• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

fn2009

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 150 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • fn2009 24 décembre 2011 06:20

    france, fossoyeur de l’afrique

    Le général de Gaule déclarait en novembre 1960 à l’Echo d’Oran : « Nous en avons déjà tué 200 000, nous en tuons encore 500 par semaine. » L’on se demande dans ces conditions quel est le barbare qui a besoin d’être civilisé ?



  • fn2009 24 décembre 2011 06:16

    17 Octobre 1961 : à l’Appel de la Fédération FLN de France des milliers d’algériens ont convergé vers le Centre de Paris pour réclamer l’indépendance de leur pays. Selon Réné Rémond, notre siècle 1918-1968, Paris, Fayard, « la soirée est tragique : des dizaines, peut-être des centaines d’algériens sont tués, jetés dans la Seine, où l’on repêche leurs corps. Le bilan officiel fait état de 11538 arrestations, mais reste discret sur les atrocités de cette soirée. » le sinistre Maurice Papon, alors préfet de police de paris a déclaré à télévision française en 1993, selon libération n’avoir « aucun remords, aucun signe d’angoisse. il a regretté son incapacité à n’avoir pu, en quelque sorte, maintenir l’ordre ». son directeur de cabinet avait pourtant confirmé à l’historien Michel Winock que « la seine charriait de plus en plus de cadavres … noyés par balle ». le responsable de cette bévue monumentale, qui relève du terrorisme d’état, sera récompensé par un portefeuille ministériel sous la présidence Giscarg, ci-devant «  cher parent » de Bokassa …….Empereur de centrafrique .



  • fn2009 24 décembre 2011 06:14

    Mai 1955 :Roland Pré envoyé pour cesser le mouvement nationaliste dont le pote flambeau était l’union des populations du Cameroun ( U P C ), se livre à d’horribles crimes avant de prononcer, en juillet de la même année la dissolution du parti nationaliste. Ce qui a poussé ce dernier au maquis. La chasse aux « maquisards » a donné lieu aux déplacements massifs des populations arbitrairement éloignes de leurs villages détruits par la troupe et regroupés dans les camps de concentration appelés pudiquement « zone de pacification » le colonel Lam Berton et M. Pierre Messmer en savent quelque chose. C’est au cours de ces opérations qu’est assassiné le 13 septembre 1958 Ruben Um Nyobe le « mpodol » , chef historique du mouvement nationaliste au Cameroun . En pays Bamiléké, au début de 196 0, Michel Debré, Premier ministre français, qui a décidé d’entreprendre une véritable reconquête confie au général Briand le « viking » qui s’était taillé une triste réputation en Indochine, cette opération. Ce dernier est placé à la tête d’une armée comprenant cinq bataillons, un escadron blindé et escadron de chasseurs bombardiers, pas moins. Que pouvaient Martin Singap, chef de l’armée de libération national Kamerunaise (ALNK) et ses hommes armés de sagaies ? Bilan de la boucherie : 400.000 morts des villages rasés au napalm ; ce n’est pas le pilote d’hélicoptère MAX Bardet qui nous démentira ; le traumatisme psychologique causé par ce carnage se ressent aujourd’hui encore , et n’a pas fini de causer des ravages . Le Cameroun avait pourtant accédé à la souveraineté internationale le 1er janvier 1960.



  • fn2009 24 décembre 2011 06:12

    la france, le grand bienfaiteur de l’afrique !!

    Mai 1955 :Roland Pré envoyé pour cesser le mouvement nationaliste dont le pote flambeau était l’union des populations du Cameroun ( U P C ), se livre à d’horribles crimes avant de prononcer, en juillet de la même année la dissolution du parti nationaliste. Ce qui a poussé ce dernier au maquis. La chasse aux « maquisards » a donné lieu aux déplacements massifs des populations arbitrairement éloignes de leurs villages détruits par la troupe et regroupés dans les camps de concentration appelés pudiquement « zone de pacification » le colonel Lam Berton et M. Pierre Messmer en savent quelque chose. C’est au cours de ces opérations qu’est assassiné le 13 septembre 1958 Ruben Um Nyobe le « mpodol » , chef historique du mouvement nationaliste au Cameroun . En pays Bamiléké, au début de 196 0, Michel Debré, Premier ministre français, qui a décidé d’entreprendre une véritable reconquête confie au général Briand le « viking » qui s’était taillé une triste réputation en Indochine, cette opération. Ce dernier est placé à la tête d’une armée comprenant cinq bataillons, un escadron blindé et escadron de chasseurs bombardiers, pas moins. Que pouvaient Martin Singap, chef de l’armée de libération national Kamerunaise (ALNK) et ses hommes armés de sagaies ? Bilan de la boucherie : 400.000 morts des villages rasés au napalm ; ce n’est pas le pilote d’hélicoptère MAX Bardet qui nous démentira ; le traumatisme psychologique causé par ce carnage se ressent aujourd’hui encore , et n’a pas fini de causer des ravages . Le Cameroun avait pourtant accédé à la souveraineté internationale le 1er janvier 1960.



  • fn2009 24 décembre 2011 06:00

    Sorti de l’École militaire avec le grade de sous-lieutenant le 1er octobre 1821, Montagnac participa à la campagne d’Espagne en 1823 et devint lieutenant le 30 décembre 1827.

    Après l’insurrection républicaine à Paris en juin 1832, qu’il réprima sévèrement, Montagnac refusa la Légion d’honneur qui lui était offerte par le roi Louis-Philippe. Il fit valoir qu’il était « résolu à attendre cette récompense d’une occasion où il saurait mieux la mériter ».

    Capitaine en 1836, Montagnac est envoyé en Afrique. Mis à l’ordre du jour de l’armée le 4 juillet 1840, il accepta cette fois sa décoration.

    Un an après, le 18 juillet 1841, il était élevé au grade de chef de bataillon. Pendant cette période, il s’illustre par sa brutalité à l’égard des populations locales. « Nous nous sommes établis au centre du pays… brûlant, tuant, saccageant tout, écrit-il le 2 mai 18431. Quelques tribus pourtant résistent encore, mais nous les traquons de tous côtés, pour leur prendre leurs femmes, leurs enfants, leurs bestiaux. » Son acharnement n’épargne pas les femmes : « On en garde quelques-unes comme otages, les autres sont échangées contre des chevaux, et le reste est vendu à l’enchère comme bêtes de somme. » 2, et il fait preuve d’un racisme très particulier et contradictoire3,4,5,6.

    En mai 1843, à la tête de six compagnies d’élite du 61e et d’un détachement de spahis, il se distingua par son intrépidité lors d’un engagement dans lequel il combattit avec le bras droit cassé. Pendant près de deux mois, il se faisait mettre à cheval par ses soldats et marchait avec eux. À l’issue de cette bataille, Montagnac avait perdu l’usage de la main droite et dut apprendre à écrire de la main gauche. Le général Baraguay d’Hilliers fut chargé de lui transmettre les témoignages de satisfaction du ministre de la guerre qui, le 10 mars 1844, le fit élever au grade de lieutenant-colonel.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv