Bon, je vois aux sous-commentaires que vous n’avez pas compris qu’il fallait lire mon commentaire au second degré !
Les adjuvants (naturels ou chimiques) destinés à augmenter l’appétence des chiens ne favorisent pas la santé des chiens, l’encourageant à manger trop et à délaisser les aliments plus naturels et plus sains.
Ce que j’ai voulu dire, c’est que ce scandale concerne AUSSI les produits de l’industrie l’agroalimentaire destinée aux HUMAINS, tous les produits, dès lors qu’ils ont subi des transformations.
Les produits transformés bios sont concernés aussi, mais ils sont beaucoup moins nocifs car il n’y a pas d’adjuvants chimiques.
Il est primordial pour la santé de n’acheter, pour son chien ou pour sa famille, que des aliments bruts, ou le plus brut possible, et de limiter au minimum les transformations culinaires faites à la maison. Le plus simple est le plus sain.
« Oui, il y a des produits injectés dans les pâtées pour chiens pour augmenter l’appétence de la bête. »
je ne vois rien de scandaleux à cela ! L’art culinaire consiste justement à ajouter aux aliments de base des adjuvants (huile, beurre, crème, sel, sucre, épices, fines herbes, bouillon, sauces, etc.) pour augmenter l’appétence des consommateurs humains. Et cela depuis la nuit des temps. C’est une pratique quotidienne, dans presque tous les foyers humains (sauf de très rares résistants dont je suis).
Il est normal que les industriels de l’agroalimentaire appliquent ces méthodes qui sont la norme pour l’alimentation humaine, pour leurs productions destinées aux animaux. Les adjuvants sont de moins en moins naturels (aspartame, glutamate, arômes artificiels), et je ne vois aucun scandale à ce qu’ils soient utilisés pour les chiens du moment qu’ils sont largement utilisés pour les humains.
Ou, dit autrement : si vous vous posez des questions sur le bien-fondé de ces méthodes pour les chiens, il serait logique de vous les poser pour vous-même !
Plus un pays est pauvre, plus son taux de natalité est élevé. Certains y voient une relation de cause à effet dans le sens « richesse et éducation - -> réduction du taux de natalité ».
Moi, j’y vois une boucle rétroactive (dans les deux sens) : pauvreté < —> fort taux de natalité ou si vous voulez :
faible taux de natalité <—> meilleure éducation <—> meilleur niveau de vie.
C’est pourquoi je ne suis pas jalouse du taux de natalité africain, et que je ne me réjouis pas de savoir que le taux de natalité de France est l’un des plus élevé d’Europe. Je préférerais qu’on s’inspire du modèle allemand.
Exemple : la baisse du taux de natalité en Chine, décidée politiquement de manière autoritaire a précédé le décollement économique fulgurant de la Chine, et a même permis ce développement.
l’Afrique ne connaîtra une hausse du niveau de vie de ses habitants que lorsqu’elle aura effectué sa transition démographique, et qu’elle aura stabilisé sa population. Sinon, tout gain de développement sera aussitôt débordé par le nombre croissant de bouches à nourrir.
Il est plus facile de prendre le problème par une politique de planning familial, beaucoup moins coûteuse et plus efficace qu’une fuite en avant vers un développement économique qui n’arrive jamais à suivre la courbe exponentielle de la population, et qui de toutes façons sera de moins en moins possible, vu l’épuisement des ressources (pétrole, poissons, forêts etc.)
Mon
frère est autiste. Je me sens donc concernée par le problème.
En
1953, quand ma mère attendait mon frère (le 3° de la fratrie), elle était
épuisée par des insomnies. Son médecin lui a prescrit des somnifères, qu’elle a
pris tous les soirs, croyant bien faire. Je n’ai aucune preuve que ce soient
ces somnifères qui aient pu causer l’autisme de mon frère, mais on peut
imaginer que ces médicaments passent dans le sang du foetus, et qu’ils puissent
causer quelques dégâts sur un cerveau en formation.
Mon
père ayant été tuberculeux, ma mère, craignant la contagion, a fait vacciner
mon frère tout bébé avec le BCG. Il n’est pas impossible que les adjuvants à
base de mercure et/ou d’aluminium aient pu donner le coup de grâce à ce cerveau
déjà fragilisé par les somnifères.
Si
mes soupçons sont justes, ma mère, en suivant les prescriptions médicales,
s’est rendue responsable (mais pas coupable, car ignorante), de l’autisme de
mon frère.
Néanmoins,
à l’âge de 40 ans, j’ai eu connaissance du livre du docteur Seignalet :
l’ALIMENTATION OU LA TROISIEME MEDECINE, que j’ai mis en application avec
bonheur sur moi et mes enfants. Voyant les grands progrès tant physiques que
psychiques que ce changement d’alimentation avait apporté à ma famille, j’ai
proposé à mon frère, alors âgé de 39 ans, de l’essayer chez moi, pendant 10
jours, sans interrompre le traitement au Prazinil qu’il suivait depuis plus de
10 ans. Depuis quelques années, il venait en été, passer une semaine ou deux
chez moi, avant que nous fassions ce régime Seignalet. Il a accepté d’essayer
ce régime, et en quelques jours j’ai noté de grandes améliorations : il a cessé
de tourner en rond dans sa chambre, il a joué à des jeux de société avec mes
enfants, il s’est mis à participer à la conversation à table, et nous avons
découvert qu’il avait une très grande culture, et des propos toujours
pertinents, ce que son mutisme d’avant ne laissait pas paraître. Il semblait
plus heureux, plus souriant. Il était beaucoup plus agréable à vivre.
De
retour chez nos parents, il abandonna le régime, et retourna à son état
initial. Mais au fil des années, je réussis à le persuader (et persuader notre
mère, condition sine qua non), de modifier son alimentation : beaucoup plus de
crudités, suppression du gluten (blé surtout) et des produits laitiers.
Maintenant, il suit à peu près les recommandations du docteur Seignalet, motivé
surtout depuis qu’il s’est rendu compte qu’elles lui ont permis de sortir de
son obésité tout en mangeant à sa faim (son appétit est légendaire dans la
famille !) et de sortir de l’état pré-diabétique qui avait été diagnostiqué par
son médecin. Plus il vieillit, plus il s’améliore, plus il ose s’exprimer, même
en public, plus il devient organisé et responsable de sa propre vie, et même de
celle de notre mère, dont il est devenu le principal "bâton de
vieillesse". A presque 60 ans, mon frère est devenu quelqu’un sur
qui on peut compter en toute confiance, même s’il lui reste des difficultés de
communications qui feront toujours de lui un être différent.
Le
docteur Seignalet n’est pas le seul à avoir remarqué l’influence de
l’alimentation sur le comportement. Elke arod, l’a aussi expérimenté sur son
fils, dont elle a soigné les graves troubles du comportement avec un régime
sans gluten et sans produits laitiers.
Il
n’est pas impossible que les médicaments absorbés pendant la grossesse et les
vaccins injectés au nourrisson, rendent certains sujets plus sensibles aux
effets du gluten sur le système nerveux, qui notons-le, affectent tout le
monde, moi compris, à des degrés divers, et avec des manifestations diverses.
Le gluten était peut-être la cause des insomnies de ma mère, quand elle
attendait mon frère. En tout cas, vu que le régime Seignalet et le régime sans
gluten et sans lait sont absolument sans risque pour la santé, et n’ont que des
effets secondaires bénéfiques, ça vaut le coup d’essayer, même à l’ âge adulte,
et à fortiori chez l’enfant, à qui on donnera ainsi de meilleures chances de
développement.