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finael

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Citoyen !
J'ai maintenant dépassé les 68 ans dont 4 ans d'école d'ingénieur, 38 de travail et 5 de chômage. Enfin à la retraite !
Retraité après avoir été Informaticien (ingénieur systèmes et réseaux, concepteur internet) pendant près de 30 ans et auparavant analyse documentaire et ayant pratiqué toute une variété de petits boulots.
Je vis dans un petit village de l'Hérault où il n'y a ni grande surface ni transports en commun ... mais beaucoup de coquelicots (entre autres)
Aimant l'Histoire, la randonnée, la lecture, l'aéronautique, la technique, intéressé par la chose publique et les questions sociales.

P.S : La photo me représente bel et bien ... il y a 25 ans ! J'avais une amie maquilleuse et j'en ai profité.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/08/2007
  • Modérateur depuis le 29/12/2009
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • finael finael 3 mai 2007 13:24

    en 1740 l’officier de maréchaussée Guillaute écrit que dans un « état où la police est bien entendue, il importe au magistrat de savoir quand il lui plait où Pierre ou Jacques couche, depuis quand, qui il est, d’où il vient, ce qu’il fait ... » Pour ce faire il imagine une immense machine à roues, portant sur 2 millions de fiches les informations relatives au million de parisiens de l’époque.

    Et 250 ans après, c’est toujours à l’ordre du jour !

    Osons imaginer ce qu’un Hitler ou un Staline aurait pu faire avec de tels outils !

    Sans aller dans de telles horreurs quelles garanties avons nous sur l’emploi de toutes ces informations ?

    Pour avoir assisté, de par mon métier, au croisement illégal de fichiers entre banques, assurances, ... dossiers médicaux vendus au plus offrant, je doute que ce soit « neutre ».

    Quant aux banques suisses (ou autres) qui « résistent » aux nouvelles technologies, c’est une légende. J’ai travaillé parfois dans des sociétés ou organismes « sensibles » ... et je suis allé ou je voulais ! J’ai même été employé une fois à espionner (pour la bonne cause) une entreprise.

    Et pour votre gouverne, pour les données vraiment secrètes, elles sont sur des machines spéciales, avec des processeurs « ad hoc », qui ne sont reliées à rien et protégées par des cages de Faraday.

    Les meilleurs pirates sont ceux que l’on ne prend jamais et qui ne laissent pas de traces derrière eux. Et il y en a.



  • finael finael 3 mai 2007 12:59

    Dites-moi, vous payez des impôts, des cotisations sociales ?

    J’ai 55 ans, je travaille et paie les retraites des anciens.

    Je paye aussi votre instruction, vos études ... et c’est beaucoup plus cher que les retraites

    La dette ? Quelle dette ? Ce sujet a déjà été traité sur Agoravox : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=22100

    Mais on oublie de la comparer au patrimoine de chacun, qui a explosé depuis la guerre.

    L’environnement ? Mais encore une fois combien de destructions, combien d’énergie pour votre habitat, vos transports, vos loisirs, votre éducation ? Mon loisir préféré c’est la randonnée, vous venez avec moi pour faire 200, 300 500km à pied sur des sentiers que votre génération laisse à l’abandon ?

    Le logement, mais je suis travailleur et SDF, je vis dans un mobil-home dans un camping et vous osez vous plaindre ?

    Et si, au lieu de vos vociférations de propagande vous calculiez un peu :

    ==== extrait d’une analyse pertinente mais quelque peu iconoclaste ======= - Les retraites :

    "On nous rebat les oreilles avec un soi-disant problème des retraites. Plus de vieux, moins de jeunes pour les faire vivre, la catastrophe est là !

    C’est une totale absurdité.

    D’abord, c’est oublier que les jeunes ont un coût. Entre le moment où ils naissent et celui où ils produisent, il faut les élever et les éduquer, ce qui est d’autant plus cher que l’on souhaite une éducation de plus en plus poussée, donc que l’arrivée dans la période productive est plus tardive. Il faut donc chiffrer l’économie due à la diminution prévisible du nombre de jeunes due à une natalité en baisse, et comparer cette économie avec le surcoût dû à l’augmentation du nombre des retraités.

    Ensuite, c’est oublier qu’une personne en âge de travailler sur dix est au chômage aujourd’hui. Contrairement aux affirmations du patronat, la main d’œuvre ne manque pas. Mais ces messieurs préfèrent les immigrés, qu’on paye avec un lance pierre et qui ne peuvent pas rouspéter. Ou mieux : les chinois à 70 euros par mois ! Vive la mondialisation.

    Enfin, c’est oublier que la productivité du travail humain croît de plusieurs % par an, ( 4% depuis plus de cinq ans) en tous cas, bien plus vite que la charge des retraites : elle double en moins de vingt ans ! C’est cette augmentation de productivité, amorcée il y a un siècle et demi avec la révolution industrielle, qui justifie et justifiera encore plus dans l’avenir le moindre besoin de travail humain à égalité de production, donc la réduction du temps de travail étalée sur une vie entière.

    Parlons chiffres, maintenant.

    En supposant qu’aucun progrès ne soit fait en matière de consommation et de production, le Produit Intérieur Brut, le PIB, c’est à dire la totalité de ce qui est produit dans le pays, qu’il s’agisse de biens ou de services, n’augmentera que de 2% par an, (ce qui est très inférieur à l’augmentation de la productivité, donc risquerait d’accroître le chômage si nous ne prenions pas des mesures comme celles préconisées ci dessus). L’augmentation du PIB de l’an 2000 à l’an 2035, soit sur 35 ans, sera de 100%. C’est à dire que le PIB doublera d’ici 2035. Dans le même temps, la population augmentera au maximum de 0,25% par an, immigration comprise. Elle se sera donc accrue de 9,5% en 35 ans. Le PIB pour chaque habitant aura donc crû de 83%, c’est à dire de plus des 3/4.

    Il passera de 24000 euros annuels à 44000 euros .

    Si nous avions été plus optimistes sur la croissance, 3%, et plus pessimistes sur la population, 0,1%,les 100% d’augmentation du PIB seraient devenus 181%, les 9,5% d’augmentation de la population, 3,6% et le PIB par habitant aurait crû, non plus de 83%, mais de 171%, c’est à dire qu’il serait plus de deux fois et demi plus grand. Il passerait de 24000 à 65000 euros par an. L’augmentation aurait été deux fois plus forte que dans la précédente hypothèse : 41000 euros au lieu de 20000. Ces résultats ne doivent pas nous surprendre. Ils ne sont que la continuation de ce que nous connaissons depuis des décennies.

    Continuons à faire des suppositions.

    Soyons très pessimistes. Si le départ à la retraite continue à se faire à 60 ans pendant 35 ans, et que la fécondité, c’est à dire le nombre des naissances, reste basse, au lieu d’un retraité pour trois actifs (38,3%) en 2000 , il y aura deux retraités pour trois actifs (70,8%) en 2035, soit une augmentation de 85%, presque le double. C’est à dire que les cotisations devront passer de 1 à 1,85. Chacun des 60 millions de français moyen, selon l’INSEE, payait à peu près 3200 euros par an pour la retraite en 2000. Si on suppose que le niveau de vie des retraités suit celui du pays, leurs retraites vont augmenter comme le PIB de 83% dans le cas pessimiste, de 171% dans le cas optimiste. . Chaque français payera donc 3200 x 1,83 x 1,85=10800 euros en 2035 dans le cas pessimiste. Il payerait 3200 x 2,71 x 1,85 =16000 euros dans le cas optimiste. Cela paraît exorbitant, mais regardons les choses d’un peu plus près.

    Dans le cas pessimiste, après paiement des cotisations, la part de PIB restante par habitant était de : 24000 - 3200 =20800 euros en 2000.

    Il lui restera : 44000 -10800=33200 euros en 2035. Cela veut dire que non seulement les retraites auront suivi l’accroissement du PIB, mais que, malgré cela, la part de PIB de chacun sera augmentée de plus de moitié . Refaisons ce calcul pour le cas optimiste. En 2000 il restait à notre français moyen 20800 euros . En 2035 il lui restera 65000-16000=49000 euros , c’est-à-dire plus du double de ce qu’il avait en 2000.

    Il n’y a donc aucun problème de financement des retraites, à la condition que l’augmentation du PIB ne soit pas détournée par une minorité, avec accroissement de l’indice de GINI, comme c’est le cas aux États Unis en ce moment. L’indice de GINI mesure les inégalités de répartition des revenus dans une population. Il est de 0 si tout le monde a le même revenu, de 1 si une seule personne reçoit tous les revenus. En France, sa valeur moyenne est d’environ 0,3. Il atteint 0,5 aux États Unis, beaucoup plus inégalitaires que nous, et ne cesse d’augmenter là bas. Or les salaires ne représentent pas la totalité des revenus, loin de là, même si 91,3% des français sont salariés. Et les revenus non salariaux croissent beaucoup plus vite que les salaires . Ils absorbent une part de plus en plus grande de l’augmentation du PIB. Ce qui veut dire que si aucune mesure n’est prise, les salaires croîtront moins vite que le PIB et le prélèvement pourrait être plus douloureux. Et cela, les libéraux le savent bien mais n’ont aucune envie qu’on limite la croissance de leur part de gâteau, les revenus non salariaux, au profit des salaires.

    Mais n’oublions pas cependant que seule une consommation importante de produits non soumis à la TVA, ou une évasion massive d’argent à l’étranger, pourraient poser des problèmes. C’est à surveiller et à contrôler, mais il faudrait que ces détournements soient vraiment énormes pour que le paiement des retraites soit compromis."

    ========

    Alors vous feriez mieux d’apprendre à lire, au lieu de vous contenter de slogans.



  • finael finael 25 avril 2007 12:41

    Je tiens à m’élever ici contre une certaine vision de l’organisation judiciaire française que pour ma part je me refuse à appeler « justice », ce qu’elle ne mérite pas.

    S’il est vrai que le pouvoir politique a toujours eu tendance à faire pression sur cette organisation judiciaire, son indépendance peut se résumer ainsi : « Si à midi le juge dit qu’il fait nuit, contemple les étoiles ! ».

    Je tiens à préciser que mes propos ne sauraient être tenus pour diffamatoires car j’en apporte les preuves sur la partie de mon site perso qui leurs sont consacrés :

    http://www.finael.fr/finaelc

    En effet j’en ai fait la triste expérience, telle que racontée sur ce site.

    Constats : Les juges méprisent les justiciables.

    Ils peuvent absolument faire fi de la loi en toute impunité.

    Prononcer le mot « justice » devant eux les fait bien rire.

    Ils blanchissent volontiers les auteurs de faux ou de délits s’ils partagent avec ceux-ci des intérêts communs.

    Pourquoi les juges seraient-ils automatiquement plus honnêtes que les autres ?

    Pourquoi les juges n’ont des comptes à rendre à personne sinon leurs pairs ?

    Pourquoi 80% des français n’ont-ils plus confiance dans cette organisation judiciaire ?

    L« indépendance » ? ah oui, je me souviens des « radios libres » (on peut en dire autant de la TV), c’est à dire indépendance vis à vis du pouvoir politique, mais dépendance totale vis à vis des intérêts privés et de l’argent : Qui possède ces médias « libres » ?



  • finael finael 25 avril 2007 11:59

    Désolé mais je voulais réagir à Omnivore Sobriquet, mais le logiciel me renvoie systématiquement ici (? ??)

    Je ne crois pas que la représentation à la proportionnelle intégrale soient une bonne chose, il suffit (ou il faut) se souvenir de ce qu’ont donné les IIIème et IVème Républiques en France (2 guerres mondiales et une série désastreuse de guerres coloniales), il convient de regarder ce qui se passe là ou ce type de représentation est appliqué, Israel en est un des meilleurs exemples. Imaginez qu’avec des résultats correspondants à ceux du vote de dimanche l’UMP décide de voter telle ou telle loi, avec qui faire alliance ? Quelles concessions faire en échange ?

    De même, je ne suis pas favorable au rattachement des députés à telle ou telle circonscription : ils ont tendance à faire voter des lois favorisant leurs propres électeurs, souvent quelles qu’en soient les conséquences sur l’ensemble de la nation (le phénomène est très prégnant aux USA).

    Alors quelle solution ?

    La non-rééligibilité ! Un seul mandat.

    Le député sera alors réellement le représentant du peuple au niveau national. Autres avantages : il se consacrera à temps plein à son travail et on ne pourra plus faire de « repésentant du peuple » un métier, ce qui, à mon sens, est totalement scandaleux : ces gens sont totalement coupés du peuple qu’ils prétendent représenter.

    D’autre part je reste favorable au système présidentiel où l’exécutif est élu indépendammment du législatif et dispose de réels pouvoirs. Toutefois, le rôle du législatif étant de faire les lois, il doit en avoir le pouvoir de l’initiative.

    J’ajouterai qu’en France, on confond trop « séparation des pouvoirs » et « indépendance des pouvoirs ». Pour que la démocratie soit réelle, à chaque pouvoir doit correspondre un contre-pouvoir. Mais c’est un autre débat.



  • finael finael 24 avril 2007 12:45

    Après maints commentaires plus ou moins en rapport avec le sujet de départ je vais ajouter quelques réflexions personnelles de quelqu’un qui a voté « à gauche de la gauche ».

    Tout d’abord la comparaison entre l’économique et le politique : A mons sens elle n’est pas dénuée de fondements en ce sens que ce sont deux domaines qui sont étroitement liés, n’en déplaise à ceux qui prétendent le contraire. Mais l’utiiser est hasardeux et encore faudrait-il que les hypothèses de départ soient solides, ce qui n’est pas le cas : En économie, contrairement à ce qu’en dit l’article, on assiste à une concentration sans précédent historique et à des situations quasi-monopolistiques ou, à défaut, de formation de cartels. Ce qui renvoie la théorie « libérale » aux oubliettes de l’aveu même de ses principaux théoriciens (je ne parle pas ici des pseudo « spécialistes » dont nous gratifient les médias).

    De l’autre côté, si « régression démocratique » il y a, ses causes n’ont rien à voir, à mon avis, avec l’appel au « vote utile » : c’était de bonne guerre. Dire que les défaites sont dues à l’adversaire relève de la tautologie.

    Par contre l’incapacité à créer une dynamique « anti-libérale » unitaire, à analyser correctement et cristalliser le refus du Projet de Constitution Européenne me semble la cause la plus sérieuse. Lutte des égos, amalgame de revendications partielles au lieu de l’indispensable unification : absence de « colonne vertébrale » idéologique, incapacité à prendre en compte les données comme la possession des médias (lire « la fabrique de l’opinion publique » de Noam Chomsky) et d’inventer ou d’utiliser de nouveaux moyens d’expression et de lutte, de saisir les occasions (pourquoi ont-ils tué Jaurès une deuxième fois ?), voilà, me semble-t-il les véritables raisons de la défaite de ce que l’on appelle l’extrême gauche.

    Et pour finir avec une comparaison économique : comment lutter avec un petit atelier contre une multinationale sans faire appel à l’imagination ?

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