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Gaël

Citoyen. Éclectique, passionné de sciences et de lettres, j’essaie de rester ouvert au monde qui m’entoure.

Tableau de bord

  • Premier article le 09/12/2010
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Derniers commentaires



  • gael 20 octobre 2009 18:18

    Et bien vous voyez, avec un tout petit effort d’imagination l’on peut trouver une théorie de qualificatifs plus expressifs et intéressants que « bling-bling ».

    Le danger de cette expression, c’est qu’elle définit comme nouveau un phénomène qui ne l’est pas : l’éternel mauvais goût de la richesse qui s’affiche, de la république romaine à aujourd’hui, en passant par le second empire.



  • gael 20 octobre 2009 17:07

    À goc :

    Tant pis, vous paierez pour les autres mais...

    Clinquant, outrancier, tape-à-l’oeil, vulgaire, de mauvais goût, ...

    La langue française n’est-elle pas assez riche pour que l’on estime nécessaire, afin de fustiger un comportement vieux comme le monde, d’adjoindre à son vocabulaire cette onomatopée grotesque : « bling bling » ?



  • gael 4 octobre 2009 17:11

    «  Le « populisme », c’est la démocratie quand elle ne vous donne pas raison. Ainsi, la France qui rejette Lisbonne est victime de manoeuvres populistes.. L’Irlande après un crise popuiiste est redevenue démocrate. »


    Non. Le populisme, c’est quand la raison cède la place au charisme, l’intelligence à la personnalité, la réflexion à la facilité. Le populisme, c’est l’utilisation consciente d’arguments fallacieux auxquels il est difficile de répondre, non en raison de leur pertinence, mais de l’adresse de ceux qui les façonnent à les travestir en évidences, dont le charme tient beaucoup à une facilité que l’homme réfléchi ne peut s’autoriser. Le populisme, c’est l’exploitation de cette paresse générale qui ne veut pas croire que les choses soient plus compliquées qu’elles ne le semblent, et qui préfère une explication cohérente mais simpliste à un exposé fastidieux.

    J’ai bien conscience que mon opinion ici n’est pas majoritaire, et ce serait sans doute moins drôle si tel était le cas ! mais je crois que le peuple mérite mieux qu’un appel vaguement raisonné à la révolte. Ou plutôt, je crois qu’il faut le croire, car si la médiocrité moyenne est une réalité statistique inévitable, c’est en s’efforçant de l’ignorer que le niveau a des chances de s’élever. Et cet élitisme me met en effet, chère Monolecte, aux antipodes du populisme facile que vous admettez volontiers dans votre blog.

    Chacun son camp !


  • gael 4 octobre 2009 00:07

    « Le truc, c’est que l’on sait déjà ce qu’il se passe quand le service public postal est abandonné : suppression des tournées non rentables, hausse des tarifs, dégradation du service, fin de service pour les usagers isolés. »


    La concurrence, vous connaissez ? Si un abonnement illimité à Internet coûte aujourd’hui 30 EUR en moyenne, c’est bien grâce à l’ouverture du marché aux entreprises privées. Pour ce qui est de la qualité, il y en a pour tous les goûts : du service minimum (prix minimum) au soutien technique relativement rapide performant avec boutiques accessibles en ville (France Telecom / Orange). Bref, une gamme de produits se développe pour répondre aux besoins et exigences des différentes catégories d’utilisateurs.

    Le Monde a publié récemment un article sur la privatisation de la poste en Suède, à lire . Après une série de chiffres montrant les bienfaits de la privatisation, l’auteur tente désespérément de se rattraper en affirmant qu’une telle réforme aurait des effets pervers en France - ça doit être la dissonance cognitive. L’article est néanmoins intéressant et devrait vous mettre les idées au clair en ce qui concerne le caractère intrinsèquement diabolique du privé.


  • gael 3 octobre 2009 21:53

    Maximus :


    Aux BMW, à la Rolex, vous opposez le TGV et le costume bon marché. Je ne peux m’empêcher de me demander : vous êtes-vous relu ? La caricature dont je parle, moi, celle du vrai riche aux dents en or, la cotoyez-vous vraiment ?

    Le monde des affaires a toujours eu ses propres codes, ses usages vestimentaires. Ces « nouveaux » riches n’ont donc rien, en l’essence, de « nouveau ».
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