au sujet des viols de masse, spécialement en temps de conflits, un paragraphe intéressant que l’on relève dans Wikipédia :
"Lors du débarquement des soldats alliés en Europe,
de nombreuses plaintes ont été portées sans grands résultats contre les
soldats américains par des femmes françaises. L’historien américain J.
Robert Lilly dans son ouvrage « La Face cachée des GI’s » rapporte que
plus de 17 000 viols ont été commis par les GIs au Royaume-Uni, en France et en Allemagne10.
Il y a eu, selon Susan Brownmiller, 971 condamnations pour viol par les
cours martiales américaines entre janvier 1942 et juin 1947 dont 57
exécutions capitales.«
Si l’on peut comprendre éventuellement (ce qui ne les justifie évidemment en rien) des viols contre la puissance adverse (Allemagne), on reste perplexe devant les agissements des »libérateurs" (!) en France et en Angleterre...
Peut-être l’heure de vérité a-t-elle enfin sonné au sein du PS ?
J’ai toujours pensé que l’acceptation ou la remise en cause du système libéral était la ligne de fracture qui traversait ce parti.
Cela a été flagrant en 2005 lors du référendum pour le T.C.E. (La majorité des citoyens ayant alors donné raison à la minorité du PS !)
Hollande a réussi le tour de force (!) de marier l’huile et le vinaigre en concoctant une « synthèse » dont il avait le secret...
Désolé, mais quand une divergence se fait jour sur un point aussi fondamental, il eut fallut que les choses soient clarifiées au lieu d’être étouffées. Et le PS aurait dû se scinder, au lieu de rester au milieu du gué.
Mélenchon a eu le mérite de mettre ses actes en accord avec ses idées. Montebourg était rentré dans le rang. S’il semble se réveiller et s’affirmer, tant mieux, mais que ne l’a-t-il fait plutôt ?
Royal a fait campagne pour le« oui ». Elle aussi semble maintenant se rendre compte du pouvoir de nuisance de la finance actionnariale. Il est temps...
A crise exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Et ce n’est certes pas en restant dans un centre plus ou moins mou, avec des recettes des années 80, que les choses risquent de s’améliorer..
« Moi je ne suis pas de gauche et pourtant j’irai voter, je donnerai sa chance à Manuel Valls »
vu ses prises de position et son positionnement réel sur l’échiquier politique, quoi d’étonnant que Valls plaise... à quelqu’un qui, justement, n’est pas de gauche ?