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Furax77

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  • Furax77 6 mai 2007 06:16

    Toute cette énergie dépensée pour faire croire que c’est le service publique qui génère le fric qui fait vivre le secteur privé. La Pravda n’aurait pas mieux manipulé les esprits (ça me fait penser aux victimes qui ont provoqué les agresseurs - tout ceci est bien dans le désordre des choses aujourd’hui en france).

    Ce qui est sûr, c’est que si l’Etat produit de la richesse du genre « éducation » ou carte-grise, je vais avoir du mal à payer du pain avec.

    Au tout début était l’argent. A à l’arrivée, encore l’argent. Celui que les syndicats (de fonctinnaires) ne cessent de réclamer.

    Pour éduquer nos enfants, il faut de l’argent pour construire des écoles et payer les instituteurs. Cet argent n’est pas fabriqué par la planche à billets. Il est est pris des impôts qui sont prélevés auprès des entreprises privées et des particuliers, privés eux aussi.

    Enlevez le secteur privé et il n’y a plus d’impôt pour faire vivre les écoles. Le dilemne de l’oeuf et de la poule est cette fois beaucoup plus clair.

    Cet article vous défrise car il est clair et limpide. De plus, comme je le dis plus haut, la « recette » SR a déjà été tentée en 1981 : elle n’a pas marché.

    Ensuite, c’est une question de philosophie, qui se modélise par la métaphore du pêcheur : les socialistes choisiront de lui apporter sa ration de poisson (assistanat aménagé et entretenu - sans assistanat, sans misère, la gauche n’a pas de raison d’être) quand les gens de droite lui apprendrons à pêcher. Je préfère apprendre à être autonome et avoir le moins possible avoir à faire à un quelconque intermédiaire - esprit d’indépendance que voulez vous.

    Ce qui est sûr, c’est qu’un social fort ne peut pas marcher sans un « cadrage » fort, cad un contrôle fort des agents économiques : ni la Suède ni le Danemark ne sont des régimes laxistes vis à vis des chômeurs ou de l’argent publique. Alors qu’en France, on distribue généreusement et on laisse les gens se débrouiller, même s’ils ne savent pas. On distribue aussi largement à des syndicats qui ne représentent plus qu’eux mêmes et la fonction publique, et qui appellent régulièrement à la paralysie du pays. Au Danemark, les grèves sont illégales dans la fonction publique pendant une grande partie de l’année, et les licenciements sont très faciles. Du coup, l’embauche est facile aussi, et les chômeurs (5%) ne sont pas inquiets.

    Ce qui est sûr aussi, c’est que l’on ne peut pas avoir non plus un social efficace sans une économie en bonne santé. En Suède encore, la part patronale des cotisation sociales sur les salaires n’est que de 32%, contre 42% en France, la part du salarié est elle de 7% contre 13% (hors CSG et CRDS) en France. Finalement, ce sont les impôts sur le revenu qui sont plus élevés : 24% contre 15%.

    Avec vos raisonnement à la MMLN, vous essayez de nous revendre des idées qui ont fait la preuve de leur inefficacité tant du point de vue économique que du point de vue sociale. Quand on est en échec, on change. Sauf quand on est socialiste bien sûr. Faut-il que vous alliez aussi loin que le PCF pour réagir ?



  • Furax77 6 mai 2007 05:42

    « le clan des repris de justice et des condamnés en sursis qui s’empareront des postes de ministres et d’autres hautes fonctions ».

    Vous voulez parler de F.Fillon de JL.BORLOO, de X.BERTRAND ? Je ne savais pas.

    Mais si je vous suis bien, il vaut mieux laisser courir un criminel de droit commun qu’un ministre ou un haut fonctionnaire qui aurait détourné de l’argent.

    Par votre façon de placer les crimes d’argent au-dessus des crimes de sang, vous ne vous mettez pas à l’écoute des souffrances des gens, et vous vous révélez comme quelqu’un bien de gauche, dont l’intellect domine l’émotion. Encore une fois, cherchez en vous même les explications de votre défaite au lieu de pleurnicher.

    Quand à qualifier d’autoritarisme la présidence du général de Gaulle, alors là . . .

    Un dernier mot sur le karcher : il y en a au moins 1 qui a le courage de se dresser face aux mafias des voyous (même si ce n’est qu’électoraliste) là où la gauche münichoise ne fait qu’acheter la paix sociale au petits Hitler de quartier (pour des raisons électoralistes là aussi) comme en 1938, pour finalement n’avoir aucune paix comme en 1939.



  • Furax77 6 mai 2007 05:27

    Chère Elisabeth,

    Vous dites que vous n’êtes pas française. Peut-être n’êtes vous en France que récemment. Aussi, vous ne pouvez pas comprendre ce qui se passe aujourd’hui si vous n’étiez pasen France depuis les années 90 qui a vu la montée des exrêmismes et des barbaries (caillasage d’autobus, piègeage des pompiers, voitures brûlées - et même des filles -), intolérables dans un pays qui dépense autant pour son social.

    Tout ceci s’est passé et n’a cessé de prendre de l’ampleur devant le regard passif de la gauche représentée aujourd’ui par SR. En effet, pour des raisons électoralistes, il ne leur était pas possible de condamner les exactions commises dans des lieux (les cités) où vivent les gens qu’ils sont censés défendre (la classe ouvière), amalgamant ainsi les habitants et les voyous, préférant les appeler « jeunes ». Ceci consolidé par un esprit dévoyé qui veut, par recherche d’élégance intellectuelle, voir la réalité à l’envers, à savoir que l’agresseur est la victime et que la victime a provoqué son agresseur (raisonnement des maris violents envers le femmes battues). Les voyous ont toujours existé. Ce qui est nouveau, c’est la caution morale qui est donnée à des actes qui empoisonnent la vie de centaines de milliers de gens aujourd’hui, ce qui finit par générer de la peur, car on se sent seul, impuissant et sans défense face aux voyous, qui en profitent pour terroriser leur quartier.

    Ces phénomènes de barbarie n’ont alors cessé de prendre de l’ampleur, jusqu’à ce que l’on finisse par faire le constat que rien ne peut les empêcher de monter en puissance. La gauche restait passive, fustigeant au contraire un JP Chevènement qui a osé le terme de « sauvageon » pour qualifier les auteurs des agressions. D’où la demande forte d’autorité qui, alliée à la bêtise du vote protestaire et des abstentionnistes de gauche à conduit au résultat du 21 avril 2002.

    Conclusion d’alors : ce sont les voyous et la gauche qui font monter le fascisme en France.

    C’est la montée de ces barbaries et la passivité des pouvoirs publiques sous les différents gouvernements de gauche qui font reculer l’idée d’humanité, les progrès humains et les avancées civiles et sociales dans ce pays, et ce par pure idéologie (la gauche encore).

    Conclusion d’aujourd’hui : nous sommes allés trop loin dans la passivité, et ce sont finalement les barbares (non, je ne les appelerai pas des « jeunes » : je ne crois pas 1 seule seconde que l’on incendie 20000 voitures par an ou qu’on fait tourner ou qu’on brûle des filles parce qu’on a des problème sociaux - ou alors, autre conclusion, c’est que la gauche française, après 3 fois 5 ans de participation au pouvoir, ne sert à rien) qui ont le pouvoir. Ceci est insupportable, et pour cette raison comme pour d’autres je voterai Sarkozy dimanche.



  • Furax77 5 mai 2007 00:49

    L’économie est une science inexacte qui marche ailleurs en europe, et pas en france.

    Et si on essayait autre chose que le passage obligé par l’Etat qui nous prend beaucoup pour nous priver de nos capacités d’autofinancement, et donc d’autonomie, pour nous obliger à passer par lui ?

    Et si j’en avais marre de faire vivre un Etat obèse à l’efficacité non-avérée (où sont les indicateurs ?) ?

    La relance par la consommation a été essayée en 1981. Le gouvernement de l’époque est tombé sur ce que l’auteur a décrit (ce sont les produits étrangers qui ont été préférés). Il a fallu désindexer les salaires du taux d’inflation. Rapidement, nous avons eu une inflation à 1 chiffre au lieu de 2. Les prix ne grimpaient plus. Bingo.

    Je me souviens aussi que le prix de l’essence s’était stabilisé autour de 5 francs à partir du moment où ce n’était plus l’Etat qui en fixait le prix. Il ne cessait de monter jusque là.

    Chômage fort, misère galopante, bombes sociales à retardement (jusqu’à 1800 Euros d’aides possible pour les mères seule. Et après, quand les enfants sont grands ?), smicardisation de la société. Rien ne change depuis 25 ans.

    Changeons, il est plus que temps. Les méthodes socialistes ont fait la preuve de leur inefficacité.



  • Furax77 5 mai 2007 00:11

    Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon il aurait déjà tué ceux qui, en leur temps, craignaient De Gaulle et Mitterrand. Pour ma part, je pense que ces angoisses ne reflètent que le désir inconscient de leur auteurs qu’il y ait vraiment une dictature. Ca pourrait d’ailleurs être une explication 21 avril 2002 : l’inconsceient a pris le dessus (car c’est bien à la gauche que l’on doit cette honte). N’oublions pas qu’à cette époque, 30% dans votants avaient choisis une dictature (20% Le Pen + 10% extrême gauche).

    Cet article, outre de révéler un désir étrange, reflète aussi le vide des propositions de gauche et l’impuissance à convaincre (cad à tromper les gens) que ces propositions sont les meilleures. N’y parvenant pas, vous changez de terrain, et vous agitez la peur, que vous reprochez si souvent à Sarko d’agiter.

    Et enfin, je crois profondément que l’on croit les autres capables de ce dont on est capable soi même. Ainsi, ce genre de diabolisation (qui a échoué face à Le Pen) est il un aveux de sa propre vérité. Celà confirme pour moi que la gauche, en ce début de 21è siècle, face à son propre vide, à son décalage avec le présent et son inconsistancce, s’enfonce dans l’intolérance la plus primaire, dissimulée le plus souvent derrière de la colère, qui n’est que feinte (cf le dabat de mercredi).

    Revenez à l’attitude pit-bull de votre héroïne mercredi soir. Quand SR ne laisse pas son adversaire parler, c’est de la pugnacité, et quand c’est Sarko, c’est de la brutalité. Quand on a vu ce qu’elle capable de faire pour « séduire » (un autre mot me vient en tête, mais il faut rester correcte) les électeurs du centre, on se dit que c’est plutôt elle dont l’ambition est sans limite et qui est prête à toutes les bassesses pour parvenir au pouvoir, sans éprouver aucune honte.

    Ce que je viens de décrire me semble beaucoup plus évident à constater qu’une supposée dérive dicatoriale de NS. Mais vous préférez annoncer des catastrophes, ça fait plus cool, plus branché. Et ça fait même victime annoncée (là, c’est le nirvana).

    Ce que vous appelez une dictature va tout simplement être l’exercice du pouvoir sans blocage (du moins, je l’espère), cad quelque chose qui a cours partout en Europe, qui se porte bien mieux que nous. Je termine en disant que qualifier de dictateur un Nicolas Sarkozy doit faire un drôle d’effet à ceux qui ont connus les vrais dictateurs, ceux qui ont mis l’Europe en guerre, qui ont déporté, qui ont exterminé (ce que votre illustration rappelle). Votre comparaison doit leur apparaître indécente (c’est le cas de ma mère qui a connu les originaux).

    Alors si la situatin présente vous chagrine trop, dites vous bien que c’est la conséquence de tous les abus qu’une partie du peuple Français a commi depuis 25 ans sur le dos de ceux qui payent sans cesse sans rien voir s’arranger. Dites vous que certains en ont eu assez de payer toujours plus pour des résultats sociaux médiocres (vous êtes d’accord avec ce constat je pense) alor que le reste de l’Europe retouvre la croissance et le plein emploi. Dites vous bien aussi que certains en ont eu sûrement marre d’être le seul pays d’Europe où on brûle 20000 voitures par an et où on se farcie des défis au forces de l’ordre en quasi en permanence quand ce ne sont pas des émeutes, résultat d’une lâche victimisation aussi lénifiante qu’injuste et inexacte, sclérosante et dangereuse, cette fois conrètement.

    Et dites vous bien alors que vous avez votre part de responsabilité dans la situation présente, dont l’origine remonte à il y a 25 ans en arrière, ce que votre héroïne a eu le culot d’oublier.

    Soyez responsable et sachez trouver des explications dans les erreurs que vous commettez depuis 25 ans, ça changera.


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