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Tableau de bord

  • Premier article le 13/03/2008
  • Modérateur depuis le 19/03/2008
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Derniers commentaires



  • François Duran 25 mars 2008 16:50

    Bonjour,

    Pas de PDF, mais l’ouvrage (dans son édition de 1880) a été numérisé.

    Bonne lecture.



  • François Duran 21 mars 2008 14:22

     

    Bonjour,

    Nonobstant la condescendance dommageable de votre ton (on convainc difficilement les gens en leur montrant du mépris) et les insultes péniblement (voire pas du tout) contenus, c’est avec un grand intérêt que j’ai lu votre commentaire dont on peut dire qu’il vient du cœur…

    Pour votre information, j’ai tous ces bons auteurs que vous citez (vous trouverez d’ailleurs une fiche de lecture commentée de Galula sur mon blog, si cela vous intéresse), mais je préfère Desportes à Trinquier et Van Creveld, qui m’a fasciné pendant longtemps avec son concept de guerre non trinitaire, me semble maintenant, avec l’expérience, s’être fourvoyé. Je lui préfère Rupert Smith, moins révolutionnaire, plus politique, plus calme sans doute. Si j’osais, je vous dirais de vous renseigner sur l’auteur avant de lui jeter votre bibliothèque (qui semble de qualité mais qui ressemble beaucoup à la mienne) à la figure…

    Comprenez moi bien : je ne pense pas que vous ayez tort (je n’ai pas ces certitudes péremptoires), je dis simplement qu’il n’est pas certain que vous ayez entièrement raison… Cette querelle entre « modernes » et « anciens » est ridicule et dommageable pour la pensée stratégique : les deux approches sont valables et aucune ne doit supplanter l’autre. Dans mon texte, qui n’est qu’une simple réflexion et non parole d’évangile, j’aborde le problème sous l’angle le plus consensuel possible pour être compris par le plus grand nombre. Voilà tout.

    Quand à votre distinction, qui se veut définitive, entre le guerrier et le militaire : bof ! C’est au feu que l’on reconnaît ces choses là et non sur le papier…

    C’est avec un grand intérêt que j’aurais discuté plus avant de ces choses avec vous, mais cet espace ne me semble pas dédié à cela. Et pourtant, croyez sincèrement que votre avis m’intéresse…

    Au plaisir de reparler avec vous de tout cela, sans doute dans d’autres lieux et en espérant que vous aurez pris un ton plus avenant, plus propice au dialogue.

    Bien cordialement à vous.



  • François Duran 14 mars 2008 10:15

     

    Bonjour,

    Si l’apport de Clausewitz à la polémologie est effectivement important (et d’ailleurs étudié par les militaires eux-mêmes), c’est plus grâce aux notions de « désir mimétique », de la rivalité qui en découle et du « bouc émissaire ».

    Rendons à César ce qui lui appartient : c’est bien Clausewitz qui a révélé « la montée aux extrêmes », conséquence à la fois de la nature propre de la guerre et d’un contrôle politique défaillant sur un phénomène autogène par essence. D’où la nécessité de se fixer des buts acceptables si l’on s’engage dans ce « dangereux voyage », en suivant des voies et avec les moyens adéquats.

    Sur « les heures sombres de notre histoire », il ne tient qu’à nous de faire qu’elles ne remontent pas à la surface. Ce n’est pas en cassant le thermomètre qu’on fait baisser la température et s’interroger, calmement et sans jeter l’anathème sur quiconque, sur les problèmes qui pourraient surgir (notez le conditionnel) me semble somme toute plus sage que de devoir les affronter, souvent brutalement car dans l’urgence, une fois qu’ils sont là…

    Cordialement



  • François Duran 13 mars 2008 15:45

     

    Bonjour Cambronne,

    Vous avez sans doute raison, c’est un peu trop technique. Bon, si cela a pu déjà intéresser quelques personnes telles que vous, l’effort n’aura pas été vain.

    Rassurez vous, je n’ignore pas les efforts réalisés par nos penseurs doctrinaux pour s’adapter à la nouvelle donne stratégique (le général Desportes, notamment, à la tête du CDEF comme dans ses écrits, fait beaucoup dans ce sens). Je n’ai pas d’inquiétude sur la réactivité et l’inventivité de nos militaires. Pour ce qui est des décideurs politiques, je suis plus circonspect.

    Il est également exact qu’une discrétion de bon aloi est de rigueur lorsqu’on aborde ces questions, discrétion qui ne va pas jusqu’à l’aveuglement.

    Disons que ce texte, et sa publication dans ces pages, était un essai qui ne sera pas transformé…

    Bien cordialement à vous.


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