On a toujours quelque chose à apprendre, mais pour le faire, il faut aller au charbon et risquer de dire quelques bêtises. C’est justement pour ça que je suis là.
Si vous disposez d’une étude ou d’une source à ce sujet, merci de la partager. Vous constaterez que j’ai utilisé le conditionnel car je n’en sais pas assez pour être affirmatif concernant l’impact de la mécanisation sur le chômage.
Mais puisqu’on en parle, techniquement, le chômage est une chose normale dans une société qui progresse. Car le progrès social consiste bien à travailler moins pour gagner plus.
Le problème actuel n’est donc pas la hausse du chômage, mais la répartition des richesses. Sans parler de l’utilisation de ce chômage comme une arme contre le salariat.
L’utilisation des outils et des machines a été une source de progrès depuis l’age de pierre, et continue d’en être une. Le responsable des effets pervers de l’industrialisation n’est pas le progrès technologique, mais bien l’injustice sociale et les attaques contre les droits des travailleurs.
Vous n’expliquez pas en quoi vous trouvez absurde de faire exécuter une tache à une machine plutôt qu’à une personne à chaque fois que c’est nécessaire.
Personnellement, je ne trouve pas ça absurde, je trouve ça plutôt logique. Pourquoi quelqu’un devrait exécuter une tache ingrate et répétitive si une machine peux le faire ?
On voit que vous n’avez jamais tenu un guichet dans un bureau de poste 8 heures dans une journée.
Si ces automates sont conçus, fabriqués et/ou commercialisés en France, alors ils créent peut-être au moins autant d’emplois qu’ils n’en détruisent. Et de vous à moi, je pense que les emplois générés par l’industrie des automates sont plus valorisants, économiquement intéressants et vont plus dans le sens du progrès que les emplois de ceux qui exécutaient les tâches auxquelles ces machines sont destinées.
Dans le monde de demain, les emplois mécanisables et donc, sous-qualifiés par défaut n’existeront peut-être plus grâce à la formation professionnelle accessible à toutes les étapes de la vie. Pourquoi rester guichetier à la poste ou travailleur à la chaîne si on peux être formé à un travail qu’une machine ne peux pas faire (et qui serait donc forcément plus valorisant) ?
Peut-être que ce serait ça le progrès, grâce aux machines justement.
Quel avenir pour un rédacteur qui perd ses « repaires » orthographiques ?
Quelqu’un peut-il m’expliquer quelle information nouvelle apporte cet article ?
Quand aux leçons de morale et de politique, je ne vois pas ce qu’elles font ici. Le paragraphe sur le patriotisme m’a fait bondir. De quoi je me mêle ?
Il suffit de faire un tour sur Skyblog ou dans les téléphones de nos têtes blondes pour réaliser qu’utilisateur du « patois » ou pas, la maîtrise du français laisse à désirer. C’est la mauvaise connaissance du français qui participe à la propagation du « patois », pas l’inverse.