C’est vraiment du « pipol » ! On croirait lire Jour de France...
Des oublis : Clémenceau, De Gaulle...
La symbomique est présente mais personne ne semble l’avoir montrée....
Clémenceau ( « Le Tigre ») que la statue montre luttant contre le vent adverse ( buste en avant, la capote militaire agitée...) est montré comme le lutteur contre l’adversité, un résistant...
De Gaulle, est celui qui a uni de gré ou de force les mouvements de résistance, le résistant qui réunit...
Guy Môquet est un martyr de la barbarie ( on passe sous silence le communisme) : la victimisation...
Rappelons nous maintenant les quelques mots de « notre » président que « les Français ont élu » ( On oublie déjà les 47% qui n’ont pas voté pour lui), je résume : « On m’a maltraité, j’ai été la cible de tous mais je continue... »
Pourquoi une telle symbolique ?
Nicolas Sarkozy sera-t-il le martyr qui réunira son camp ( « les résistants ») ?
Et à qui resistera-t-il sinon à ceux qui oseront « s’opposer », « critiquer » ou pire, « combattre » sa "nécessaire politique de réformes ( impôts plafonnés à 50%, franchise Sécurité sociale, pas d’impôts sur les successions, poursuite des OGM, ...) !
L’avenir de la France est bleu, je dirais même « bleu sombre »...
Article inutile et bien peu sérieux...
Rappelons nous quand M Rossard défendait notre Jauni national, entré dans la résistance en ayant émigré en Suisse !
J’adore surtout quand les gens parlent du PS en espérant qu’il devienne un parti de droiche ou de gaute ( au choix du lecteur)...
Tout compte fait, si ces braves gens souhaitent autant la « rénovation », la « refondation », « l’agiornamento », ou autre pseudo synonyme, qu’attendent-t-ils pour adhérer au PS pour « participer » à cette fameuse ou fumeuse ( entourez votre choix) « réforme »...
Vraiment bien peu de sérieux, et une profondeur de vue qui n’a d’égale que celle du pédiluve d’une piscine municipale.
Il montre bien que les financiers ont toujours des intérêts ( 15% ?) à « travailler » avec les états.
Un grand merci...
Je vais en faire la pub à quelques amis
Je ne sais pas quel âge vous avez mais laissez parler un ex Freinet qui a 34 ans d’expérience parler des méthodes actives...
J’ai pratiqué le freinet comme on entre en religion : fichiers, imprimerie, documentation ( le tout payé de ma poche) puis informatique dans les années 80/90 et ainsi de suite...
Un grand plaisir personnel, une activité débordante, de la production d’écrit, une grande connaissance de la gestion du groupe,... Mais...
A la fin : des écrits pauvres parfois inintéressants ou répétitifs et manquant de bases solides dans la maîtrise de l’écrit et de la littérature, de l’activisme sans grand rendement, et un plaisir qui s’est émoussé devant la dure réalité de la vie des élèves...
Donc, arrêtons de faire du pédagogisme-auto-centré en se disant qu’on est les meilleurs... Chaque méthode a de très bons côtés et de très mauvais effets parfois, il convient de faire la part des choses et de se dire que nous sommes là pour donner des « armes » qui permettront aux élèves de se défendre au mieux de leurs possibilités.
J’ai conservé de mon expérience (12 ans) un goût pour l’expression orale des élèves qui leur permet ensuite d’asseoir l’écrit bien que ce soit un peu plus compliqué que cela, une invite au travail de groupe mais quand c’est possible et nécessaire, et enfin un goût immodéré pour la production d’écrit mais nettement plus structurée que le malheureux texte libre ou le compte rendu de visite qui ne sont que des textes utilitaires, Freinet avait oublié le beau dans sa pédagogie qu’il voulait ouvrière...
Quant au travail, je ne fais pas du freinet, je fais du glop (ce qui me convient le mieux) et je vous conseille de faire du Mango ; et franchement je travaille peut-être plus qu’avant car la notion de beau est bien difficile à aborder.
La pédagogie est un art(isanat) qui se forge au fil des ans en fonction de nos élèves et des IO que nous sommes, je vous le rappelle quand même, tenus d’appliquer (il y aurait de quoi dire là-dessus car on peut rechercher ce qu’il y a de républicain et d’égalitaire à produire des projets et des programmations, qui diffèrent selon les écoles).
Il nous reste à traiter de « la discipline ». Vous le savez, pas de discipline sans un peu de charisme et d’acceptation des autres, mais il faut quand même parfois, reconnaissez-le, faire preuve de « dirigisme » ( demander le calme et l’attention) car, c’est une évidence, celui qui apprend (certains disent l’apprenant fabuleux néologisme) l’élève, ne sait pas ce qu’il apprend, sinon l’apprentissage est inutile... Et pour qu’il apprenne (mémoire) il lui faut un minimum d’attention et de rigueur.
Voilà, c’est dit... j’espère ne pas être passé pour un vieux....
1. L’EN est un ministère qui souffre comme tous les autres d’un embonpoint Administratif ( les circulaires s’ajoutent les unes aux autres sans aucune logique et parfois se contredisent). Chaque ministre tel un animal de compagnie veut laisser sa « trace »...
2. L’EN est l’objet de la sollicitude de lobbies qui s’unissent ou s’affrontent selon l’humeur : agrégés, doctorants, certifiés, instits, chefs d’établissements, présidents d’Université... le tout plus ou moins regroupé dans des courants « pédagogiques », pour l’intérieur ;
( la suite)associations de parents aussi diverses que parfois peu représentatives, associations « caritatives », associations peri-scolaires, éditeurs, auteurs, écrivains,... pour l’extérieur...(Il n’est que d’observer les dépenses générées par de nouveaux programmes pour s’en rendre compte)
Et tous ces braves gens de tenter de tirer à eux la couverture... Comme en physique on sait que deux forces d’intensité égale s’annulent...