par la crise d’aujourd’hui à un prix très modeste (Bear Sterns et Washington Mutual). JP-Morgan, au conseil d’administration de la FED, que DSK, se propose d’entériner dans une grande banque centrale mondiale. En quoi ces gens méritent-ils autant de pouvoir ?
Alors, oui, peut-être que les assertions de Tesla sont des mirages, mais comment le savoir ? Les expérimentations sur le sujet ont été inlassablement sabotées.
Ensuite, dans le monde des bisournours, la science ne se trompe jamais : c’est un dogme que l’on récite par coeur sans jamais l’interroger.
Dans le monde réel, l’histoire montre que la science se trompe sans cesse, et c’est par cette capacité à le reconnaître qu’elle progresse.
Et bien, tu te trompes, Forest et tu cours.
L’aether, je pourrais t’expliquer cela en long et en large tellement je me suis documenté à ce sujet.
Oui, Allais a repris les expériences de Miller de mesure de la vitesse de la lumière. Et en appliquant la loi de Titus-Bode au système Terre-Lune, il démontre que la déviation de la vitesse de la lumière pourrait être due à la rotation de la Lune autour de la Terre. Ce qui impliquerait que l’aether n’est pas fixe, mais qu’il tourne avec les astres. (http://allais.maurice.free.fr/vent1.htm). Mais tu devras lire ceci http://allais.maurice.free.fr/science.htm) afin de donner une opinion un peu argumentée.
Si tu suis les liens que j’ai mis plus bas (à http://www.ensmp.fr/aflb), tu verras que G. Lochak, élève de Louis de Broglie, Louis Néel et René Thom, envisage la possiblité d’un aether magnétique, comme Allais, mais par un chemin différent. Il en est de même pour K. Meyl, par un chemin encore différent !
Traiter Allais de parano, c’est insulter un vieillard, Allais a pourtant aussi écrit de magnifiques textes sur l’économie, qui décrit exactement les conséquences de l’économie casino, celle dont nous constatons aujourd’hui l’effondrement (http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_au jourd_hui_Maurice_Allais_1998.htm).
Une crise, dont les innovations de JP Morgan sont l’origine, et à qui DSK souhaite donner le pouvoir avec sa banque centrale mondiale ?
Le problème des bisounours dans ton genre Forest, c’est qu’ils sont tellement bornés et soumis qu’ils préfèrent continuer à se saouler avec les mirages qu’on leur sert quitte à se faire asservir, un peu comme les US ont saoûlé les indiens pour mieux les exterminer.
Alors c’est quoi ton camp : Collabo ou résistant ?
Je ne suis pas d’accord.
L’autre là-haut, il nous avait dit que c’était parce que les chomeurs étaient trop assistés qu’ils ne trouvaient pas du travail, parce que les gens ils ne travaillaient pas assez.
Pourquoi, c’est pas vrai ? Aux infos, ils ne l’ont pas dit avant que c’était la crise ?
Alors je ne comprends pas, si maintenant la crise elle est mondiale, c’est que les chômeurs sont vraiment beaucoup trop assistés en France, que les gens n’y travaillent vraiment pas assez !
Le pire, c’est que le monde entier va nous en vouloir !
Ah non, ça je ne veux pas :
Je me porte dès aujourd’hui candidat pour l’esclavage, moi et mes enfants, afin que nos vénérés banquiers puissent rembourser leurs dettes.
Effectivement, j’abonde dans le sens de l’article. L’étude de ces expériences pourrait fonder une véritable révolution scientifique. quelques liens sur l’énergie des neutrinos
K Meyl (petits bateaux dans la vidéo = transmission d’énergie à distance, ondes scalaires) : http://www.meyl.eu/go/index.php?dir=60_Docs&page=1&sublevel=0
Conséquences possibles : expansion terrestre, captation de l’énergie des neutrinos, transmission sans fil d’information et d’énergie)
G. Lochak (Chemin plus compliqué par la quantique - transmutation d’élément) http://www.ensmp.fr/aflb/AFLB-331/aflb331m634.pdf
Conséquences possibles : pétrole abiotique, transmutation d’éléments, création d’eau dans la croute terrestre ...
Dans les 2 cas, les frontières entre chimie et nucléaire ne sont plus si nettes.
Cela mériterait d’être creusé, pour qu’enfin les "scientifiques" institutionnels arrêtent de nous saouler avec leur balivernes telle la relativité, le temps qui se dilate, l’espace qui se courbe, l’espace à 15 dimensions, les trous noirs, la matière noire, la particule de Dieu ...
En fait, je les plains : comme eux-même ils n’y comprennent plus rien, ils en sont réduit à répéter par coeur les calculs, comme des prêtres liraient la bible aux fidèles. Leur errance les réduits à s’effrayer de la possible création d’un trou noir par une expérience du CERN ! Ca ne pose pas question, ça ?
Une révolution scientifique est à nos portes ! Vive Tesla !
A noter que Greenspan est le conseiller de Gordon Brown, le premier ministre du pays qui héberge moult paradis fiscaux (Bermudes, Jersay, Gernesay, Iles Vierges, Bahamas, city, Ile de Man ...), pour trouver des solutions à la situation.
Ces solutions, Sarkozy s’en est emparées, il les a brandies et les médias, lesquels ont unanimement loué la vitalité, la grandeur de notre guide suprême, véritable plagiaire d’un vieillard qui se déclare lui-même incompétent.
Pour Greenspan, rien ne fut donc meilleur que de se battre la coulpe, le temps d’une commission, pour se refaire une vertu.
Certes les bonheurs d’être mis en lumière par les caméras se sont éloignées et le moment fut pénible, mais, au final, dans l’ombre, la grande pensée du grand incompétent a été unanimement vénérée par une presse superificielle, du fait que cette pensée fut portée par quelque sauveur de la nation en déroute.
Avant la crise, les critiques du système étaient écartés des médias parce qu’ils étaient "archaïques" et seuls les adorateurs étaient convoqués aux grandes messes médiatiques.
Après la crise, les responsables du système sont convoqués pour qu’ils expliquent la déroute.
Mais, en attendant, toujours pas l’ombre ni d’une critique, ni d’un doute.
On prend les mêmes et on recommence.
"Je me suis trompé, j’ai eu faux sur toute la ligne, mais laissez-moi continuer de vous éclairer (... de nous enfumer ?).".
Bref, ils admettraient avoir eu tord sur toute la ligne, avoir fait les mauvais diagnostique et s’être enfin décidés, par pragmatisme, à pratique une real politique. Unanime, les médias applaudissent : "Extraordinaire, quelle volonté, quelle sagesse, nos dirigeants, après avoir constaté leur erreur osent enfin changer d’avis !"
Et si ils en connaissaient le caractère inévitable depuis longtemps ? Si ils avaient simplement menti ?
Car, la crise, elle date depuis les années 1970, depuis le démantellement des accords de Bretton Woods et des législations mises en place après la grande dépression de 1929. Le système ne fonctionnait pas. Tout le monde le voyait. La fausse-bonne solution, c’était le toujours plus libéral. Mais c’était ajouter la crise à la crise. Aujourd’hui, le divin marché, indépassable, sensé financer l’économie, fait des bulles (en 2006, 2 millions de milliard $ d’actifs financiers quand le PIB de l’économie physique se monte à 50 milles milliards de $), des titres, des promesses de remboursement en exploitant à fond leur monopôle de la création monétaire.
Refuser de constater la faillite du système, paralysé par les montagnes de dette imbriquée, vouloir donner une valeur à touts ces actifs financier (au moins 2 millions de milliards de $), c’est à coup sûr détruire l’économie, celle dont les gens ont besoin au quotidien.
Dans une telle situation, similaire à 1929, il y a 2 manière de faire :
Pratiquer l’austérité sociale, pendant 80 ans, pour que les joueurs du casino s’en sorte = le fascisme (l’intégration des forces de marché et de celle de l’état dicit Mussolini, une société purement hiérarchique, à chacun son mérite - de naissance -, l’’obéissance collective).
Mettre en faillite les joueurs, trier les bonnes dettes d’entre les mauvaises, relancer l’économie = le New Deal (qui a très bien fonctionné en 1932).
Mais je pense que tous ces gens incompétent, tels que Greenspan le savaient. Ils ne se sont pas forcément trompés. Peut-être est-ce même prémédité. Dans ce cas, cela signifie qu’ils désirent ardamment la première solution, c’est tout. Ce qui est évident, en tout cas, c’est qu’ils n’ont eu de cesse de démanteler le New Deal.