Dans l’affaire de la loi pénalisant les négationnismes, les critiques de
la presse turque visent surtout la personnalité de Nicolas Sarkozy.
C’est ainsi que Fatih Altayli, rédacteur en chef du quotidien Habertürk,
qualifie le président français de « honte pour la France », estimant que
c’est un « ignorant », notamment sur la question arménienne : "Je me
rappelle d’une interview qui m’avait vraiment fait rigoler, où Sarkozy
se posait en défenseur acharné de la cause arménienne. Or il évoquait
le « génocide des Arméniens à Erevan » ! Selon cet ignorant, c’est là que
le génocide s’était produit. Il ne savait même pas que les Arméniens
étaient morts pendant la déportation en Anatolie et en Syrie. Ne riez
pas, c’est de ce niveau-là !"
À l’arrivée de l’Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et
s’exile en France, après de nombreuses péripéties à travers l’Autriche
et l’Allemagne. Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion
étrangère à Baden-Baden et s’engage pour cinq ans. Il fait ses classes
en Algérie française à Sidi Bel Abbès mais est cependant déclaré inapte
au départ pour l’Indochine française et est démobilisé à Marseille en
1948 ; il francise alors son nom en Pal Sarközy de Nagy-Bocsa.
Mère
Andrée Mallah, née dans le 9e arrondissement de Paris le 12
octobre 1925, est la fille de Bénédict Mallah, né Aaron « Beniko »
Mallah (né en 1890 à Salonique, alors partie de l’Empire ottoman, de nos
jours en Grèce) et d’Adèle Bouvier (née le 5 mars 1891 dans le 4e
arrondissement de Lyon).
La famille Mallah est une famille juive séfarade d’Espagne ayant
trouvé refuge à Salonique après l’expulsion de 1492.
commettre des genocides a été la politique de la france pendant 100 ans.
l’extermination des pop colonisées etaient devenue une vraie entreprise.
Mitterand : Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important
ca refléte la sale mentalité française depuis 1 siecle ! en dehors de la france, on a le droit de tuer tout le monde .
Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important », c’est
dans ces termes choisis rapportés par Patrick de Saint-Exupéry dans le
Figaro du 12.01.98, que le président français qualifiait un génocide
perpétré par des Africains contre d’autres Africains, les Hutu
extrémistes du Rwanda contre les Tutsi, avec l’aide, le soutien et
l’expertise française, avant, pendant et après le génocide.
La responsabilité de la France, de l’avis de toutes les investigations
crédibles, émanant de sources diverses, politologues, journalistes,
anciens coopérants français et européens, ONG, est tout simplement
accablante à la limite inimaginable. Et il est important que la France,
qui est à priori une démocratie, soit instruite dans ses couches les
plus profondes, des crimes imprescriptibles que des dominants et
coalitions prédatrices au sommet de l’Etat, commettent ou sous-traitent
au nom d’une nation tenue scrupuleusement dans une ignorance construite.
Là encore nul ne saurait trop prédire quels effets boomerang pourraient
à un moment ou à un autre rétroagir sur des citoyens français
probablement individuellement innocents…
Le fait est que la France depuis 1975 avec Giscard, davantage sous
Mitterrand et Balladur -premier ministre de cohabitation- a procuré une
aide totale aux génocidaires, avant les massacres en formant l’armée
ethnique hutu dont un des probables organisateurs des tueries, en
stoppant militairement en 1990 dans une guerre secrète décidée à
l’Elysée, le FPR [Front patriotique rwandais] en provenance d’Ouganda,
l’armée des exilés tutsi qui tentaient de rentrer dans leur pays. Ces
interventions connues du monde politique, des journalistes de la cour,
de l’élite militaire et intellectuelle ont été soigneusement cachées au
peuple français avec la complicité des plus éminents médias. En fait
depuis 1990 des officiers français sont mêlés aux opérations les
cruelles de tortures, de tueries, de massacres de Tutsi dans le cadre
d’opération spécifique, Noroît, Turquoise, Amaryllis, ou dans le cadre
du contrat d’assistance militaire liant les deux pays.
Depuis, les dirigeants français ont fait bloc autour d’une stratégie de
négation, de brouillage de pistes, s’aliénant des médias de grande
renommée dont la face cachée d’agent de propagande sur des questions
françafricaines, tombe au clair dans le domaine public. Précisons,
depuis que la séquence des faits est établie sans ambiguïté, les
Etats-Unis se sont excusés de leur inaction pour stopper la machine du
génocide, la Belgique. Aucun commencement de remords du côté des
officiels français…
commettre des genocides a été la politique de la france pendant 100 ans. l’extermination des pop colonisées etaient devenue une vraie entreprise.
Mitterand : Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important
ca refléte la sale mentalité française depuis 1 siecle ! en dehors de la france, on a le droit de tuer tout le monde .
Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important », c’est
dans ces termes choisis rapportés par Patrick de Saint-Exupéry dans le
Figaro du 12.01.98, que le président français qualifiait un génocide
perpétré par des Africains contre d’autres Africains, les Hutu
extrémistes du Rwanda contre les Tutsi, avec l’aide, le soutien et
l’expertise française, avant, pendant et après le génocide.
La responsabilité de la France, de l’avis de toutes les investigations
crédibles, émanant de sources diverses, politologues, journalistes,
anciens coopérants français et européens, ONG, est tout simplement
accablante à la limite inimaginable. Et il est important que la France,
qui est à priori une démocratie, soit instruite dans ses couches les
plus profondes, des crimes imprescriptibles que des dominants et
coalitions prédatrices au sommet de l’Etat, commettent ou sous-traitent
au nom d’une nation tenue scrupuleusement dans une ignorance construite.
Là encore nul ne saurait trop prédire quels effets boomerang pourraient
à un moment ou à un autre rétroagir sur des citoyens français
probablement individuellement innocents…
Le fait est que la France depuis 1975 avec Giscard, davantage sous
Mitterrand et Balladur -premier ministre de cohabitation- a procuré une
aide totale aux génocidaires, avant les massacres en formant l’armée
ethnique hutu dont un des probables organisateurs des tueries, en
stoppant militairement en 1990 dans une guerre secrète décidée à
l’Elysée, le FPR [Front patriotique rwandais] en provenance d’Ouganda,
l’armée des exilés tutsi qui tentaient de rentrer dans leur pays. Ces
interventions connues du monde politique, des journalistes de la cour,
de l’élite militaire et intellectuelle ont été soigneusement cachées au
peuple français avec la complicité des plus éminents médias. En fait
depuis 1990 des officiers français sont mêlés aux opérations les
cruelles de tortures, de tueries, de massacres de Tutsi dans le cadre
d’opération spécifique, Noroît, Turquoise, Amaryllis, ou dans le cadre
du contrat d’assistance militaire liant les deux pays.
Depuis, les dirigeants français ont fait bloc autour d’une stratégie de
négation, de brouillage de pistes, s’aliénant des médias de grande
renommée dont la face cachée d’agent de propagande sur des questions
françafricaines, tombe au clair dans le domaine public. Précisons,
depuis que la séquence des faits est établie sans ambiguïté, les
Etats-Unis se sont excusés de leur inaction pour stopper la machine du
génocide, la Belgique. Aucun commencement de remords du côté des
officiels français…