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  • GLR 27 avril 2011 00:17

    Votre article se positionne par rapport à un seul point de vue celui de l’élitisme et de la stratégie scolaire autour de langues internationales.
    Il existe en France et dans de nombreux pays un bilinguisme précoce efficace mais tourner vers les langues régionales et parfois étrangères - celle d’un pays voisin.
    Le problème de la France est qu’elle veut toujours tout centraliser, décider d’en haut, la place n’est pas laissée à l’initiative locale et si possible on va jusqu’à lui mettre des bâtons dans les roues en ce qui concerne les langues régionales notamment au nom de pseudo-principe d’un autre âge.
    L’apprentissage des langues est trop tardif, trop léger (3 ou 4 heures hebdo , c’est du saupoudrage) et sans moyen humain.
    Sans perspectives professionnelles les bons candidats ne se ruent pas vers le métier d’enseignants de langue - hormis l’anglais.
    commençons par soutenir les initiatives associatives, mettons en place une vraie formation professionnelle de professeurs de langue et ensuite les choses iront d’elles-mêmes pour un peu qu’un ministre ne vienne pas tout remettre en cause peu d’années plus tard.
    Pas de perspectives pas de résultats !
    quant aux arguments scientifiques ils ne sont pas pseudo mais réels, des gens y travaillent depuis longtemps et qui a prouvé le contraire, scientifiquement !



  • GLR 27 avril 2011 00:01

    Monsieur,

    • l’espéranto a le même défaut que l’anglais, l’uniformisation des esprits et de la pensée, une langue est un véhicule de communication mais pas seulement, c’est aussi une structure de pensée. La très bonne connaissance d’une langue et de la culture qui lui est associé permet de mieux comprendre l’autre, avec l’espéranto nous aurons juste une pensée unique, à mon sens !
    cette langue peut faciliter les communications de base entre individus mais en aucun cas remplacer l’apprentissage des langues des autres.
    • Par ailleurs, les langues évoluent, même si le français des belges, des québecois, des suisses, des marseillais ou des c’htis est proche il y a des nuances et des usages qui se font localement qui peuvent nuire à la compréhension de l’autre.
    Cette évolution historique différenciée a toujours existé même dans des espaces géographiques restreints. C’est le cas par exemple en Bretagne, entre les différents dialectes, il y a des nuances si importantes qu’elles ont nui par le passé à la compréhension entre les individus issus de secteurs géographiques relativement éloignées. Le gallois et le breton étaientt une seule langue mais aujourd’hui tout en étant très proches elles nécessitent d’être apprises par les locuteurs de l’une ou de l’autre.
    Je crois qu’il est illusoire de penser qu’une langue peut remplacer toutes les autres c’est oublié qu’une langue est vivante et que nous ne vivons pas en vase clos.
    Je crois qu’il est nécessaire d’apprendre plusieurs langues en commençant le plus tôt possible.
    cordialement


  • GLR 1er juin 2010 23:41

    Les responsables de la situation d’aujourd’hui sont les gouvernements et les parlementaires qui ont les moyens législatifs d’agir mais qui n’ont pas l’intelligence, le courage de le faire. En moyenne ils sont moins libres que le citoyen lambda, ils sont prisonniers de lobbies et de conseillers qui ne voient que leurs intérêts.
    Souvent leur niveau de connaissance dans les différents domaines de l’action politique (économie, social, histoire) est faible, ils sont à l’image de notre « Chef », acculturés donc manipulables. Mal informé donc incapable de faire le bon choix !

      Depuis plus de 30 ans,il y a un accaparement croissant de la richesse produite par une infime partie de la population mondiale et une création artificielle de croissance par l’octroi d’emprunts pour consommer au lieu de l’attribution de salaire en contrepartie d’un travail réel.
    Nous sommes dans la situation sociale du XIX et du début du XXème siècle lorsque les patrons versaient un salaire misérable à leurs employés mais se targuaient de leur offrir le logement et de leur faire crédit dans son épicerie. Le salarié est à la fois prisonnier et exploité !

    Aujourd’hui, les petits salariés ne peuvent plus que consommer à crédit puisque leur salaire n’augmentent plus voir diminuent (chômage partiel) alors même qu’ils sont toujours plus tentés d’acheter.

    Les gouvernements et les parlementaires au lieu de reprendre l’argent aux accapareurs ont depuis plusieurs années incités les entreprises à comprimer la pyramide des salaires vers le bas.
     Aujourd’hui dans de nombreux pays ils s’attaquent aux revenus des fonctionnaires avec des baisses importantes des salaires et de nombreuses suppressions d’emploi.
    Question 1 : Quel sera l’impact de la baisse des salaires des fonctionnaires sur la consommation ? réponses proposées : baisse de la consommation en volume et recherche de produits moins chers donc importés. Conséquence : baisse de la production locale !

    Ce phénomène existe depuis de nombreuses années en raison de la perte globale de pouvoir d’achats des ménages des classes moyennes et basses. Même cause même effet !

    Question 2 : la baisse de la consommation engendra une baisse des revenus de l’Etat à travers la TIPP et la TVA, quelle mesure le gouvernement prendra-t’il pour réduire le déficit ?
    Réduira-t-il le coût de fonctionnement du gouvernement et des assemblées parlementaires ?

    Les parlementaires me font penser à ces personnes qui ont participé à cette émission sur l’obéissance ! Jusqu’où iront ils avant de réagir ?
    L’histoire ne manque pas d’exemple de l’incapacité des élus à faire le bon choix dans les moments de crise car au lieu de prendre le temps de réfléchir, d’écouter des avis divergents et tenter de se faire une opinion, ils sont pressés par quelques uns d’agir, et, de peur d’être critiqués pour leur soi-disant inertie ou incapacité à décider, ils font le mauvais choix, le choix qui précipite tout le monde dans la « merde ». Pas tout le monde évidement car dans l’ombre veille les profiteurs, les accapareurs !



  • GLR 1er juin 2010 23:08

    C’est du délire !

    On peut reprocher un dysfonctionnement de l’organisation économique et financière mais parler de guerre militaire pour répondre à une trahison politique c’est n’importe quoi !

    ... suivre ma réaction à l’article



  • GLR 6 novembre 2007 23:32

    Les élus ne devraient pas avoir de régime de retraite spécifique. Ils ne devraient pas toucher une rente liée à cette activité non professionnelle. les responsables d’association touchent-ils une retraite pour les années passées à gérer et animer ces organisations primordiales dans le fonctionnement de la société ? non ! suggestion : Un élu devrait cotiser à sa caisse professionnelle d’origine comme cela il ne perdrait pas d’année de cotisation et ainsi il ne toucherait pas deux retraites.


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