Le problème c’est que cette chambre ne juge QUE les cas de diffamation. Faut-il considérer que couper dans une interview pour déformer les propos de l’interviewé est une diffamation ? A mon opinion c’est oui. Mais il vaudrait mieux que ceci soit jugé par des spécialistes pour éviter que tout résumé en images ne puisse être contesté s’il n’y a pas volonté de déformation par le monteur et/ou le journaliste.
Extrait de Libération :
’’En Scandinavie, des conseils de presse indépendants
reçoivent eux aussi les plaintes des lecteurs et obligent, après un
passage devant un « tribunal » (composé là aussi de journalistes, éditeurs
et membres de la société civile), les médias n’ayant pas respecté la
déontologie à diffuser ou publier un communiqué reconnaissant leurs
erreurs. Le premier conseil de presse a même été créé en Suède dès 1916.
Au Québec et en Suisse, les conseils de presse ont même inspiré la mise
en place d’instances similaires, note l’Alliance internationale de
journalistes dans une note
de 2008. En fait, la France fait même figure d’exception selon ce
document, qui note que de telles initiatives existent aussi en Israël, au Chili, en Grande-Bretagne, en Nouvelle-Zélande, en Australie, ou encore au Togo.’’
’’Entre 1820 et 1967, 43 millions d’immigrants se sont établis aux
États-Unis43 :
9,4 millions d’Irlandais, 6,8 millions d’Allemands, 5 millions
d’Italiens, 4,2 millions d’Austro-Hongrois, 3,3 millions de Russes,
400 000 Mexicains, 120 000 Asiatiques (principalement
chinois). De 1905 à
1914, les immigrants
sont arrivés aux États-Unis principalement par bateau, à une
moyenne d’un million par an. Depuis 1992,
la moyenne annuelle est la même, mais les immigrants arrivent
maintenant par voie terrestre, maritime et aérienne.’’
Si l’on estime que le chiffre de 5 millions représente un solde (50%) en 1967,
5 + 5 = 10. Il y a 20 millions de gus dans la nature !
’’Les gens du Livre ou
ahl al-kitâb (arabe : اهل
الكتاب) sont ceux à qui, selon le Coran, les
messages divins ont été révélés à travers un livre révélé à
un prophète.
En islam, le concept
s’applique aux peuples monothéistes dont la religion est fondée sur
des enseignements divins à travers un livre révélé à un prophète
et enseigné par ce dernier. Pour les musulmans orthodoxes ceci
inclut au moins tous les chrétiens, juifs (karaïtes et samaritains
inclus), et les sabéens (généralement identifiés aux mandéens).
Le concept s’étend parfois aux Zoroastriens qui bénéficient de ce
statut par leur livre saint, l’Avesta.’’
’’Comme Abraham, Moïse est un personnage central pour les
Juifs. Il l’est aussi pour les Chrétiens. Sa vie est racontée
principalement dans le Livre de l’Exode, un des premiers livres de la
Bible.
Moïse est le personnage le plus cité dans l’ensemble
des textes bibliques, apparaissant à 765 reprises dans la bible
hébraïque et à 79 reprises dans le Nouveau Testament. Il y apparaît
essentiellement comme le médiateur de la révélation, le législateur
fondamental et l’auteur du Pentateuque.’’
Donc quand le Coran parle de Moussa (Moïse), qu’il présente comme un prophète, il ne parle pas du Pentateuque !!!!!!!