Vous êtes un imbécile qui utilise le terme péjoratif de ’’sidaïque’’ alors que le mot exact est ’’sidéen’’.
Pas la peine dans ce cas de nous faire tout un topo sur cette tragique histoire.
Le terme de ’’sidaïque’’ était utilisé par J-M Le Pen pour fustiger les personnes séropositives, en diffusant en plus des mensonges : http://www.ina.fr/video/I00005232
L’article 55 de la charte des Nations Unies précise :
’’En vue de créer les conditions de stabilité et de bien-être
nécessaires pour assurer entre les nations des relations pacifiques et amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, les Nations Unies favoriseront ....’’
Or il n’y a eu aucune consultation et aucun vote des populations établies sur le territoire de la Palestine mandataire. La création de 2 états par le seul vote des membres des Nations Unies a donc été faite en violation de cette règle fondamentale de la charte.
On se demande bien pourquoi les passages à niveaux ne sont pas équipés de caméras vidéo avec enregistrement, de même que les cars et les trains avec l’objectif pointé sur ce que peut voir le conducteur. Une caméra embarquée c’est moins de 100 euros et elle devrait faire partie d’une boîte noire où le conducteur est également enregistré en continue. La loi pourrait prévoir que seules les autorités judiciaires peuvent avoir accès aux enregistrements, ceci pour protéger la vie privée du conducteur.
Ca ne remplacera pas le réaménagement des passages à niveau, mais ça permettra au moins de savoir la vérité avec preuve à l’appui.
Vous oubliez de dire que la vraie raison de la conquête de l’Algérie c’est le refus par la France d’honorer sa parole
’’En 1798, le gouvernement du Directoire achète du blé à la Régence
d’Alger pour les besoins de l’expédition du général Bonaparte en
Égypte. Le blé est financé par un emprunt de la France auprès de
familles juives d’Alger. Celles-ci demandent une garantie du dey qui gouverne la ville.
En 1827, le dey d’Alger, Hussein, frappe « du manche de son chasse-mouches » le consul de France Deval, un affairiste qui refuse non sans insolence de s’engager sur le remboursement du prêt.
Le président du ministère français, Villèle, demande réparation au
dey pour l’offense faite à son consul mais n’obtient aucun semblant
d’excuse.
Confronté deux ans plus tard à la fronde des députés, le roi Charles X
éprouve le besoin de restaurer au plus vite son image. C’est ainsi que,
le 3 mars 1830, dans le discours du trône, il évoque pour la première
fois l’idée d’une expédition punitive destinée à obtenir réparation de
la dette ainsi qu’à détruire le repaire de corsaires installé dans la
régence d’Alger et mettre fin à l’esclavage !’’